Donc.
Aujourd’hui, si vous le voulez bien, zonons ensemble dans les escaliers de mon inconscient, mené à rude épreuve par des récentes billevesées. Vous ferez un peu attention où que vous posez vos santiags toutefois, ils sont un peu vermoulus (le charme des vieilles baraques, en somme).
Amis de l’Alzheimer précoce, je ne sais pas si tu te souviens que récemment je vous révélais mes crises d’angoisse dans le métro. Je me suis rendu compte que je n’errais pas seule dans cet état beige (je sais plus comment c’est l’adage – mes confuses), suite à tous vos témoignages/mails/sms/présentations powerpoint, etc…).
Finalement, ce fut plutôt un bon plan de vous causer, puisque légère comme l’air je me suis envolée vers d’autres soucis, celui-ci semblant réglé en deux coups de cuillère à mot.
La suite … « L’origine des crises d’angoisse dans le métro »