Le burger du Dépanneur

burger le depanneur

Après un mois passé en Méditerranée à enquiller les seiches à la plancha, je vous dis pas cette envie de gras.

Heureusement, mon amie Emilie-Anne (docteur es burgers de la capitale) était là pour m’emmener jusqu’à SOPI manger un bon burger.
« Encore du burger ?!« , ne manquerez-vous pas de ronchonner. Est-ce que je vous fais des réflexions, moi, quand vous compulsez une énième paire de boots noires ? Non.

Le Dépanneur a des allures de Diner US – toiture métallique et intérieur en bois comme dans une petite cabane au Canada – mais surtout on y trouve du burger plus que savoureux. Je vous raconte.

Le Classic Burger ci-dessus se compose d’un bun parfaitement cuit (croustillant dessus/moelleux dessous), de viande tendre à la cuisson totalement maîtrisée, de cheddar, d’oignons caramélisés, de bacon bio, de guacamole maison (on n’a jamais trop de FAT, non ?), de laitue, de tomates, de pickles et de mayonnaise maison. Wahou, c’est bon.

Il faut aussi noter qu’il n’y a pas qu’à Paris qu’on trouve de bons et savoureux burgers, puisqu’à Biarritz on trouve https://www.gracieusebiarritz.fr qui propose des vrais burgers authentiques !
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Rangée, dérangée.

cabas vanessa bruno

Salut la jeunesse, c’est moi (Violette).
Avec tout le soleil enquillé cet été – je crois que j’ai un peu abusé des vacances – ce sont mes cheveux qui ont trinqué : avouez que je ressemble désormais à un écureuil.
Passer ma vie à manger des glands ne m’emballe pas outre mesure alors dring dring je vais vite appeler Michel, ne paniquez pas.

A part ça, c’est bientôt la rentrée des classes (ah oui ?), alors j’ai voulu marquer le coup avec un outfit de circonstance, ambiance jeune fille rangée. Rangée oui, mais pas dépressive pour autant grâce à :

1/ du jaune (mais pas cocu)

2/ des sandales ouvertes (mais pas cagoles)

3/ une chevelure écureuil (mais qui mange pas de glands).

On récapitule ? Un short noir un peu large, une chemise blanche fluide, un rongeur au pelage flamboyant, de la fidélité au bout du bras et de la corde, qui sent encore bon l’été, aux pieds. Elle sent pas trop la win cette rentrée, sans déconner ?
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Le Jean-Jacques Goldman (27)

bracelet lotus GAS

✔ On commence tout de suite ce Jean-Jacques mi-figue mi-septembre avec du bijou ET une bonne action ! Ce bracelet « fleur de lotus » que je porte à mon poignet délicat a été créé par Gas Bijoux pour soutenir l’association Toutes à l’école, qui veille à la scolarisation des petites filles au Cambodge.

Tous les bénéfices de la vente seront reversés à l’association.

Bracelet Lotus argenté 35€ / Bracelet Lotus doré 40€. En vente dès le 9 septembre sur l’e-shop et dans les boutiques Gas.
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Les souvenirs : Gruissan, Cadaques, en passant par Perpignan

cadaques

Je n’ai jamais eu de ferme en Afrique – personne n’est parfait – mais, en revanche, j’avais une grand-mère qui habitait Perpignan. Elle est morte il y a plus de deux décennies. Je n’avais donc jamais remis les pieds dans les P.O. jusqu’au week-end dernier.

Ce n’était pas ma mamie préférée. Ce n’était pas celle qui fait le petit volcan dans la purée, qui fait réviser les tables de multiplication à la sortie de l’école ou qui met la main devant les yeux devant les scènes trop violentes des westerns de John Wayne. Ni celle qui achetait le dernier Club des Cinq quand j’étais clouée au lit avec 40° de fièvre.

Pourtant, cette mamie catalane me fascinait. A 10 ans, je trouvais ça mortel qu’une personne âgée mate la télé jusqu’à 4h du matin en bouffant des bonbons. Je trouvais tout aussi étonnant le fait qu’elle se tape des grasses mat’ dignes d’un adolescent en pleine rébellion (pléonasme). En dehors du fait qu’elle était complètement réglée sur les us et horaires espagnols (j’estimais que c’était TROP exotique), elle possédait aussi un putain de sale caractère qui me confortait dans l’idée qu’elle n’était pas ordinaire.

Le voyage annuel jusqu’à Perpignan ne l’était pas non plus. Je me souviens de ces heures qui n’en finissaient pas de finir dans ce train Corail qui traversait toute la France. Bordel, c’était trop compliqué de coller les Pyrénées-Orientales au niveau du Massif Central ?!

Le sac à dos blindé de Picsou Magazine ne suffisait jamais à réduire l’ennui et le désoeuvrement diaboliquement mis en place par la SNCF, à l’époque où le TGV était encore à l’état d’embryon.
Je n’ai jamais oublié les sensations ressenties gamine, en arrivant enfin à destination : la chaleur étouffante, les palmiers, les pigeons et la petite musique jouée par le Castillet tout près duquel était situé l’appartement de ma grand-mère.
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Vernis Models Own, mon avis

vernis models own

Le temps passe trop vite avec vous. J’ai donc décidé de tester une nouvelle marque de vernis : Models Own, qui nous vient tout droit du pays de Charles et Camilla, et qu’on trouve désormais au Monop’ depuis quelques mois.
Comme d’habitude, en rayonnage, j’ai ignoré le jaune, le mauve et toutes les autres joyeusetés qui font les mains cheloues (SI, SI, LES MAINS CHELOUES).

J’ai ainsi attrapé instinctivement le Red Alert, parce qu’on est jamais aussi bien servies que par un rouge. Et aussi un bleu – ne me demandez pas pourquoi.

Et puisque les chemins de la manucure sont pénétrables, voilà le test !
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Les derbies Opening Ceremony

derbies opening ceremony

Nounours, qui n’est pas le dernier des fanfarons, ne cesse de me seriner qu’il m’a trop influencée avec Opening Ceremony.
Il crâne qu’il porte cette marque depuis des lustres (3 ans), et comme il ne faut jamais contredire un homme à la veille de la rentrée des classes j’opine toujours du chef avec bienveillance. S’engueuler à propos de godasses, c’est 80’s à mort de toute façon.

N’empêche que j’affectionne tout particulièrement cette marque depuis mes boots Opening Ceremony. Je viens tout juste de réaliser un doublé grâce à ces derbies jolis.

Vous pensez sûrement que ces trucs plats et noirs sont aussi chiants que Paris sous la pluie. Vous avez tort.
Je cherchais un modèle souple, qui ne rebique pas sur l’avant, avec un talon quasi nul et qui ne colle pas d’ampoules à l’arrière du capot (hein ?!) ; sachez que ce n’était pas chose aisée.

Enfin ouf j’ai trouvé, et comme un bonheur n’arrive jamais seul et que la subtilité est mon deuxième prénom, ce modèle a eu la bonne idée d’associer deux coloris de façon discrète et charmante : le noir et le marine (couleur phare de l’hiver prochain).
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