Ne hurlez pas au décalage, camarades, j’ai fait ces photos il y a une dizaine de jours, quand le temps était encore une ode à Marie Laurencin.
On aura qu’à dire que ce look est parfait à condition de lui balancer dessus un gros manteau bien chaud. Et hop, ni vu ni connu grâce au paletot.
Sinon, alléluia, voilà une des rares séries de photos où j’arrive à me regarder sans grincer des dents. Je ne sais pas si je vous l’ai déjà dit par ici, mais je déteste littéralement qu’on me photographie.
Autant j’adore être derrière l’objectif, autant l’inverse est une vraie souffrance. Je ne sais jamais quoi faire de mon corps, ni de ma tête, j’ai souvent l’impression d’avoir l’air concon (<= ça n’est pas qu’une impression JE SAIS), et j’ai un vrai problème de décalage entre mon moi réel et mon moi imprimé.
La suite … « Les fleurs, c’est périssable »