Déj chez Cojean* ?

11.45 MH me demande sur msn si des fois j’irais pas faire une cojeanade sur le coup des 12.45 11.47 Je réponds que ouais mais pas avant coz’ que comme je viens juste de me mettre à bosser, je dois VRAIMENT travailler 1 heure pour faire style je suis débordée 11.48 MH me dit okay, ça marche ma poule 11.53 En fait je fous rien, je discute avec A. sur msn qui me demande si je peux dej avec lui à midi 11.55 Je réponds à A. take on me… non je réponds pas ça, c’est juste pour voir si t’as des références musicales. J’y réponds que non coz’ que je viens de dire oui à MH 12.03 Je bosse 12.09 Je réponds aux commentaires sur mon blog en revenant de la fontaine Culligan 12.13 MH se déconnecte de msn et je me dis qu’elle a pété un plomb coz qui faut pas 1/2 heure pour aller chez Cojean, à part si elle a de sérieuses ampoules rapport à ses nouvelles shoes. 12.30 J’ai fini de bosser pour la matinée, je suis morte. 12.32 Mon boss me demande s’il peut fumer dans mon bureau sinon les autres ils gueulent dans le sien. 12.33 J’y réponds que ouais, mais il ouvre la fenêtre, j’ai pas envie que mes cheveux fraîchement lavés sentent le PMU 12.41 Je dis « à plus » à mon boss, je croise le TBM dans l’escalier, je me dis qu’il a grossi et qu’il est trop laid en fait 12.46 J’arrive chez Cojean. Comme d’hab, y’a que des cons et des modasses. 12.49 Je m’assoie face à MH et on mange rien pour cher, comme d’habitude, ça c’est Paris ! J’adore l’idée. 12.51 Je me dis que Cojean c’est un concept pour anorexiques sauf que j’en ai pas trop besoin j’ai envie de lui dire à Cojean, mais il est pas là, je ravale ma haine. 12.53 MH m’explique qu’elle a plié les gaules à 12h15 pour aller faire quelques fins de soldes pré-Cojean 12.56 MH a fini son potage, elle dit qu’elle a encore faim et qu’elle va prendre un truc en plus 13.00 MH revient avec une salade de fruits 13.05 MH me dit que si je veux, elle a vu chez Zara les mêmes shoes argentées que les siennes que je kiffe et qu’il reste une paire à ma pointure. 13.08 Je réponds que ça va peut être aller vu que depuis le début des soldes, j’achète deux paires de chaussures par semaine ! 13.12 MH me répond que oui, mais que c’est que 40 €, tu vois pas la misère ! 13.14 Je dis « ah ouais c’est sûr, dans ces conditions ! » 13.16 MH me dit que si je veux on y passe après déjeuner pour voir les shoes 13.20 Je dis que comme on a fini de déjeuner coz qu’on a rien bouffé on n’a qu’à y aller maintenant, non ? 13.24 On arrive chez Zara. Je dis à MH que ça va le faire moyen niveau longueur de file d’attente et que y’aurait pas moyen de gruger ? 13.26 Elle me répond que c’est comme ça, je suis chiante, c’est les Soldes, bordel ! 13.32 On a tout retourné et MH me dis que les pompes qui étaient là y’a une heure, ben elles sont plus là, en quelque sorte. 13.35 Je fais gravement la gueule et je regarde si des fois y’aurait pas une paire sympa pour compenser 13.42 Y’a pas d’autres paires qui sont belles 13.47 On sort de chez Zara et je dis à MH que ça fait chier, qu’elles étaient über belles ces pompes, que je suis en tombée en trouble bipolaire en l’espace de 10 minutes rien qu’à cause de ses conneries de me faire des fausses joies comme ça ! 13.51 MH me dit que attends je vais pas l’engueuler non plus 13.52 Je réponds à MH qu’en fait, grâce à elle, j’ai économisé 40 € que je pourrais donc les dépenser dans autre chose sur le chemin du bureau car comme je pensais les claquer autant le faire, c’est comme si j’avais rien dépensé, non ? 13.54 Je dis au revoir à MH et je me dirige vers le Printemps…

* Cojean = endroit qui n’a aucun intérêt mais où qu’on va quand même pour déjeuner quand on est beau.

