Ok, les copains, okay. J’avoue je suis complètement déprimée. Et ce n’est pas tant à cause que je ne sais plus comment m’habiller avec ce climat hésitant que les problèmes pédestres qui en découlent.
Catherine Laborde, arrête l’anorexie et concentrez-vous plutôt sur les Açores, mes pieds ne peuvent plus souffrir ces dérèglements. Ils se meurent. Et mes essie/O.P.I pensent à la TS de façon inquiétante.
Un jour en sandales, le top-coat impec’ au vent, le lendemain confinés dans un cercueil 100% cuir vachette, c’est bien simple : mon vernis passe son temps à se faire la malle. Les raccords n’ont plus le temps de sécher, le négligé envahit mes orteils plus rapidement encore qu’on se chope un coup de foudre au printemps. Le syndrome des filles du voyage me guette. Mais putain. C’est l’enfer.