Black Boyfit

veste bash la redoute

Dans la vie, il y a deux choses étroitement liées qui ne sont pas évidentes du tout : 1/ trouver un jean boyfriend noir, 2/ trouver un jean boyfriend noir qui nous plaise au niveau de la dégaine et du délavage. On se colle de ces challenges, c’est pas étonnant qu’on ait si souvent la migraine hein.

Et bien figurez-vous que c’est terminé le mal de crâne, j’ai trouvé. Et voilà un copain que je vais assurément user jusqu’à la corde, parce qu’on ne dira jamais assez que le boyfriend est l’outil idéal pour masquer les rondeurs de cuissots (merci les excès d’apéros estivaux) => suivez mon regard <=
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Le Jean-Jacques Goldman (52)

look the ring

Salut les amis. J’espère que vous aussi, vous êtes rentrés de vacances. Si je suis la seule à désespérer, je t’explose (vraiment).
Afin de fêter nos retrouvailles, voilà le Jean-Jacques Goldman de cette fin de saison estivale. Vous verrez, il est très bronzé – il met du Monoï.

✔ Bref, on commence par une petite sélection de bagues qui siéront assurément à vos mains dorées. Elles sont toutes vendues sur Etsy, à des prix cool.
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Gitane

espadrilles pailettes

Ce n’est pas parce que vous m’avez vue pieds nus il y a quelques jours, que je suis devenue une manouche – on a beau surnommer Nounours « le gitan » dans l’intimité (il bronze en 30 minutes le bastard), je suis très mauvaise en tressage de paniers.

Non, non, même en vacances je colle du glitter un peu partout, parce que comme je dis toujours, sans paillettes dans la vie on a moins le tournis (et ça serait la m- – – – e). => le pendu de l’été se complique un peu plus chaque jour, pour la joie des petits mais aussi des grands !

Bref, je suis pas gitane mais plutôt une sorte de caniche hippy chic (le jour du shampoing), et quoi de mieux qu’une paire d’espadrille qui brille pour relever une allure déglinguée que peu de fashionistas peuvent comprendre ?

Oui, c’est pointu de porter cette robe de plage achetée en 2006 chez Etam, c’est du vintage de masse, je suis une incomprise du fash pack.
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Un peu plus près des étoiles

robe longue bash

Bonjour vous. J’entame ma dernière semaine de vacances, alors j’en profite, mais je voulais quand même partager une réflexion (profonde) avec vous.

Même si ça fait des décennies que tu tires sur tes cheveux, rien n’y fait, vous aurez toujours l’air d’un caniche dès le premier brushing zappé.

Bien sûr, ça fait bien longtemps que j’ai fait mon deuil d’une chevelure au parfait lissé synthétique à la Barbie, mais quand même j’aurais dû réfléchir un peu avant de me faire couper les cheveux juste avant de partir en vacances.

Quand la main experte du coiffeur n’est pas là, on devrait le savoir que ça remonte de 10 cm quand on oublie la bonne brosse et le séchoir.

Heureusement que, depuis, j’ai découvert la magie du lissage brésilien chez ans brasil !
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Ischia, Procida et Capri

ischia

Comme je vous le disais, il faut vraiment visiter Naples et Pompéi, et ensuite partir dans les îles du Golfe de Naples : Ischia, Procida et Capri.
Pour y aller, c’est plutôt simple : on prend un bateau depuis la ville (il y en a presque toutes les heures), et 50 mn plus tard on arrive au paradis.

Attention, ces trois îles sont plutôt étendues. On peut tout à fait les visiter dans la journée pour saisir l’atmosphère, mais il faut partir tôt le matin car les bateaux pour revenir à Naples, le soir, sont à 18h/18h30.
A noter que vous pouvez relier Ischia à Procida en 15 mn.

J’ai eu un coup d’amour un coup de je t’aime absolu pour Ischia et Procida. En revanche, j’ai été plutôt déçue par Capri et ses hordes de touristes : je comprends désormais pourquoi Hervé (Vilard) ne veut plus y foutre les pieds. C’est très surfait et très m’as-tu-vu.
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Visiter Naples et adorer ça !

naples

Salut la jeunesse, ça va ? 

C’est rien de le dire que j’ai passé une sacrée semaine en Italie. J’ai vu tellement de choses que j’ai l’impression d’être partie des siècles ; je crois qu’il va me falloir de longues vacances pour me reposer les mirettes.

Aujourd’hui, je vous propose de nous concentrer sur Naples et Pompéi (qui se trouve à 30 mn de train de la ville), et dans de prochains épisodes nous visiterons les îles voisines, qui ne sont qu’enchantement et émerveillement : Ischia, Procida ou Capri.

Donc, bon, j’ai adoré Naples et son côté « bordel ». Comme d’habitude, avec Nounours, on est partis à l’arrache sans rien préparer du tout de notre séjour, préférant nous perdre dans la ville pour essayer de saisir son âme.

Certes, ce n’est pas une ville photogénique, mais dès la première rue on saisit son charme : du linge aux balcons, des poubelles qui débordent, de la mortadelle qui fond dans la bouche, des vierges (la maman de Jésus, pas les jeunes filles effarouchées) à tous les coins de rue, des piscines de Spritz, des églises qui scotchent, des milliers de scooters, les napolitaines cagolines, l’étroitesse des rues, le Vésuve qui surplombe la cité, la pizza orgasmique…

… tout ça correspondait à l’image que je me faisais de l’Italie du Sud, et bien plus encore.
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