
Ca fait un moment que je tournicote ce billet dans ma tête, ne sachant point qui implorer pour trouver la façon de le rédiger sans blesser personne, mais en taclant un peu quand même, sinon c’est trop pas rigolo.
A fond j’avais laissé tomber l’affaire, depuis que ma colère envers ma génitrice était retombée tel un soufflé au fromage complètement loosé.
N’est pas Jamie Oliver qui veut, les neuneus !
Finalement, c’est grâce au billet de Caro que j’ai remis le bouton sur ON.
Comme moi, ma mère est handic’ des sentiments. Sauf que mezigue je m’améliore avec l’âge, et même que parfois, il m’arrive de dire aux gens que je les apprécie.
Attention, le verbe « aimer » est rarement conjugué dans mon vocabulaire quotidien, faut pas déconner non plus !
Ma mère, elle, son handicap est lourd. Disons que, si on veut métaphorer, elle est en fauteuil roulant au niveau des feelings. Voyez le niveau, quoi ! Certes, elle est grave aimante comme mother, mais c’est parce que j’ai acquis le décodeur à prix d’or.
La suite …