Avertissement : Ce billet comporte des scènes d’érotisme et de nudité.
Aujourd’hui, les renoncules protéiformes, nous allons faire de la maroquinerie, mais aussi de l’amour.
Ohhhh, que tout le monde fait en rosissant de plaisir, face au romantisme annoncé !
Bien, voilà donc l’histoire dont il s’agit.
Mercredi dernier, prétextant une fièvre inexpliquée chez Cyclamen et que je devais partir très vite du bureau pour voir si cette dernière n’était point aphteuse (la fièvre, pas Cyclamen qui ne mange jamais de noix), nous nous rendîmes donc à la vente presse Isabel Marant, le coeur léger.
Je descends à la station de métro Rue des Boulets.
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