Et bien, et bien vous vous demandez en double, comment elle gère sa nouveauté capillaire la Violette ?
Les gros, j’aurais jamais pensé vous écrire un truc pareil à J+26 de mon taillage de frange, mais les faits sont là : mon quotidien coiffure est beaucoup plus simple de quand j’avais le front dégagé. Révélation.
C’est vrai que le facteur chance climatique y est pour beaucoup. C’est pas comme si l’humidité s’était installée définitivement sur l’écran HD d’Evelyne Dhéliat. Caisse de communauté (?).
Certes l’étape mini-brush’ du matin est indispensable ; vous verriez mon toupet au lever. C’est simple, on dirait la tête d’une employée de la Camif… ou mieux, d’un renne hirsute tombé du traîneau.
Ce folklore matinal, ce bal des épis, cette anarchie capillaire provoquent l’hilarité de Cyclamen qui y va de ses petites piques assassines. La vengeance est un plat qui se mange froid ; un jour je lui ferai remarquer qu’elle pue drôlement de la gueule au réveil.