Des vêtements pour chien pas cher et originaux

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Depuis que Brett, mon Setter anglais, est décédé des suites d’une longue maladie, en 2001, je ne peux plus regarder un chien (à pedigree) sans que les sanglots se coincent dans ma gorge.
En plus, j’ai souvent des angines, donc j’évite vraiment les canidés.

Aussi, quand j’ai reçu le énième dossier de presse dans ma boîte à courriel influent, j’ai encore fait « pff, chiant, relou, c’est même pas sponsorisé« , comme d’habitude.

Puis, quand j’ai lu un truc comme « mode canine » dans l’objet, je me suis dit qu’il serait temps d’affronter la réalité en face et que Brett serait sûrement heureux, tout là-haut avec le Petit Jésus et le Père Noël, de voir que j’ai enfin fait mon deuil de lui.

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La veste blanche Saint-Laurent

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Revenons au sujet qui nous intéresse tous et toutes ici : l’habillement.

C’est pour dire que jeudi dernier, je suis allée à la sauterie AIDES où que y’a une braderie du tonnerre de vêtements trop de la marque.
La terrasse était remplie de happy few, les gonzesses étaient ultra lookées, les metrosexuels moulés et slim-cravatés et les pédés enquillaient les Cosmos (le cocktail, pas le magazine, ils sont pas fous !).

Comme d’habitude, j’hallucine toujours que ce soit le beautiful people qui profite des bons plans, alors qu’il a les thunes pour acheter plein-pot avenue Montaigne. On ne prêtera qu’aux riches tant qu’Olivier Besancenot distribuera les recommandés, c’est ainsi.

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Jessi O., 26 ans, trop connectée

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Autant être aussi claire que de l’eau de Quézac élevée au grain, on m’a demandé de commenter, deux fois par mois, un article qui m’a plu, interpellé, que sais-je, dans Courrier International.

Pour une fois, mes intentions sont nobles, puisque j’ai accepté pour des raisons autres que pécuniaires. Voyez comme je deviens raisonnable comme fille.

Déjà, j’avais envie de redécouvrir ce canard auquel j’étais abonnée durant mes premières années de fac (celles où on s’y croit) et que j’avais lâchement lourdé en fin de parcours universitaire (là où on voit la porte de l’ANPE se profiler à l’horizon).
Et puis aussi, ce sera peut-être l’occasion de traiter de nouveaux sujets ici, parce que ça va bien, mais on a pas toujours l’inspiration galopante, nous autres gens du web.12

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Séjour et déjeuner à l’Hôtel de Sers Paris

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Amis poneys, bonjour !

Figurez-vous que, samedi dernier, j’ai parcouru Paris en 2CV, pour visiter des hôtels-restaurants-lounge-tout le tintouin-etc… En quel honneur ? (vous vous demandez)
Ah mais, sans honneur ! (c’est une figure de style du bridge ; je suis très érudite en sports de cartes)

En vrai, nous avons été inviter pour passer des bons moments décontractés dans des hôtels.
Ainsi, nous fîmes que manger, picoler et visiter des chambres d’hôtels. Voyez un peu l’oisiveté galopante qui nous gagne, nous autres, les imposteurs du virtuel.

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Ce matin, j’ai emmené Cyclamen à l’école

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Et j’ai pas bien compris pourquoi les gens nous jetaient des yeux bizarres, sur le chemin ?! Ca va hein, je le sais que je suis pas experte en couettes, mais vas-y, toi, avec une gamine qui s’est massacré la chevelure aux ciseaux à ongles…

Toute l’histoire ici, sur ELLE, et pour le sac à dos, modèle de sobriété et de classe, faudra demander des explications à Sonia, qui m’a ramené l’objet du délit de son récent voyage en Japonie.

☞ Les gens sont d’un conventionnel, parfois…

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Le puy, c’est fou !

miss-vendee

Aujourd’hui, les aminches, on me demande de causer du Puy du Fou.

Je dois bien le confesser, je ne connaissais pas du tout cet endroit, ni même le concept tout court. J’ai de sérieuses lacunes en culture générale, c’est une catastrophe.
Aussi, au lieu de rester bêtement sur ma première idée que ce serait une sorte de puits où on lançait les fous dedans, à l’époque de Hugues le Bâtard ou que sais-je comme Roi bizarre, j’ai exploré l’Internet pour comprendre ce lieu haut en couleurs.

Maintenant, je vous dis pas que je pourrais sortir la genèse du Puy du Fou dans chacune des sauteries où je me rends, mais bon, ça me fait une corde supplémentaire à mon arc culturel.

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