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Mardi 8 mai, j’ai mis un string…

 

Ce phénomène étant plutôt rare, je me devais, cher lecteur, de t’informer de cet évènement quasi planétaire, puisque désormais on se dit tout.

Croyez bien que je ne pouvais faire autrement parce que je supporte difficilement le string en fait ; j’ai vraiment l’impression d’être à poil sous mon jean et, ce n’est pas que je sois d’une pudeur maladive, mais ça me gêne à mort (dans le sens où c’est désagréable d’avoir une ficelle dans la raie des fesses).
Finalement, je crois que je préférerais être carrément à poil, au moins il n’y aurait rien pour entraver ma nudité !

 

Donc oui, je t’explique pourquoi j’ai dû mettre un string mardi pour aller à la méga soirée d’anniversaire de mon amie A., fête où l’on se devait d’y être si on en est (tu suis ?), place to be mardi 8 mai donc, et pas sur les Champs où on organisait là un contre évènement mais qu’a pas marché du tout parait-il…
Autant te dire qu’il y avait big pression, d’autant plus que cette chienne avait insisté pour qu’on soit un minimum sapé, pour le fun…
Moi je me dis dans ma tête, ouais bon, m’en fous je suis toujours en Jean, les gens ont l’habitude, ‘toute façon j’ai la classe innée je pourrais aussi bien y aller en jogging’, mais je vais faire un effort !

 

Donc, je sélectionne 3 tops Marant (Isabel hein, pas dans le sens « rigolos » avec des inscriptions djeuns, non les filles je SAIS que vous connaissez Isabel Marant, je ne vous prends pas pour des oies, je précise juste pour les garçons) et je me dis, je vais opter pour un top ultra chicos Marant avec un de mes innombrables Jeans, des compensées, un maquillage un peu glam’, mon brushing Madonna, et zou, je suis une fée !

 

J’ai quand même demandé à mon amie A. si elle comptait mettre le chauffage sachant que seulement vêtue d’un micro top Marant, j’allais risquer la pneumonie.

Elle m’a répondu que non, mais que comme y’avait 40 personnes, on allait vite se réchauffer et que c’était très bien, j’avais qu’à juste mettre un Trench pour arriver, comme Charlotte Gainsbourg, quoi !
Je me suis dit qu’elle avait carrément raison, d’autant plus que je suis née le même jour qu’elle et que je suis aussi bronzée même gavée de gélules Oenobiol.

 

Sauf que lundi, minisushi a fait un teasing de malade, nous faisant baver, en nous disant « ayé, j’ai trouvé le Jean 70’s de Kate ! Il est trop bien…. » et donc complètement aveuglée par la folie compulsive qui m’habite quand j’ai envie d’un vêtement, je me suis dit vers 18h, il me le faut, sinon je meurs sur place.
Je l’ai trouvé, dans ma pointure (pas très dur, je suis tellement mince), avec la taille super haute comme on aime, j’étais ravie.

Sauf que, comme c’est un taille haute, il moule plus que de raison mes délicieuses fesses, et en voyant l’horrible marque de ma culotte dans mon psyché je me suis dit « Violette ça va pas être possible, ça casse complètement le mythe, le mystère autour de toi, tu dois mettre un string

 

C’est donc la mort dans l’âme que j’ai porté un des nombreux strings qui hantent le fond d’un de mes tiroirs, priant pour que le jean (neuf de surcroît) ne déteigne pas et que je ne me retrouve pas avec les fesses bleues en rentrant chez moi, tard dans la nuit, légèrement enivrée…Je me suis même dis que si je rentrais avec un mec, je garderai mon jean toute la nuit, on ne sait jamais…

 

Finalement, la soirée était tellement bien que j’en ai presque oublié mon string.
Le Ruinart a coulé à flots et, comble du ravissement, j’ai croisé un de mes écrivains préférés dont j’ai adoré en particulier un livre que tu trouveras dans la book list, juste à gauche en descendant, plus bas.
Et là, tu te dis, « la vache, cette merdeuse a passé la soirée avec Simone de Beauvoir, me dis pas que c’est pas vrai », bien sûr non, l’écrivain en question est charmant, on a vachement discuter de piscines, de blogs et aussi il a posé une question essentielle à laquelle je n’ai sû répondre « mais qu’est devenu Vivian Savage ? ».

