Dans mes rêves les plus fous, je ne me contente pas d’être la réincarnation moderne d’Isabelle Adjani. Non, j’ai aussi des velléités versaillaises et des envies de crinoline qui flotte au vent.
A défaut d’être la favorite du roi – j’ai le cheveu trop foufou pour ça – je me contente d’arborer des signes extérieurs de noblesse sur le tee-shirt. C’est moins Grand Siècle certes, mais se poudrer la crinière chaque matin, franchement j’aurais pas eu le temps de toute façon (Non, n’insistez pas my king !).
Mon Dieu, mais qui fabrique ce débardeur si plein d’humour qu’on le croirait fait exprès pour toi Violette (bande de flatteurs, va !)?
La suite … « Si Versailles m’était conté »