Dis, les copains, j’ai pas du tout terminé de vous raconter la story André, vous imaginez bien.
Je me souviens très bien du premier croquis que j’avais reçu dans la boîte à courriels, alors que c’était encore tout flou dans ma tête. Du coup, ça n’avait fait qu’empirer le floutage, parce que y’avait un truc qui me gênait drôlement, et je n’arrivais pas à déterminer le koitesse.
En plus, je vous dis pas comme c’est problématique de projeter un dessin sur tes pieds. Cherchez pas, à part les professionnels, nous autres gens très terre-à-terre, on sait pas faire.