J’avoue que j’ai séché ; heureusement qu’un ami de A., ultra renseigné sur les chanteurs has been des années 80, nous a rencardé sur le fait que maintenant le dit Savage était restaurateur !
Si c’est pas du scoop ça, et rien que pour toi lecteur, avoue que je te gâte !

Sinon, j’ai chopé une angine (pas à cause du string hein, soyez pas cons) becauz j’ai discuté avec un charmant (jeune) homme, un peu trop près de la baie vitrée et que le micro top Marant, comme son nom l’indique, disons que ya pas des mètres de tissu quoi.

En plus, comme j’en étais à environ ma 24è coupe de champ’, je crois que j’ai du dire 2 ou 3 gros mots (mais toujours classe hein, ne crois pas que…) et que ça lui a fait peur un tel concentré de trash/glam dans une seule personne…
M’en fous, je dormirai avec mon carré Hermès cette nuit, à défaut d’un mec.

Pour finir, je vous révèle le über détail de la fin de soirée : le plateau de Ferrero, juré que c’est vrai, on sait quand même recevoir chez les gens qui comptent dans les médias non ?

 

Finalement, nonobstant le fait que je sois une fée, je suis rentrée seule, la fesse d’une couleur normale, tout va bien, sauf que j’ai songé dans le taxi du retour, sur la route, dala dala daladala, sur la route, que ça devait faire quand même au moins 1 mois que je n’avais couché avec personne. Le temps file, c’est terrible !

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Je socquette, nous socquettons…


Oui les cocottes (et cocos aussi bien sûr z’amis lecteurs fichtrement intéressés par les fillasseries de comptoir), après les pieds nus dans les ballerines par zéro degré celsius, on passe directement à la case socquette dans la sandale par canicule annoncée.

Juste, je vous préviens que je mets au singulier, comme ça, pas de polémique sur le pluriel ou pas, comme pour le legging sans S où vous m’avez donné une migraine de malade.

Perso, si je dois faire un choix entre les deux options mode portnawak, je choisis la seconde parce que et de un je suis frileuse, et de deux, c’est carrément moi qui ai lancé la tendance : souvenez-vous de mes mi-bas dans mes sandales Zara la semaine dernière !!

Parce que OUI, les mi-bas, ça compte !
Ok, ça compte moins que la socquette ou la chaussette de montagne qui, elle, est carrément hors compet’ tellement elle est fashion, mais ça compte quand même j’ai dit !

Attention tout de même de ne pas faire péter le mi-bas en mousse couleur chair. Non, là, les copines, à moins d’être carrément bombasse, vous seriez tellement has been que même la voisine de votre mère glousserait sous cape devant vos pieds et vous mettrait la honte sur votre famille jusqu’aux 6 prochaines générations.Juste, on évite aussi la socquette avec le petit pompon derrière de quand on avait 7 ans et qu’on prenait nos premières leçons de tennis cauz’ qu’on kiffait Mats Vilander.

On squeeze itou la socquette blanche Quechua, désolée mais il y a eu assez de tentes sur le canal récemment pour encore faire de la pub gratos à Décathlon (pour ceux qui seraient choqués, on ne sait jamais, je précise que c’est du 8ème degré, je ne veux pas entrer en guerre avec les Don Quichotte, Sancho Panza me fait trop flipper)

J’imagine qu’il est inutile de préciser (quoique un rappel de hype ne fait de mal, surtout qu’avec vous, même si vous faites bien vos devoirs, ya quand même du boulot) que, quand je parle de « sandales », j’entends quelque chose qui soit élevé au minimum sur 5 cm de talons, pas de Birkenstock quoi, enfin si mais pas là…

Hier soir, j’ai fait un essai socquettes qui brillent tellement qu’on dirait celles de Sheila période Ringo, qui viennent de chez Topshop (wéééé je shoppe à Londres, ça m’arrive quoi…), ben j’ai envie de vous dire que je déchire, tout simplement !

Juste là où ça déchire moins (ou ça déchire plus dans le sens premier degré, z’allez comprendre), c’est que le pied droit a légèrement filé au niveau de l’orteil et que si je les mets like that, j’ai peur d’être trop trash, de relancer une nouvelle tendance dans la Capitale et, moi, le succès, quand c’est too much j’ai du mal à gérer. Puis prendre une attachée de presse…non, c’est pas sérieux…

Sinon j’ai deux trucs à vous demander : 1) allez-vous suivre cette mode (je fais des stats très sérieuse sur le sujet) 2) savez-vous où je peux trouver des socquettes sympas sans passer par la case Dim ?

