Salut tout le monde. Avant de passer à la mode avec mon manteau Boden, j’aimerais mettre une dernière petite couche de Johnny. Parce que je ne sais pas vous, mais quel samedi les amies !
L’émotion et les grosses larmes qui coulent devant la télévision, la tristesse face à ces enfants, petits ou grands qui disent adieu à un père, le prétexte pour pleurer une nouvelle fois nos disparus à nous… ce type aura quand même réussi à faire déjeuner 12 millions de français devant la messe, dernière facétie d’un chanteur jamais abandonné.
Samedi j’ai mêlé les larmes d’empathie et les larmes personnelles, ça m’a vidée mais ça m’a fait un bien fou. J’ai repensé en souriant aux anecdotes racontées par ma mère sur sa traversée de la période des yéyés, j’ai pensé à mon père – parti bien trop tôt – qui ressemblait beaucoup au chanteur populaire, et au-delà de l’empathie et du plaisir coupable de faire ressurgir égoïstement mes blessures j’ai adoré cette ferveur française.
La suite … « Catharsis »