Paradoxe oblige, pour l’Ascension je suis descendue. Dans mon jardin point de romarin, j’ai donc choisi le Sud.
C’est dans la patrie de Nounours, où on a un petit lieu de villégiature ensoleillé, que je m’enfuis de plus en plus souvent. C’est là, toujours, que mes pensées se perdent vers des interrogations de plus en plus métaphysiques.
Quand j’ai regardé cette photo, sur l’écran de l’appareil, je me suis demandé pourquoi, après des siècles de brushing en surchauffe, je ne laisse jamais mes cheveux gambader gaiement sur mes épaules ailleurs qu’en vacances au soleil.
Sûrement parce que passer 30 minutes à tirer dessus juste avant de les plonger dans l’eau salée, c’est clairement du temps perdu. Mais oui, qui donc remarquera ma chevelure maîtrisée le temps de traverser la plage, à la recherche de mon rectangle de sable ?
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