J’ai découvert cette jolie vidéo sur les clichés français vendredi dernier, sur twitter, grâce à Vert Cerise et donc voilà, quoi. Ne me dites pas qu’elle est est un peu trop longue, les feignasses, vous avez gagné une heure en plus cette nuit. Il vous restera 54 minutes sur votre heure de repassage dominical.
D’ailleurs, vous n’aurez qu’à enfiler un accordéon pendant vos corvées ménagères ; la vie vous paraîtra plus douce ainsi déguisés en Yvette Horner. Sans les chicots pourris.
L’autre fois où je sortais du placard un des squelettes de ma vie passée, je vous laissais entendre, à mots déguisés, que j’avais kiffé le manteau en peau lainée de la dernière collection Caroll.
Alors ok, l’over-tendance c’est le bombardier, mais comme on en bouffe depuis juin dans les magazines, j’ai déjà quasi vomi toutes les pages des féminins dans mon évier concernant ce sujet.
Donc, pour que vous puissiez mieux voir (enfin, tout est relatif) ce que ça donne, voilà des photographies du mignon manteau que je portais déjà, version marine x laine en 3ème B. Année collège option BCBG.
Et oui, et oui, voyez comme je n’ai pas changé. Regardez comme je suis une fille fidèle (je dis ça car Nounours lit mon blog, je veux pas qu’il croye des trucs) en matière de crémerie.
Voilà presque 4 ans que, régulièrement, je vous ennuie bien bas avec mon addiction à la marque Clinique. Et bien ça n’a pas beaucoup bougé les bretzels. Pour cette petite revue de salle de bain, un nouveau copain est venu rejoindre ma chenille clinicale : le serum repairwer machin chose.
Les potes, je crois que je suis atteinte du même syndrome que Caro. Celui où tu hurles tellement de joie une fois la porte claquée sur ton enfant partant pour 9 longs jours chez papinou et maminou, qu’on croirait presque que t’as réussi l’oral de Latin au Bac. Un vrai cri de délivrance qui résonne dans la cage d’escalier et pousse tes voisins interloqués à appeler les flics pour signaler un tapage diurne d’une puissance sonore jamais égalée.
Ne faites pas les innocents, parents de tous pays (tiens, je me prends pour Enrico, c’est nouveau), vous connaissez très bien ce vent de liberté qui souffle sur nos vies, à chaque fois qu’on arrive à caser nos mômes. Le plus loin possible du logis.