Comment bien se démaquiller avec une huile démaquillante ?

huile démaquillante MAC

Hola le web, c’est moi (Violette). C’était pour vous dire que l’autre jour j’étais au téléphone avec Hélène et puis, tout d’un coup, au beau milieu d’une conversation sur le potentiel hipster d’un top coat, j’ai coupé d’un

Bon, c’est pas tout ça mais je dois te laisser. Faut que j’aille me démaquiller si je veux être au pieu vers 1h du mat’.

Mais il est 20h35 Violette !!??, elle a dit Hélène, la voix chargée d’incompréhension.

Je sais, j’ai fait, penaude. C’est ma croix, ma bannière même, mais entre le démaquillant-yeux, le machin à visage, le tonique plus le truc à l’eau pour me purifier de tous les artifices féminins x la méchante pollution, le compte est bon !

Je crois que Hélène n’a jamais regardé « Les chiffres et les Lettres » à la télé, parce qu’elle n’a pas bien compris l’allusion et j’ai trouvé ça dommage qu’elle ne se souvienne pas de ce grand dadais moustachu qui passait sa vie à faire du calcul mental encore plus vite que Sharon Stone (Si d’abord, elle fait pas que botoxée comme métier, elle a aussi un Q.I. exceptionnel, Mesdames !).

Enfin, à chacun ses héros (j’aimais pas trop Patrice Laffont, par contre, à part dans Pyramides – les briques ont toujours eu un pouvoir hypnotisant sur moi)…

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Les deux ronds

Euh. Putain. J’ai retrouvé cette photo en campanule, où je suis donc pour le week-end (avec mon faux mouton aux pieds, tu sais). J’ai demandé à ma mère « Mais, ça se faisait à l’époque de laisser sortir ses gamins avec une attitude un peu grassouillette sur les côtés ? »
« Si tu crois que j’avais le temps de lisser tes pulls sous tes salopettes, ma pauvre. T’étais (déjà) tellement chiante.« , elle a répondu, l’air détaché.

J’ai repris deux rochers Suchard.

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Anachronisme

Riche idée que j’ai eue là de partir ce week-end en campanule, chaussée de mouton synthétique qui me fera assurément transpirer des pieds. C’est pas toujours joli, l’affluence. Surtout quand elle n’est pas sponsorisée par Akiléine.

C’est tout ? Ah oui, tiens, c’est tout (ça craint).

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Fifi Lapin x Pimkie

Salut les boud’s. Je m’arrête 5 minutes dans mon travail du bureau (je travaille beaucoup)(mon patron lit mon blog) pour vous parler d’une jolie collaboration entre Pimkie (chut !) et la blogueuse Fifi Lapin qui fait rien qu’à dessiner l’animal préféré de Chantal Goya, comme son nom l’indique.
Comme quoi que même les marques dont on se moque sous la cape deviennent trendy, et pas n’importe comment !

C’est donc une chouette collection « capsule » – c’est comme cela qu’on dit quand on est initiée moderie – dont il est question et je sais de quoi je parle, une fois n’est pas coutume, puisque j’ai reçu un charmant sac venu tenir compagnie à mes autres sacs « pas à main », un tee dont la qualité et l’échancrure n’ont rien à envier aux marques du sentier qui essaient de jouer dans la cour stylistique des grands en n’égalant que leur tarification, et puis…

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Daniel Darc : Perdu, le garçon…

Ca va toi ? Oui, moi aussi merci.
Lundi soir, je suis allée au Palace parce qu’une de mes idoles de jeunesse s’y produisait. Je l’avoue, je le confesse, j’ai été un peu déçue du voyage. Comme je sais que Daniel Darc c’est pas un patronyme qui vous dit grand chose (j’entends par rapport à des noms communs comme Sandro, par exemple), je vous rafraîchis la coupe ? Oh non, tiens, je vous rafraîchis la mémoire, j’ai peur de rater votre dégradé.

Donc Daniel, c’était le chanteur de Taxi Girl, un groupe de rock français des 80’s. Dans mon walkman mauve-grisé, j’écoutais en boucle « P.A.R.I.S. » et aussi « Cherchez le garçon » et j’avais l’impression d’être hipster. Enfin hipster de l’époque : je portais un jean neige…
Voilà, vous voyez sûrement de quoi je cause maintenant. Surtout qu’un des autres membres de Taxi Girl c’était Mirwais, celui qu’a produit le fabuleux « Music » de Madonna en 2000.

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La couleur qui fait mousse

Je sais que Michel (le coiffeur agréé du syndicat des blogueuses colorées) sera pas content s’il lit l’Internet, mais j’ai fait une coloration maison, l’autre jour. Ooh blasphème capillaire, hérésie du rendez-vous mensuel, tromperie de la technicienne-coloriste, je sais ! Je crains.

En même temps, à force que tout le web déboule chez Michel, il faut désormais quasi deux ans d’attente pour un épointage de frange. Michel est devenu le John Nollet du 9ème arrondissement. Et vous allez nous le transformer en diva capricieuse du ciseau si ça continue de dévoiler son adresse sous le manteau blogosphérique, les femmes nouvellement frangées !

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