Oh mon manteau

Bon, je vous avais promis une sélection de manteaux après vous avoir montré mon manteau prince de galles (que je ne quitte plus, ça vous apprendra). Parce que je suis une femme de parole – comme le moulin -, la voilà.
Douze manteaux tels les douze coups de minuit… Mais vont-ils sonner l’heure du crime fashion ? Le mystère reste entier, vous me direz.

selection-manteaux-hiver-2016

1. Manteau Native Youh | 2. Manteau laine recyclée Zara | 3. Manteau John Sézane | 4. Cape Mademoiselle R (-40%) | 5. Manteau à carreaux Asos | 6. Manteau Mango

manteaux-automne-hiver-2016

7. Manteau à carreaux XL Zara | 8. Manteau long R Essentiel (-40%) | 9. Manteau à carreaux en laine Mango | 10. Manteau gris New Look | 11. Manteau oversize Comptoir des Cotonniers | 12. Veste longue à capuche Zara

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La rue moche

chemise-pierro-sezane

Salut les jeunes, c’est Violette.

L’autre jour, quand on a fait ces photos à la volée – mais pas de bois vert – avec Caro, j’ai entendu quelqu’un crier mon prénom à travers une des fenêtres d’un immeuble. J’ai levé la tête ; c’était un copain, dont la boîte siège en face du mur qu’on avait choisi pour notre pèlerinage fashion (mais on n’a pas vu le pape)(ni la vierge).

Il a dit « Qu’est-ce que vous foutez à faire un shooting bloguerie pile dans la rue la plus moche de Paris ? » (pas faux).

J’ai répondu qu’à nul n’est possible tel un détenu – ou dans le genre – et que, justement, c’était un challenge, et qu’on allait te sublimer sa rue moche en moins de deux clics clacs (mais pas le canapé-lit)(oui bon ça va).

La vérité c’est qu’on a rien sublimé. Mais j’ai une nouvelle chemise imprimée. L’un dans l’autre…
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Minute beauté chez Prescription Lab

prescription lab

Il y a une quinzaine de jours, j’ai répondu à une interview pour Prescription Lab, un tout nouveau concept qui se décline en une marque experte de cosmétiques naturels, un magazine digitale lifestyle et une box beauté haut de gamme (qui arrivera d’ici la fin de l’année), qui permettra de découvrir un produit de la marque Prescription Lab, un produit d’une marque invitée (les deux en full size) ainsi qu’un autre en format voyage d’un partenaire.

Charlotte, la rédactrice en chef, m’avait demandé de venir avec ma trousse de toilettes. J’ai emmené, ce jour-là, presque tous les produits que j’utilise au quotidien. Il y a quelques oublis (<= tête de linotte), et puis sinon, ma trousse aurait craqué (<= personne excessive). Je crois que j’ai dû tous les évoquer sur ces pages, mais je vous mets les liens en-dessous  pour la synthèse, Thérèse.
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Baby you can drive my car

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Parmi les nombreuses choses auxquelles il a fallu me réhabituer à la campagne – écrit la fille affalée dans son canapé du 18ème arrondissement -, il y a la voiture. Tout en haut du podium de mes angoisses.

Quand j’ai eu mon permis de conduire, à 18 ans, j’étais celle qui trimballait tout le monde en soirées étudiantes dans sa petite Golf verte métallisée (j’avais déjà un penchant pour le glitter, Joan Collins, et tout ce qui brille), affrontant la nuit, la pluie et tutti quanti des relouteries routières avec une insolente décontraction.

Après 4 années à arpenter les routes de ma province, j’ai vécu un événement dramatique dans mon entourage – un accident de voiture pour dire les mots -, qui a paralysé toutes mes velléités de conduite.

L’angoisse, des vraies crises d’angoisse, de panique, qui ont fini par me faire lâcher le volant définitivement (la peur d’avoir peur, vous voyez le serpent…). C’est bête, j’avais eu mon code de la route du premier coup !

Comme peu de temps après je suis arrivée à Paris, ça m’arrangeait bien : plus besoin de voiture à la capitale, c’était plié. Depuis cette époque et jusqu’à l’an dernier j’ai dû conduire deux ou trois fois, genre 2 minutes et toujours dans l’appréhension et le stress, même sur un parking. Pas très glorieux.
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L’année du serpent

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Je me suis fait un petit cadeau de rentrée (enfin, un petit…)(c’est pas comme si j’avais deux couronnes en cours, et pas celles de la Queen Liz) : ce sac. Le Igor de Jérôme Dreyfuss en python, devant lequel je bavais depuis quelques mois.

Il a fallu un petit coup de pouce marketing, plutôt bien orchestré, du site sur lequel je l’avais maté plusieurs fois, un mail qui me prenait par les sentiments, Oh on est trop triste, ça fait longtemps que vous ne nous avez pas rendu visite, tiens voilà -15% … pour que bon, voilà quoi.

La vérité, ça marche ces pushs aux sentiments ? (<= bah oui, cruchonne, t’en es la preuve incandescente) Bon, je me suis fait toute petite devant une poupée promotionnelle.
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Prince de Galles

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Vous vous souvenez, dans un récent JJG, je faisais l’apologie du manteau Maje de la saison (qué s’apelorio Gilbert) ? Ça a beau être vulgaire de parler d’argent, quand même, 450 balles pour même pas 100% de laine, ça colle un peu les glandes.
Du coup je l’avais oublié, parce que souvent femme varie, surtout quand elle sort du lit.

Le week-end dernier, je suis entrée chez Mango à Bordeaux (hey ça rime, MANGOABORDO, ça fait cocktail non ?)(=> non, pas du tout).

Je l’ai vu tout de suite, à l’entrée, avec une dégaine comme j’aime : oversize mais parfaitement coupé, ce qui n’est pas toujours gagné.
Du coup j’ai été obligée de l’essayer – il avait un petit regard triste comme un chiot de la SPA, et ses yeux disaient clairement « Emmène-moi dans ta penderie, je ne ferai pas de bruit. » (en même temps, avec les manteaux on n’a pas l’emmerdement des litières à changer) -, et évidemment j’ai craqué.
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