
Les aminches, l’avantage de partir en vacances en juillet c’est… Ah ouais, t’as raison, y’en a pas beaucoup. C’est même carrément l’enfer, la damnation que de se retrouver dans la capitale, élue ville morte depuis le 31 juillet dernier. C’est que je suis tellement speed de l’attitude que l’apathie générale ne me va pas au teint. La preuve, je débronze plus vite qu’une blogueuse validant son panier sur asos. Euphémisme.
Et puis, surtout, j’accumule les emmerdes :
❉ Déjà, j’ai un gros problème de conscience professionnelle, un dilemme de blogueuse arrosée en quelque sorte. Je vous explique. J’ai reçu tellement de produits solaires en cadeau que j’aurais pu easily crémer la plage entière de La Baule si j’avais eu le courage. Et l’envie de me baigner dans une eau à 18°c. Les jours de fêtes.
Sauf qu’une des crèmes d’une grande marque cosméto m’a donnée la désagréable impression de me tartiner à la pâte à cul durant toutes mes vacances au Maroc. Tu sais, c’est comme le truc qu’on met sur les fesses irritées des bébés ? Voilà celle-là ! T’as beau étaler comme une guedin, t’as le look geisha quoique tu fasses. Y’a pas, t’as gros la classe quand tu sors de l’eau avec la Tipex allure. C’est pas encore cette fois que j’ai joué les Ursula Andress. Fuck.
La suite … « Paris au mois d’aout c’est l’enfer ! C’est vide ! »