Je voulais également remercier mes parents, mon Producteur…. Nannnnnn

Sérieusement, je remercie de tout coeur Pénélope Jolicoeur qui m’a offert le merveilleux dessin qui illustre aujourd’hui ce billet. Donc, interdit de piquer cette illustration, c’est un cadeau, et on ne pique pas les cadeaux, surtout quand ils viennent de Stars de l’illustration.

Pour ceux et celles qui ne connaîtraient pas encore la talentueuse Pénélope, il faut absolument aller à cette adresse chaque matin, prendre une bouffée de bonheur.

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Je suis belle et j’aime ça !

 

Hier, on m’a beaucoup regardée dans la rue.
Vous me direz, rien d’anormal jusque là, puisque c’est mon lot quotidien (chacun sa croix)

Mais là, j’ai vraiment senti que ça allait être « mon » jour dès le matin, au moment où j’ai enfilé mes nouvelles sandales Zara qui font « limite pétasse mais non en fait juste super pointues ».

(NDA : Pointues = Le style, pas la forme des shoes !)


Pour vous résumer la sandale Zara en quelques mots, elle a un talon compensé en corde et un entrelacement de lanières en vinyle noir absolument délicieux. Recouvrant mon mi-bas, c’était juste absolument somptueux !

Vu le nombre de filles dans le métro qui les regardèrent jalousement de leur oeil torve trop peinturluré cauz je sors juste de ma salle de bains éclairée au néon, je me suis dit que j’avais choisi « the paire to have ».

Donc, lorsque je suis sortie déjeuner vers 13h, chaussées de mes sandales de la mort, mon slim noir juste bien mis comme il faut, sunglasses sur le nez, ça a été limite l’émeute que je savais plus où me mettre tellement c’était gênant pour les autres filles, disons, plus banales (et je pèse mes mots) !

L’apothéose, c’est quand un groupe de Japonaises agglutiné près d’un bus arrêté devant l’entrée Nord-Ouest des Galeries Lafayette, est littéralement tombé en pâmoison devant mes pieds délicieux en gloussant d’envie.

Quand même, c’est un peu gênant, mais j’avoue que j’ai cru néanmoins, mourir de bonheur.

Ok, elles sont souvent étranges niveau look les Japonaises, m’enfin y’en a quand même un paquet qui te donnerait un cours de mode à Anna Wintour qu’elle piperait pas mot la garce !

(NDA : toujours pour les sottes, hein, elles se reconnaitront, Anna Wintour = Rédac chef de Vogue)

Vous trouvez que je me la raconte ? La fausse modestie, ce n’est pas pour les ouineuses !

Alors, hier, est-ce que, vous aussi, vous étiez beaux à tomber par terre ?

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Comment j’ai eu un Vrai/Faux Speedy…

Après avoir lu dans « Elle », il y a quelques mois, que le Speedy revenait en force, je me suis souvenue que ma mère en possédait un et que je ne le voyais plus à son bras depuis de nombreuses années. (Non, ma mère n’est pas Bourge, elle a juste du goût, ce qui n’est pas la même chose)

Le seul souci dans cette histoire : le mère n’est pas prêteuse.
J’ai dû user de stratégie, jouant sur sa sensibilité exacerbée, en arguant que ma copine Agnès, ben elle, sa mère était super cool, même qu’elle lui avait donné son Speedy sans rechigner à la tâche et qu’il était top becauz bien vintage comme on aime, tout ça, tout ça…
Ben là, ma mère m’a dit que bien sûr je pouvais le prendre, mais que surtout il fallait que je fasse attention à ne pas perdre le cadenas Louis Vuitton parce que lui, au moins, elle était sûre qu’il était authentique…

Hein ?????? que j’ai hurlé. « Mais c’est pas un Vrai le Speedy ? » je demande.
« Euhh.. je sais plus trop en fait » qu’elle me répond !

