Le Jean-Jacques Goldman (124)

✔ Salut les jeunes, voilà le nouveau JJG, tout en gaieté… Je commence avec de la cochonnaille surprenante et, pour être plus précise, avec des saucissons tricotés qui ne vous donneront jamais de cholestérol !

Pour fabriquer ses saucissons en tricot, Catherine Kerboull a choisi chaque laine avec soin,
étudié de près chaque spécialité et, aidée par sa sœur, a beaucoup tricoté… pour créer l’illusion incroyable de vrais saucissons. Et voilà Maison Cisson.

Suspendus à des crochets dans une cuisine, ils font non seulement joli mais ils font aussi beaucoup rire les copains. Combo réussi d’une déco pleine d’humour et de culture frenchy, on dit un grand oui !

Pour acheter son saucisson (de 18 à 30€) et même son crochet de boucher !
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Les Pouilles – Monopoli et Polignano a Mare

Me revoilà pour la deuxième partie de mon séjour dans les Pouilles ! Cette fois, on va poser nos valises à Monopoli, mon endroit coup de coeur de ces vacances F.O.R.E.V.E.R, où on a séjourné dans un fabuleux hôtel pendant 3 jours.

Située sur la côte adriatique des Pouilles, à 30 km au sud de Bari (où se trouve l’aéroport), Monopoli est une ville où on ne sait plus où donner de la tête tellement tout est joli oui, mais aussi authentique. Toutes les petites rues du centre historique sont dignes d’un décor d’opérette mais le linge au balcon est bien là, et c’est ce parfait mélange qui m’a séduite, je crois : la beauté + l’authenticité.

A Monopoli on prend le temps de flâner, on se baigne dans les eaux cristallines, on prend un verre sur le petit port en regardant les pêcheurs réparer leurs filets ou décharger la pêche du jour… et on peut même assister à un mariage un lundi matin…
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Au poil ! Comment se rasent les adolescentes.

Chez la femme, l’adolescence c’est un peu le chemin de croix sur lequel on croise plein de choses charmantes : les règles, le début de la pilosité, les boutons, les humeurs qui font les montagnes russes.

Depuis que Cyclamen est toute petite, je l’ai toujours mise à l’aise avec l’intimité. Je n’ai jamais esquivé une seule question sur ces sujets, souhaitant plus que tout qu’elle soit à l’aise avec sa féminité à venir, même et surtout concernant les problématiques citées plus haut.

Pour moi, c’est une des multiples clés de la confiance en soi. Elle n’aura sûrement pas le trousseau complet mais, au moins, elle aura débloqué la porte des tabous féminins (<= tu te crois dans Fort Boyard ?).

La première chose qui l’a intriguée, très tôt, ce sont les règles. A 5 ou 6 ans, elle me posait déjà plein de questions – est-ce que ça fait mal, ça dure combien de temps, etc…

Et allez, parce que c’est vous je vous raconte cette anecdote ultime, celle dont on parle encore toutes les deux en éclatant de rire (mais chut ne le dites à personne) : à cette époque, elle est entrée un jour dans les toilettes que j’étais en train d’occuper et m’a demandé, les yeux brillants d’excitation : « Moi aussi un jour, je pourrai mettre une ficelle dans mon cucul ?« 

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Le jean blanc

Caro a pris ces photos il y a une quinzaine de jours, deux heures avant que je ne me rende chez ma dentiste pour un truc complètement couillon. Mais il faut que je vous raconte comment je suis wonder tanche, parfois…

Figurez-vous qu’il y a à peu près un mois, alors que j’étais en train de raviver le feu en Normandie à l’aide de ce truc que j’appelle la sarbacane – je sais que ça n’est pas le nom homologué, ne faites pas les savantes -, et dans lequel on souffle pour que la flamme grandisse à nouveau, voilà que patatras, embrouille et cata.

Je commençais tout juste à souffler dans le bidule, quant tout à coup l’autre extrémité butta contre le rebord de la cheminée. J’ai alors senti une poussée contre ma bouche, entendu un petit « crrrric » et pensé « Non, mais je ne viens quand même pas de me casser une dent là ??? »

(…)
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Quitter Paris : ma nouvelle vie à la campagne

Ça fait presque un an que j’ai pris la décision de vivre dans la campagne normande. J’écris « plus ou moins », mais j’aurais pu dire « à peu près » ou « en gros ». Je continue de venir régulièrement dans la capitale, deux jours par semaine en moyenne.

Je ne vais pas à l’hôtel ou chez des amis, ce qui me permettrait de faire la culbute mentalement ; du coup j’ai souvent l’impression d’avoir le cul entre deux chaises. D’habiter partout et nulle part en même temps. Comme si je n’arrivais pas à quitter tout à fait mon Paris. Celui où j’ai construit ma vie d’adulte.

Mais, quand même, je sens un frémissement de plus en plus important. Je m’éloigne peu à peu de la capitale, comme si je tenais très fort la main de quelqu’un pour ne pas tomber et que chacun de mes doigts se desserrait un peu plus chaque jour (si ça se trouve je vais tomber du 8ème étage ?)(ça va être joli en bas, toute écrabouillée sous mes K-Jacques…).
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Quand on partait sur les chemins…

L’autre soir, on est partis faire une balade à vélo avec l’amoureux juste après avoir pris l’apéro (j’ai arrêté le footing).

Il a dit « Oh c’est ta robe de l’an dernier, celle que j’avais shootée en Toscane, je la reconnais ta robe Boden ! » J’ai répondu que pas du tout, c’est un peu genre la même mais pas la même. C’est aussi une Boden, mais celle-là s’arrête aux genoux et ne se noue pas derrière le cou.

C’est comme si moi je lui disais « Oh tu tonds la pelouse » alors qu’il est en train de tailler les rosiers. Aucun sens de l’observation, je te foutrais tout ça en pension.

Il n’empêche que cette robe Boden a un énorme point commun avec celle de l’été dernier, et pas le moindre : on se sent jolie dedans. La coupe épouse là où il faut sans en faire trop. Je ne porte pas souvent des robes, mais Boden ne me déçoit jamais sur le sujet : on voudrait que ce soit toujours l’été.
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