Les aminches, il faut que j’arrête d’écouter des chansons tristes quand je m’apprête à vous écrire sinon on ne va jamais s’en sortir. J’étais partie pour vous raconter mes soirées NS du mercredi soir, et voilà que je suis coupée dans mon élan par ce pan de chemisier qui tombe pile dans ma raie des fesses. C’est simple, ce pan me fascine.
Donc, depuis quelques années déjà, je passe mes mercredis soirs de diffusion de la Nouvelle Star avec mes copains pédés. C’est devenu une vraie tradition désormais. A croire que si la télé de merde n’existait pas, on ne verrait quasi jamais ses potos. Bien triste constat !
L’alibi hertzien ne nous fait jamais perdre notre humour, puisque ces soirées-là (ha hun) le niveau des blagues est inversement proportionnel à notre taux d’alcoolémie. Je vous fais pas le tableau. Surtout que depuis cette année, un nouvel ami (toujours pédé, ça c’est la règle de base) est arrivé dans la bande des amateurs débiles du télé-crochet. Et pas n’importe lequel, les copains, puisque ce dernier bosse pour une GROSSE marque de champagne !
Autant vous dire qu’on le laissera jamais partir, lui.