I’m just a gigolo

Bonjour mes fans, c’est Brian.
Avant toute chose, je vous demande de gardé vos commentaires désobligens à mon égard, je sais que je n’ai pas été très acidu, mais comme je suis devenu influent j’était invité en talasso à Besancon pendant 3 semaines pour faire un reportage fotos rémunéré très chère ! Bon, j’avais oublier mon appareil foto, mais ils m’ont garder quand même pour faire les massages cardiaques aux vieilles dame, et j’ai encore changer d’orientation professionelle puisque je veux faire gigolo (et plus du tout professeure de francais ou fotographe vu que j’oublie tout le tant mon appareil).

Vous vous demander surement ce que deviennent les valses de vienne avec Nadège ? Et bien, c’est rien qu’une pute, elle en voulait juste à mon statut de confluent.
En plus, elle portait des chaussure ortopédestres et n’aimait pas les tomate. Comme Violette, d’ailleurs. C’est bizare que j’aime les meufs tout comme elle, si ça se trouverait, je ferais un transfert et je l’aimerais ?
Je n’ose pas y pensé, ça serait quasiment de l’inceste, je retourne à mes vieille aux cheveux mauves.

Ah et j’oubliais de vous dire que j’ai appri à nagé à Besancon, et donc j’en ai profiter pour acheter un maillot de bain en toile de Jouy, il parait que c’est thermo-étanche à la transpiration.

Brian

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Tailler un short

Deux événements suffisamment majeurs pour être mentionnés ici sont survenus le week-end dernier. Le premier, et pas des moindres, c’est que j’ai porté un short sans collants à Paris. Bon, okay, pas plus d’1h30, mais il parait que quand on arrive à faire des choses qui nous demandent des efforts surhumains (ou 10 ans de psy, au choix), on a le droit de multiplier la durée de vie par 7. Comme pour les chiens.

Suivant cette logique, je ne suis pas peu fière de vous annoncer que j’ai pavané pas moins de 10h30 en short, les copains !! Déjà qu’à la plage, c’est compliqué pour moi, imaginez que c’est comme si je vous disais que je n’avais pas bu de rosé depuis 15 jours. Une aberration, en somme.

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Not Guilty

Hier, vers 16h45, j’ai reçu un mail d’Anna Sand me prévenant que la vente Vanessa Bruno était ouverte… avec du 80% de remise. Infarctus. J’ai cliqué comme une folle sur les différents items qui apparaissaient : choix et prix délirants, on s’en foutait du découvert, on s’en tapait de creuser ma tombe financière, la fièvre avait déjà gagné mon sang. Ni fleurs, ni couronnes.

J’ai collé plein de trucs dans mon panier. Des robes que je porterais pour des occasions spéciales. 16h49. Des tops qui viendraient faire basculer ma commode du côté obscur de l’apesanteur. 16h52. Et putain, un manteau noir à 100 boules, quoi. 100 boules. 16h58. En courant vers l’école de Cyclamen, vers 17h04, je savais qu’en revenant mon panier serait comme un utérus après une fausse couche : vide.

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Photos clichés de Los Angeles

Bon, les gros, comme je suis encore pas mal jet larguée, c’est pas encore pour aujourd’hui qu’on causera de l’oeuvre de Chateaubriand. Je sais.
Par contre, je vous colle les derniers clichés de fond de carte mémoire, histoire de clôturer cette histoire des Amériques à tout jamais. Ces clichés qu’on voudrait souvent dégommer d’un coup de stiletto de 10 et qui, pourtant, ont la vie dure. La preuve par trois :

Si les U.S.A. sont sans aucun doute le pays du sourire levant à tous les coins de rue (et encore plus la Californie !), à tel point qu’on en finirait presque par balancer une mandale à la vendeuse qui nous demande 15 fois si tout va bien pour nous et qui nous crie au visage que c’est trop amaziiiing de vivre à Paris de son sourire blanc lavabo payé le prix fort chez son dentiste de Santa Monica (la pute), il faut quand même noter que :

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Manucure américaine

Toute femme normalement constituée (i.e. composée du minimum syndical de superficialité) revient des U.S.A. la valise remplie de vernis. Je n’ai jamais failli à la règle même si, de loin, se taper de 8 à 14h de vol pour économiser 40$ de coloriage à ongles, c’est quand même grandement pathétique. Heureusement, on y va pas que pour ça… Ah si ?

Le truc, c’est que si à NYC les Duane Reade et autres CVS/Pharmacy sont blindés des OPI et Essie à des prix qui nous font pousser plein de hiiii ridicules, ce n’est pas la même chose à Los Angeles.
A part chez Sephora, tu ne trouves du OPI nulle part. Quant au Essie, les monop’beauty locaux les boycottent, c’est pas possible autrement. Enfer !

Du coup, j’ai décidé d’innover et de laisser sa chance aux produits de marques plus que douteuses. En même temps, lancer des tendances sur du Chanel c’est tellement simple, que je préfère m’engager dans la voie plus difficile du vernis de supermarché. Fierté.
Jet lag aidant, j’ai donc fait n’importe quoi, me jetant sur de l’entrée de gamme (celle tout en bas des rayonnages), jetant un oeil injecté de fatigue derrière moi, histoire de vérifier que personne ne me regardait commettre ce crime de lèse-snobisme.
En fait, tout le monde s’en branlait. Mais Brian faisait le guet au rayon conditionner, pour plus de sécurité.

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Photos de Venice Beach, California Dreamin’

Bon, les copains, je reprends les avions dans l’autre sens dans une poignée d’heures. C’est vous dire comme je suis pas du tout d’humeur à discuter. J’ai accumulé autant de retard de sommeil que de hamburgers. Je ne vous fais donc pas un dessin par rapport au level de fatigue qui m’attend.

Enfin, « un burger a day keeps the cellulite au frais » m’a sorti Brian cet aprèm’ à la plage. Je crois qu’il voulait dire que j’étais devenue un peu boudin. Il est donc grand temps que je quitte le pays.
Ainsi, pour les dissertations, on se donne rendez-vous quand j’aurais dormi (fin juin), mais je vous laisse avec des photos de Venice Beach. Je crois que ça compense pas mal…

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