En toute transparence avec vous, j’ai reçu ce bouquin via le service de presse de la maison d’édition. En règle générale, je refuse quasi toujours ce genre de proposition parce que la lecture reste pour moi un domaine à part, et aussi parce que je n’ai pas envie qu’on me relance 20 fois pour me demander si et quand je vais faire un papier sur le sujet.
Déjà, j’ai une fréquence de lecture complètement anarchique (je ne veux me coller aucune pression sur ce sujet), et puis j’imagine mal répondre qu’en fait le livre était à chier et que no way j’en parle, si jamais je n’accroche pas avec le bouquin.
Ce qui arrive assez souvent en fait ; je n’ai toujours pas cerné ce qui me fait décoller niveau littérature.
Bref, je ne sais pas du tout pourquoi j’ai dit ok pour « Blonde à forte poitrine ». Alors que je suis moi-même, parfois, une Brune à forte poitrine…
Je n’avais rien lu à ce sujet, et le titre m’évoquait une sorte de merdouille qu’on lit l’été à la plage. Car oui, malgré le fait que je sois parfois une vraie pétasse de supermarché, à part « Le Diable s’habille en Prada », je ne suis pas friande de chick lit.
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