Comme les légendes, chères à Brad Pitt, voilà que le Graou revêt son habit automnal (putain, comme c’est beau ce que j’écris – on dirait du Troyat).
J’en profite pour vous faire un petit aparté littéraire pour vous signaler que, 20 ans après tout le monde, j’ai enfin commencé « Rien ne s’oppose à la nuit » de Delphine de Vigan. Je ne regrette qu’une seule chose : ne pas l’avoir lu plus tôt.
Je n’ai qu’une hâte le soir, après avoir préparé la soupe de légumes familiale, me coller au lit pour me replonger dans sa lecture et ressentir un petit pincement au coeur au fil des pages dévorées, tant je le savoure et redoute de le terminer.
J’aurais dû écouter Caro plus tôt (elle ne dit pas que des conneries).
La suite … « Le sweat tigre Sandro, objet du désir »