Le Jean-Jacques Goldman (67)

mugs anthropologie

✔ Bon. J’imagine que la marque Anthropologie est connue de la plupart d’entre vous.

Malgré tout, je me suis dit que Jean-Jacques n’avait pas été créé que pour vous surprendre (je ne crains plus la routine entre vous et moi, nous avons dépassé le cap fatidique des 7 ans l’an dernier). Il est aussi là pour vous faire quelques rappels, surtout quand ceux-ci embellissent nos intérieurs, et tout particulièrement la cuisine, lieu a priori destiné aux tâches de gras.

Vous connaissez mon goût prononcé pour les choses un brin désuètes aux accents nostalgiques, voilà pourquoi je chéris Anthropologie et ses objets tellement brocante chic. Depuis peu, la marque est distribuée aux Galeries Lafayette. Je m’en donne à coeur joie.
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Une application shopping ingénieuse

selectionnist

Voilà combien de jours (voilà combien de nuits ?), que vous cornez les pages des magazines, que vous les découpez même, pour ne jamais oublier cette jupe de lumière, ce bouquin pas ordinaire ou cette paire de boots en python, dont l’allure et le prix vous font frémir de désir.

Les magazines et leurs pages découpées s’entassent au pied de votre lit, les moutons font le siège et vous ne retrouverez jamais ces objets fantasmés. La vie n’est qu’embûches.

Oui mais voilà, grâce à une application shopping, vous allez pouvoir retrouver en 1 clic tout les produits convoités, découverts dans la presse. Cette application fonctionne comme Shazam : vous êtes en train de lire Grazia, votre coeur s’arrête de battre devant cette marinière parfaitement coupée – vous en possédez déjà 23, mais là rien à voir -, vous la voulez très fort, vous la flashez, vous êtes sur le site marchand en train de cliquer sur « acheter ».

Et si vraiment non c’est pas sérieux vous êtes dans le rouge bancaire, vous la mettez dans votre wishlist pour revenir l’acheter plus tard.
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Voyage à Londres avec YSL Beauté

ysl london

Bon, c’est pas tout ça, mais la semaine dernière je suis partie deux jours à Londres.

Je vous arrête tout de suite, avant que vous ne commenciez à me réclamer du city guide pointu et détaillé : je suis nulle en Londres. J’ai beau avoir partagé la vie d’un anglais pendant plus d’une décennie, je connais mal cette ville (l’esprit de contradiction, peut-être ?).

Voire, pire, je ne m’y suis jamais sentie très à l’aise. En revanche, j’appréhende et j’aime beaucoup les habitants de la perfide Albion – tiens, par exemple, j’avais beaucoup de tendresse pour Margaret Thatcher.

Bref, Yves Saint-Laurent m’a proposé de sauter dans l’Eurostar pour faire la fofolle le temps d’une soirée branchée « Love your lips » à Brick Lane, avec tout plein de gens pointus et de mannequins grimaçants (Cara Delevingne).

J’ai aussi été conviée à participer, le lendemain, à des ateliers maquillage et une master class avec Lloyd Simmonds, le Directeur Artistique de YSL Beauté.

Ce dernier a réalisé ce jour-là un make-up parfait aussi rapidement que Zorro sort son épée ; la dextérité du pinceau comme arme de séduction massive, en voilà un joli concept (je devrais travailler dans la pub, vous m’arrachez les mots de la bouche).
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Walnut Grove

veste margaux lonnberg

Salut les jeunes. Je vous ai souvent parlé de mon aversion pour la gratouille en général. Et pour le lainage en particulier. Quand vient le temps des grands froids, me voilà bien embêtée quand la bise fut venue (jurisprudence De La Fontaine).

Comment fais-je alors ? J’empile. Je ressemble à une grosse bonbonne, ou à Caroline Ingalls, comme sur ces photos où j’ai l’air tout droit sortie de l’épicerie de Madame Oleson*. But who cares ?

Enfin je dois quand même vous raconter que si je me retrouve avec une jupe d’été en plein mois de janvier, c’est la faute à & Other Stories où j’entrai l’autre jour à la recherche d’un manteau… et ressortis avec ce chambray non soldé.
Mais les femmes ont la réputation de pouvoir faire plusieurs choses à la fois, non ?

*J’ai tout reposé en caisse, c’est pas une légende qu’elle est désagréable celle-ci.

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Le morceau de musique honteux

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Ne mentez pas, vous aussi vous avez un morceau honteux dans votre playlist.

Celui qui vous accompagne au bureau pendant de trop nombreuses stations, celui que vous écoutez un peu bourrée, chez vous, quand personne ne bronche dans la maison vide, un verre de rouge à la main comme les héroïnes de Scandal ou de The Good Wife, celui qui vous soutient quand vous courrez pour éliminer les excès du week-end (votre mec aime la crème fraîche, votre drame), ce morceau honteux mis en exergue dans cette jolie comédie romantique mais pourtant pas cucul, New York Melody.

Chez les deux héros du film, qui rougissent honteusement dès les premières notes du titre honni, c’est un morceau de jazz si vintage qu’il est finalement pointu. Chez nous, c’est souvent du Sardou, voire pire (les L5 ?).
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Mon avis sur le concealer Urban Decay

concealer naked

Salut la compagnie, ça fait longtemps qu’on n’a pas parlé beauté (si !)(ah non, vous avez raison).
Vous savez, j’ai remisé mes espoirs de trouver un soin anti cernes efficace et qui marche vraiment dans le tiroir de mes désillusions – y’a du monde là-dedans, je ne vous raconte pas.

En revanche, niveau cache-misère, la vie peut encore réserver bien des surprises, notamment avec ce concealer miraculeux de chez Urban Decay.

Ça faisait un moment que je n’avais pas été bluffée par un correcteur ; celui cumule tous les avantages : une texture légère et liquide qui ne marque pas les traits du visage même en fin de journée, un fini semi-mat qui permet de camoufler sans plâtrer et une teinte idéale qui se fond complètement avec la couleur de la peau (moi, c’est le « moyen clair »).
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