Salut les jeunes. Bah putain – quand ça commence par une grossièreté c’est pas bon signe, vous allez voir -, vous auriez vu ma journée pourrie de vendredi dernier, je vous jure, vous ne l’auriez même pas souhaitée à votre meilleur ennemi. Je vous raconte, c’est passionnant…
Contexte : Vendredi 13 janvier, le jour d’après la tempête
1. Après avoir checké 30 minutes avant de partir à la gare que le train de 8:45 pour la Normandie circulait bien (l’horaire a TOUJOURS une importance dans un récit si c’est avant 9h du mat’), je constate une fois sur place qu’en fait non, il a une heure de retard. Il fait -50° à Saint-Lazare, et j’ai envie de taper très fort la SNCF avec mes petits poings glacés.
2. Mais ils disent que c’est pas de leur faute, c’est le train que tout le monde attend à Paris, celui avec des gens bloqués dedans toute la nuit à cause de la tempête.
La suite … « Tout ce qu’il m’est arrivé un vendredi 13 »