C’est que j’ai retrouvé dans mon dur disque, une photo qui date de 2007.
Ça nous rajeunit pas les aminches.
Donc la voilà, et on ne dira plus jamais que y’a que des photos poucraves sur ce blog !
(cliquez pour voir en grand et en mieux)
Alors ?
Où qu’il est mon prix Pulitzer ?
Hein ?
C’est pas moi qu’ai pris la photo ?
…..
Ouais, peut-être, mais y’a ma fille dessus.
Séché, je t’ai !
ps : C’était à Beyrouth
(je dis ça pour le Pulitzer)
Ah ouais, d’accord !
Très récemment, j’ai lu dans différents magazines intellectuels et pointus du genou (Marie-Claire, quoi) que, after le pantalon carotte, on va devoir déambuler sous le ciel de Paris en jogging gris !
La vérité, tu sais quoi ? C’est que ça me réjouit cette trouvaille du printemps ! Parce que oui, le jogging (que nous appellerons le jersey molletonné gris pour faire grave edgy) te colle lui aussi un gros cul, certes, mais qui n’a jamais rêvé de sortir dans la rue avec sa tenue du dimanche ?
Ah bon, toi ? T’es naze.
La suite … « bas de jogging gris : molleton, j’écris ton nom »
Alors, de deux choses, l’une.
On va choisir l’autre, mes mignons, becoz que ça va pas très fort, moi. En gros, je suis épuisée nerveusement. La Cyclamen fait rien qu’à être malade : et vas-y que ça dégueule la nuit, que ça nous colle de la fièvre en veux-tu, en voilà, et que donc c’est encore plus chiant que d’habitude ces choses-là !
Ne faites pas d’enfant, qu’ils auraient dû dire ! (les cons)
De plus, je croule sous les devoirs. Oui je sais, depuis le temps que je glande, ça devait bien arriver un jour ou l’autre. Ben voilà, c’est le jour. Pas l’autre.
Et en addition de tout ça, j’ai mangé deux donuts au chocolat avant de faire dodo hier soir, et donc j’ai culpabilisé toute la nuit. Et j’avais la nausée aussi. C’est que c’est d’un gras ces conneries !
Bref, j’ai envie de pleurer.
Bonsoir, c’est Violette.
C’est pour dire que l’autre soir de grand froid, on est allés boire un verre à Le Bar Romain, avec l’HDA et Miqueline.
Si, tu sais, Miqueline, c’est ce blogueur très connu, caractérisé par sa constance au niveau du lectorat. Oui, car qu’il vente, qu’il poste ou qu’il ait ses règles, 30 personnes viennent visiter (le blog de) Miqueline tous les jours ! Et ça, les aminches, ça force le respect !
Ah on a bien l’air con, nous autres, avec nos fluctuations de statistiques, entre les week-ends, les fêtes et les arrêts-maladie, tiens !
Miqueline, c’est 30. C’est pas compliqué d’y faire sa moyenne annuelle. Et en plus, Miqueline n’est pas pudique puisqu’il a récemment montré son tatouage sur un site un peu olé-olé. Et que donc, il est passé à 43.
Enfin passons sur Miqueline, il a une gastro, de toute façon.
Ah ah ah, qui va là ?
Mercredi dernier, jour d’ouverture de la course aux bonnes affaires + jour record d’engelures, imaginez que je me suis pointée aux Champs.
Ce sont ces petits instants improbables qui me font aimer la vie, tiens.
Enfin, qui me font aimer la vie, comme tu y vas, toi ! Ca fait quand même 4 ans que je suis en analyse, je te rappelle.
Ah ça, pour rembourser les ravalements de façade des quinquagénaires peroxydées, ils sont balèzes la sécu, par contre pour les gens qui arrivent à chialer même devant « Le gendarme à New-York », y’a plus grand monde au standard.
J’étais donc, là, aux Champs, invitée à l’avant-première du film « LOL ». (lol)
Vous comprenez donc aisément le pourquoi de que je m’étais déplacée. Je ne pouvais point lutter contre mon argot de l’Internet préféré.
????!!!!!?????!!!!!
C’est-y qu’on va parler du stock Maje tout le week-end, ici ?
Ah ah ah.
Ah, mais oui, tiens, c’est une bonne idée.
Il y a une poignée d’heures, je vous disais que le stock Maje des Abbesses, c’était rien que de la fumisterie, qu’on en aurait pleuré de rage.
Cet après-midi, alors que j’épluchais des pommes de terre avec mon économe ergo-dynamique compulsé sur M6 boutique, j’ai eu besoin de faire une pause. Oh pas une grande, tu sais.
Juste une bouffée d’air pourri par la modeuse en goguette, histoire de me dégourdir les doigts, avant de préparer ma soupe du soir.
J’allais donc au stock Maje, redonner une chance au produit.
Quand je suis arrivée, la boutique était bondée. A croire que toutes les lectrices de SBEP s’étaient donné le mot.
Hein ? Oui, sans doute que c’était des gens normaux, en fait.
Je suis repartie avec un manteau et un tee en lin. Je vous colle les photos et les prix réductionnés.
Vous me calculerez les pourcentages de rabais consentis avant les soldes et après les soldes, et nous conclurons tous que, parfois, je raconte n’importe quoi.
❖ manteau :
Prix plein pot : 230 € / Prix du stock avant soldes : 149 € / Prix aujourd’hui : 100 €
❖ tee :
Prix plein pot : 89 € / Prix du stock avant soldes : 53 € / Prix aujourd’hui : 32 €
Sachant que Jennyfer a couché avec la moitié des gens qui ont redoublé leur seconde, mais qu’elle avait rédigé 7 rédactions notées 3 points au dessus de la moyenne, combien ai-je dépensé aujourd’hui, sans compter les ingrédients pour la soupe ?
Fini pour de bon.