"boden" - SOIS BELLE ET PARLE - L'ÜBER VIE DE VIOLETTE

C’est des vrais diamants ?

10 octobre 2014

« C’est des vrais diamants ? » a demandé Cyclamen quand je lui ai tendu cette barrette de lumière (Cindy Sander, tu nous manques). J’ai répondu que bien sûr – on n’est pas dans Germinal – et que c’est pour ça qu’elle ne pourra malheureusement pas la porter à l’école, où les objets de valeur sont interdits. Malin, le dauphin, non ?

Bien. Comme chaque année, la marque Boden (dont je ne vous vante plus les mérites, vous savez) a proposé à Cyclamen de piocher un outfit dans sa nouvelle collection.

Il n’a pas fallu beaucoup insister pour qu’elle se précipite sur la catalogue en ligne – c’est plus marrant que de se passer la brosse dans les cheveux n’est-il point ? – et choisisse une chemise à carreaux ambiance fille de Charles Ingalls et ces boots (qui vont jusqu’au 42 !), dans la gamme Johnnie B, destinée aux 9-16 ans.

Elle était prête pour aller couper du bois.
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Fête des Mères : dites-le avec des fleurs !

27 mai 2014

Dimanche, afin de célébrer la fête des mères comme il se doit, je m’étais coiffée avec les pieds du réveil. Hum.
Mais comme je suis quand même une bonne élève, je n’ai pas oublié de suivre les savants conseils de la directrice artistique de Manoush. A savoir que, après 40 ans, « montrer ses genoux, même avec un collant opaque, est intolérable ! »

Ne polémiquons pas, quand on a tant de bon goût, tout ce qu’on raconte devient doctrine. Au feu, donc, les mini-jupes, les shorts et consorts.
Du coup et je ne vous le fais pas dire, je ressemblais un peu à une communiante du bas. J’ai alors décidé d’assortir ma coupe réveil-matin à une blouse un peu gypsy pour qu’en haut, au moins, je fasse un peu plus bobo délurée.
Des genoux cachés, des cheveux décoiffés, mais des fleurs au poignet. Joyeuse fête des mères !
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Une synthèse, Thérèse.

26 mai 2014

Bonjour tout le monde. J’espère que vous avez passé un bon week-end ? Nous on est passé chez Muji – rassurez-vous, cette fois je n’ai pas ramené des boîtes muji à la maison (mon TOC est parti) -, car on cherchait un mini pot de fleurs pour la capucine que Cyclamen a planté à l’école.

Lls leur font vraiment faire n’importe quoi au lieu de travailler dur.

Résultat, j’ai acheté des milliards de contenants pour transporter les produits de beauté en avion, car je pars bientôt à Rabat pour le festival Mawazine. Mais bon, pas de mini pot de fleurs à l’horizon. Ils sont décevants ces japonais.

Résultat, j’ai acheté un cache-pot dans une autre boutique, et voilà comment je te les ai séchés les nippons, même si je n’ai pas la main verte.
Mais attendez, ce n’est pas la seule déconvenue du week-end !
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Le pantacourt en héritage

14 avril 2013

Vous vous souvenez de ce pantalon Zara, acheté à Barcelone, que Nounours avait dit qu’il me faisait un beau cul mais que #ohwait il était transparent du cucul ? Et bien le voilà !

Oh, bien sûr, aujourd’hui vous ne verrez rien de mon côté pile, et la couleur blanc de poulet de supermarché de mes jambes vous fera sûrement frémir d’horreur, je le sais déjà.
Mais même si on se sent un peu fébrile de dévoiler autant de peau pour la première fois de l’année (t’es sûr, cette fois je prends pas mon écharpe ?), que ma cheville est encore un peu branlante sur des talons pourtant pas très hauts et même si ce futal, en fait, bah il est moyen seyant hein ?

Et bien tout ça n’a pas vraiment d’importance, parce que figurez-vous qu’avec Cyclamen on a adopté le pantacourt de quinconce (ou était-ce de concert ?) dimanche, sous le soleil parisien.

Et parce qu’une telle harmonie vestimentaire filiale c’est tellement beau que j’en aurais presque chialé (les hormones), j’ai décidé de vous en faire profiter. Sous le soleil exactement.
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Le calendrier de l’after

10 décembre 2012

Comme je pense sincèrement qu’on ne va pas mourir le 21 décembre prochain (j’ai fait des études juridiques, comme la moitié des candidates à l’élection de Miss France), voilà un petit calendrier récap’ de l’année 2012 sur SBEP…

Effectivement, dans la vraie vie, je ne fais pas que porter de nouvelles shoes et partir en vacances. Et oui, malheureusement, personne n’a encore inventé le robot qui fait les courses au Carrefour Market, descend les poubelles et fait réciter les poèmes de Jean de La Fontaine à nos progénitures.

Bref, bonne année ! (je suis le décalage horaire)

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Star Wars

12 novembre 2012

8 ans, c’est un âge flottant. 8 ans, c’est l’âge où on dit « Trop stylé ton pull ! » pour parler comme les grandes, mais où on s’endort encore avec son doudou préféré dans les bras* (*tu diras bonjour à Phoki, plus bas). 8 ans, c’est l’âge où on tient fort la main de sa maman dans la rue, mais où on la lâche aussi sec 30 mètres avant l’entrée de l’école.

8 ans, c’est aussi l’âge où on commence à ne plus vouloir tout faire comme son iconique blogueuse de mère, et tu comprends ton shooting mode enfantine ça me gonfle un peu, j’aimerais tellement rester en pyjama jusqu’à 13h…

8 ans, c’est donc l’âge ingrat (je lui ai quand même TOUT appris en matière de cadeaux bloguerie).

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