Tire la chevillette : le duffle coat rouge Claudie Pierlot

Bonsoir. A coup sûr quand je passe une journée au travail, c’est pas le loup que je croise. Ni la patte de Nounours ci-dessus, d’ailleurs (il a bien voulu faire mannequin-main pour les besoins scénaristiques), mais bordel quelle idée saugrenue que d’être implantée en plein quartier des ventes-presses et autres destockages de machins killers de CB…

C’est ainsi que tu pars à la mine vêtue d’un petit manteau sans prétention aucune (The Kooples, quoi), et que tu reviens déguisée en chaperon alors que tu t’es égarée dans les méandres d’un Anna Sand avoisinant. Pour les gonzes de province, c’est une sorte de lieu où t’as plein de ventes tentatrices TOUTE l’année.
As-tu besoin d’un 25ème gilet ou d’un micro-duffle rouge ? Pour sûr que non les aminches, mais à quoi ça sert d’aller bosser si c’est pour passer les nuits suivantes à regretter cette petite merveille de chez Claudie Pierlot ? A rien, les gars, à rien.

La suite … « Tire la chevillette : le duffle coat rouge Claudie Pierlot »

36

Comment traiter les cheveux gras et les pointes sèches ?

Au royaume du cheveu sec, j’ai souvent été la (drama) queen comme en témoignent les photos ci-dessus. Sauf la plus récente i.e. celle avec la frange.
Oui. Etrangeté de la nature, ça fait bientôt 3 mois que j’ai abandonné de me laver les cheveux a l’eau minerale pour mes shampoings, suite à mon déménagement au 3ème sans ascenseur.
Certes mes bras auraient bien besoin de se muscler d’un iota, à coups de multi-packs inter étages, oui mais voilà : la flemme est mon double malveillant depuis de trop nombreuses années.

Donc, vous l’aurez compris mes cheveux sont de moins en moins secs, je ne sais par quel miracle. Sûrement c’est un peu psychologique et que je concentre désormais mon attention sur ma devanture. Ma frange. Mon coeur (mon amour).

La suite … « Comment traiter les cheveux gras et les pointes sèches ? »

50

C’était la semaine du bon d’achat

Coucou vous autres. Je clos le partenariat Caroll, riche en wedding souvenirs et en manteau peau lainée, par un jeu-concours (ouais, décembre est décidément sans surprises).

Croyez bien que je suis en larmes ; je n’étais pas prête à affronter cette séparation si brutale d’avec cette marque grâce à laquelle je passe à travers les flocons de neige l’esprit léger.  Et sans frissons. Cette fois c’est sûr, on ne badine pas avec l’amour. J’aurais jamais cru que je passerais ce dernier mois en duffle-coat : comme quoi il ne faut jurer de rien…

Ce jeu-concours ? Dans la pratique, c’est très simple : il suffit de créer votre look sur le site de Caroll en faisant glisser des vêtements dans la petite fenêtre ergo-dynamique (je vous ai collé mon exemple ci-dessus pour que ce soit plus clair), de valider l’affaire, d’attendre le mail de confirmation qui dit que votre sélection n’est pas trop pérave et de copier le permalien dans un commentaire ici-même.

Ah oui, vous avez raison, c’est pas si simple…

A la fin de la semaine, genre samedi midi, je sélectionnerai mes 3 looks préférés qui gagneront chacun un bon d’achat de 50€ chez Caroll. C’est clair ? Non ? Oui, mais c’est cool.

Article sponsorisé 

EDIT : LES RÉSULTATS

Donc après de longues nuits blanches à comparer vos looks, voilà les 3 gagnantes d’un bon d’achat de 50€ chez Caroll. Les gonzes, merci de m’envoyer vos coordonnées postales par email (et bravo) :

Niña – commentaire 14
Nekkonezumi – commentaire 40
Rové – commentaire 63

24

C’est le pompon !

Si j’étais une vraie blogueuse mode, je vous aurais montré ce pull porté, immortalisé lors d’une bataille de boules de neige avec ma meilleure copine blogueuse mode, elle aussi. Seulement ça caille trop.

Si j’étais une vraie blogueuse mode, j’aurais fait des macros des espèces de pompons en laine aux couleurs si improbables que même dans Flashdance ils auraient pas osé les montrer. Oui mais comme il fait nuit à 16h25 et que je me refuse d’utiliser un flash, je préfère garder mes ISO au chaud.

J’aurais pu aussi, si j’étais une vraie blogueuse mode, immortaliser cet ovni à la manière d’une nature morte. Nonchalamment jeté sur un canapé immaculé avec en accessoire et arrière-plan flouté mon latte préféré, ma drogue. Voilà qu’au bureau on n’a que du Nespresso.

La suite … « C’est le pompon ! »

35

Frange + 26 jours

Et bien, et bien vous vous demandez en double, comment elle gère sa nouveauté capillaire la Violette ?
Les gros, j’aurais jamais pensé vous écrire un truc pareil à J+26 de mon taillage de frange, mais les faits sont là : mon quotidien coiffure est beaucoup plus simple de quand j’avais le front dégagé. Révélation.

C’est vrai que le facteur chance climatique y est pour beaucoup. C’est pas comme si l’humidité s’était installée définitivement sur l’écran HD d’Evelyne Dhéliat. Caisse de communauté (?).
Certes l’étape mini-brush’ du matin est indispensable ; vous verriez mon toupet au lever. C’est simple, on dirait la tête d’une employée de la Camif… ou mieux, d’un renne hirsute tombé du traîneau.

Ce folklore matinal, ce bal des épis, cette anarchie capillaire provoquent l’hilarité de Cyclamen qui y va de ses petites piques assassines. La vengeance est un plat qui se mange froid ; un jour je lui ferai remarquer qu’elle pue drôlement de la gueule au réveil.

La suite … « Frange + 26 jours »

42