Un collant en laine, en plus !
Plus jamais j’écoute vos conneries.
C’est fini ce temps-là.
Hello du jour, les amis lourds.
Alors bien sûr, chaque printemps c’est la même ritournelle dans le fanzine de nanas, y’en a que pour la cellulite, les poteaux et le gras sous le bras et que surtout, comment chasser tous ces désagréments pour passer 15 jours sans burqa a la playa.
On peut le dire sans trop s’avancer : le marketing anti-capitons est à son zénith.
Oui mais bon, t’es bien mignon, mais quid de la gonzesse qu’est toute greum ? Nous sommes d’accord, ce quid est complet laissé-pour-compte sur le bas-côté, telle une biche trépanée par les roues d’un Land Rover. Ce quid n’est pas vendeur, c’est là son plus grand défaut !
Aujourd’hui, si vous le voulez bien, cette injustice va être réparée sous vos yeux ébahis tant l’astuce est ingénieuse. En effet, nous allons causer de comment être grosse en 10 secondes. Ceci grâce à un formidable complément vestimentaire provoquant l’hystérie collective sur la micro-bulle blogosphérique de la moderie.
J’ai nommé le pantalon carotte. (grosse marrade)
Démonstration :
Sinon, si vous êtes branchés coiffures médiévales et autres complications capillaires, Alexiane vous propose de l’art de confectionner un chignon banane, sur son blog, dans la joie et les grognements de quelques lecteurs mécontents (mais pas trop).
A plus les ploucs !
Afin d’améliorer votre fin d’après-midi morose au bureau, amis glandeurs, je viens de voir chez le potache mry, un billet vantant les mérites d’un petit site charmant où l’on peut tailler du jardin à la française.
Vous avouerez que c’est nettement plus excitant que le Spider Solitaire ou le Freecell, le cas échéant.
Pour que vous puissiez apprécier pleinement mes créations sur ce délicat pubis, je vous laisse cliquer sur le « read more« . J’ai en effet une réputation à tenir en blogosphérie…
Salut les blancs-becs.
Attends, j’en ai une bonne !
Hier, à la nuitée, alors qu’on sirotait du vin blanc avec de la copine blogueuse, suite à un tournage pour Paris-Première (ouais, tranquille quoi, on n’a pas le melon, on est pas Isabelle Adjani, j’ai déjà dit), t’as la Solenne qu’ouvre son clapet pour se la raconter une fois de plus et qui nous sort :
« Ouais, ben moi, jeudi soir, je vais au concert de NTM !«
Nous, les filles trop connectées, tous les matins dans la boîte à courrier électronique on a du mail pour de la vente privée à ne plus savoir où cliquer.
De privée, la vente n’a que le nom d’ailleurs, puisqu’on veut nous faire croire qu’on est top privilégiées par rapport à la ménagère lambda qu’en est encore à commander à La Redoute en renvoyant son bon de commande via les services postaux.
On n’est pas si cons, on sait bien qu’on est pas Isabelle Adjani.
Ainsi, donc, qui de ventetropbien.com, qui de jeraquedoncjesuis.com, qui encore de reducshallucinantes.fr, on ne sait que choisir. C’est bien simple qu’à 9 heures du mat’ on peut déjà avoir assouvi sa névrose d’achats compulsifs sans même avoir ôté son pyjama en pilou.
Salut.
Hi.
Avant-hier, ou était-ce une nuit ?, j’ai réalisé avec effroi que j’avais complètement négligé de vous causer d’un truc total important, ici, sur ce blog.
Vous connaissez quasi tout de moi, jusqu’au moindre recoin de mon anatomie, à part, peut-être ma vésicule biliaire qui aurait pu passer à travers les mailles tissées jour après jour sur l’Internet mondial.
Certes, mais quid de ma robe de mariée et de ses petites complications ?
Tu as vu, je l’avais complet zappée de mon journal de bord, celle-là.
D’ailleurs, pas la peine de jouer les Lacan des supermarchés, te casse pas, on a compris le pourquoi de l’omission. On est pas complètement niaise ici.
Donc today is a big day (aujourd’hui est un gros jour).