J’ai décidé de ne pas faire ma mauvaise tête parce que, franchement, si c’est un Faux, il n’y a qu’à la boutique Vuitton qu’ils pourraient le détecter avec leur air suffisant, et comme je ne fréquente pas cette maison, j’ai dit : « Bingo, je le prends le Speedy, il est trop vintage, je ne peux pas le laisser passer ».

Le truc de ma copine Agnès, qui bosse dans un secteur d’activités où butinent des nanas über branchées, c’est de décaler à fond le Speedy, vu qu’on n’a plus 20 ans.
On ne peut donc le porter qu’à la condition d’être sapée archi cool (Vanessa B, Isabel M…).
J’ai suivi ses conseils à la lettre et je suis donc allée dernièrement faires mes courses chez Champion, vêtue d’un treillis informe, d’un petit pull de rien du tout, enfin Zadig quand même, mais quand on sait pas, ça pourrait aussi bien venir du Centre Commercial Velizy 2 (non je déconne), de mes Converse trouées et de mon Speedy qui est devenu le détail easy chic de mon look ce jour-là ; j’avais une allure folle !

Alors, moi je dis ouvrez l’oeil, fouillez dans les armoires de vos mothers voir si y’aurait pas moyen de taxer un vieux Speedy, et portez-le pour aller à la piscine ou chez Leader Price, vous allez déchirer !!!

 

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Où acheter des ballerines ?

.. you are so lovely… la la la
Ah ouais, pardon, pour les sottes qui n’auraient pas saisi tout l’humour du titre de ce billet, c’est juste que c’est une chanson que Lionel a chanté en 1986.
Je pense sincèrement qu’il l’a écrite pour moi parce qu’il me semble bien que la « Nicole-pattes d’araignée-lunettes de mouche » devait avoir dans les 3/4 ans et que sa hypitude n’était pas encore à son apogée.
(NDA : pour les super sottes, la susnommée c’est Nicole Richie (cf. Voici, Closer, Public, etc…)

 

Alors oui, j’aime les ballerines, so what ?


Je veux juste vous démontrer ici que la somme des 7 premières paires de ballerines ne dépasse pas le prix (exorbitant) de la dernière paire en bas à droite (qui se trouve être aussi la plus pourrie, comme quoi…)

 

Je vous fais un petit inventaire de mes trouvailles ? Non ? Oui ? NSP ? SO ?

Alors suivez bien, on commence en haut à gauche pour finir en bas à droite, pas trop difficile jusque là ?

 

1. La Halle aux chaussures (25 €) d’une ville de Province de 17 000 habitants. J’adore les Halles aux Chaussures de Province. Elles sont immenses, on y fait des top affaires parce que les rares paires tendance y sont toujours dispo dans toutes les pointures. Non, ce n’est pas du Parisianisme, c’est la réalité !

Dès que je pars en week-end dans une petite ville sympa (ou pas d’ailleurs) que je ne connais pas, je demande toujours à mon hôte si il y a une Halle aux chaussures. Certains me regardent d’un air effaré, mais d’autres, plutôt connaisseurs, m’y conduisent sitôt ma valise posée.

 

2.3.4. Belleville, rue du Faubourg du Temple. C’est The ballerine Place ! Leur prix varie entre 10 et 20 €. C’est la folie absolue. Que vous habitiez Paris ou pas, il faut ABSOLUMENT parcourir cette rue si vous aussi, vous êtes une vraie « fille spirituelle de Lionel ».

 

5. New Look. Londres. 18 €. Cette paire je l’adore, super souple et verte. Je ne l’ai portée qu’une fois, je la réserve pour le Printemps, parce que ça s’use vite ces petites choses-là.
Si vous êtes fauchées ou que vous stressez dans l’Eurostar, il parait qu’un New Look a ouvert récemment près d’une sortie RER. Ne me demandez pas laquelle, je ne prends jamais le RER, je ne sais pas faire et je n’ai rien à faire en banlieue !

 

6.7. Belleville. 12 € la paire. (voir le commentaire pour 2.3.4, je vais pas rabâcher)

 

8. Repetto. 135 €. Elles sont super usées vu que je les ai depuis 4 ans. A l’époque c’était pas encore la pure folaï et j’avais réussi à les avoir à 60 € sur rushcollection (trop fière, vous imaginez bien).

Dites-moi que je ne suis pas brindezingue et que vous aussi, vous adôôôrez les ballerines ?!?!

 

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