Salut, c’est moi (Violette).
J’ai toujours le même problème avec la chemise blanche ; je l’adore dans les magazines, mais je me sens hyper engoncée dedans (la vérité, c’est que je voudrais pouvoir sortir en pyjama).
Je n’ai toujours pas trouvé la solution miracle – la chemise blanche en pilou aurait-elle le même rendu ? -, mais quitte à s’engoncer pour les besoins stylistiques, autant le faire avec panache. Et en la matière, piquer la chemise blanche de son mec, je trouve que ça donne sacrément fière allure.
C’est ainsi que l’autre jour je pavanais dans la rue, nonchalamment dégingandée des poignets, pensant que pour une fois j’avais réussi mon engoncement de parisienne faussement désinvolte (celui que nous envie, parait-il, la terre entière).
Perdue dans mes pensées mouillées (ça pleuvait), Nounours m’a alors vite ramenée à la réalité : « Tu ne fous pas de fond de teint sur le col, hein ! » (sympa).
Trop terre-à-terre, je crois qu’il n’a pas remarqué mon hommage à D’Artagnan.
La suite … « Chapeau melon »













