Le vent en poulpe

Cher amis de Brian, lecteurs de mon blogue internet, me revoila ! C’est que je suit très occuper avec le mariage avec nadège et les préparation. Surtout qu’en dépis du bon sens nadège avait programmer le mariage avec moi samedi prochain et soudain, en lisant le point de vue qui était posé sur la table du vétérinère quant on attendait pour que nounouille soye coupée de l’utérus car nadège en peuve plus des chaleurs de nounouille, et bien j’ai lue que le prince de monté carlo se marriait le meme jour que moi et nadège.

J’ai dis à nadège que non, on pouvaient pas se marrier le meme jour que le prince de monté carlo car si des fois des fans de moi voudraient allé aux deux mariages et bien ils ne pourriez pas. « Quelle casse-brique ! » a dit nadège et c’est vrai que ça a été un casse-brique pour tout décalé, surtout le charcutier de vendez qui est très reprisé dans notre département et donc nadège a du abusé de son charme (et de son cul surtous) pour qu’il voudrait bien repousser d’une semaine !

J’ai fait des pieds et demain pour tout gérer bien comme il faudrait pour que ce soye bon et voilà, je vous annonce que c’est bon et officielle, on se marrie le 9 juillet à les sables d’ologne comme ça vous pourrez aussi aller à la plage. Ca vous ferait comme des vacances et puis c’est très joli les sables d’ologne, les parasoles sont très coloré.

Mon cousin jean-pierre ou jean claude, je ne sais plus, vous savez le J4 ? et bien il dit qu’en ce moment j’ai le vent en poulpe. Je croix que c’est un compliment.

Pour réservé des hotels en vendez, dite moi où c’est que vous vouler dormir et je vous conseillerait car je connait bien la région. J’ai hate de tous vous retrouver pour ce moment de pleinitudiné (c’est de l’italien). On va bien mangé, vous allez voire ! A bientôt pour les réservation hotellières.

Brian

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En espadrilles, on ne pue pas forcément des pieds

Ouais. Donc, depuis plusieurs décennies que l’espadrille est en complète disgrâce, j’ai néanmoins toujours pensé qu’elle restait un item certes pas simple à assumer, mais totalement séduisant.

Alors c’est vrai qu’en les portant toute une journée, on peut dire en rentrant ce soir j’ai les pieds qui puent. Mais pas tout le temps.

Depuis quelques mois que c’est hype et qu’on la voit ressurgir aux pieds des garçons un peu Hamptons de l’attitude, je vous raconte pas comme ma joie est immense. J’avais trop raison de croire en elle. Pour sûr !

C’est qu’en fait, à chaque fois que je pense à l’espadrille, j’imagine Inès de La Fressange en vacances à Tarascon, simplement vêtue d’un jean un peu vieux mais impeccable, d’une chemise blanche laissant voir un triangle de peau parfaitement bronzé-juste-ce-qu-il-faut et des espadrilles défoncées mais pas trop aux pieds.

Si ça se trouve, dans la vraie vie, Inès ne porte pas du tout d’espadrilles, mais j’aimerais qu’on me laisse à mes chimères de la meuf stylée provence chic, qui va choisir ses olives au marché avec ses deux filles Nine et Violette (c’est pas du prénom de camping des flots bleus, elle a un peu merdé sur ce point-là niveau bourgitude la Inès).

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Le régime (bien-être) de Vichy

Oui. Bon. Comme je vous l’annonçais avec tout le fracas qui me caractérise, j’ai passé le week-end dernier à Vichy, dans le 03. Destination pour le moins déroutante, vous me direz et c’est vrai que la sous-préfecture de l’Auvergne est rarement dans les wish lists des destinations rêvées. A moins d’avoir une vocation thermale bien cachée.

C’était donc là le grand challenge de la virée vichyssoise : Auvergne Tourisme voulait me prouver que la ville n’était pas seulement celle du retraité curiste en claquettes, mais aussi celle du parisien pubard exténué, venu se ressourcer deux jours à coups de jets d’eau thermale et de massages des cervicales (genre moi).

Vous me prenez peut-être pour une plouc mais, sous Napoléon III, c’est toute la bourgeoisie parisienne qui descendait à Vichy histoire de côtoyer « les grands ». C’était un peu le Deauville du 19è siècle (en très gros).

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Vous avez l’heure ?

Bonjour lecteurs Internet, c’est Violette. Aujourd’hui, je voulais vous dire que je ne collectionne pas les montres (oh non) puisque ça fait une dizaine d’années que je manie la tournante entre trois tocantes.

Il s’agit de ma montre « chaîne de vélo » Dior que j’avais eu en cadeau de fausse couche car j’étais très triste et donc il fallait compenser mon chagrin par de la marque (c’est la base en matière de consolation), ma montre Zadig et Voltaire avec la tête de mort so 2006 (c’est mon côté out-of-date) et la Casio achetée dans une boutique un peu beauf de République qui ressemble à s’y méprendre à l’artisan horloger de la petite ville de province (la boutique, pas la montre).

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Les mauvaises fréquentations

Vendredi soir, à la fête de l’école, j’ai croisé la maîtresse. La maîtresse, c’est cette personne qui nous fascine, nous énerve et que l’on craint. Face à elle, j’ai toujours plus ou moins 8 ans et quand je repense à nos conversations dans ma tête j’ai honte tellement ça doit se voir que je fais de la lèche d’un air détaché.

Je crois qu’elle n’est pas dupe du détachement feint et qu’elle voit bien que je me la joue faussement cool histoire qu’elle laisse ma fille en paix et qu’elle arrête de lui coller des « B » dans la marge pour une simple tâche de gras sur le cahier.
Je veux dire, en quoi la graisse du nugget de poulet Père Dodu ça pénalise sa compréhension des additions ? (pute)

Donc, à la fête de l’école, alors que je riais aux éclats face à la cinquième course en sac de ma progéniture et que j’applaudissais ses exploits aux fléchettes (1 sur 8 dans la zone, vise la championne), j’ai croisé la maîtresse qui me dit : « Dis donc, elle a la côte avec les grandes du CM2, Cyclamen. Elles l’adorent toutes« .

Imaginez comme la fierté m’envahit à ce moment-là et comme le peu de soin apporté aux fournitures scolaires et autres problématiques du comportement étaient loin. Bien loin. J’ai bu un verre de Banga pour me donner une contenance ne sachant que faire de tout cet orgueil.

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