Je vous passe la théorie de l’oignon, carrément à son paroxysme dans cet article (« Violette Bibendum » ça fait héroïne de BD, je saurais pas gérer les bulles). Non, aujourd’hui concentrons-nous plutôt sur ce petit sac seau, vraie bonne surprise du moment grâce à l’équation Cuir x Taille idéale x Mini-prix.
Depuis septembre dernier et l’acquisition de mon sac Proenza Schouler, j’ai du mal à lâcher ce dernier (vu son prix, je pourrais même le porter sous la douche pour le rentabiliser, vous me direz)(me le dites-vous ?).
Bien sûr, ce sac seau ne joue pas dans la même cour, mais comme il parait que l’amour dure 3 ans, j’essaie de faire durer la lune de miel le plus longtemps possible en faisant des petites pauses.
Je sais que mon Proenza Schouler me pardonne toujours mes incartades – je suis trop romantique pour l’oublier à tout jamais. Oui, je suis la Barbara Cartland du sac à main.
La suite … « Incartade »