Gazelle

manteau boden

Après le look sur la route de campagne, voici celui au milieu des blés coupés… Si ça se trouve, la prochaine fois, je vous fais ça au volant de la moissonneuse-batteuse ? (quelle audace)

Bon, à part ça je suis bien contente, car on annonce pour cet hiver, dans tous les magazines de mode, le grand retour du pantalon large et du grand manteau oversize. Et même qu’il est recommandé d’associer les deux (quelle audace, again).

Du coup, je compte bien ressortir à tout-va le pantalon que vous pouvez voir sur ces images, issu d’une ancienne collaboration entre La Redoute et Jacquemus, parfaitement coupé et qui n’a pas bougé d’un pli. Si ça se trouve il est bloqué depuis qu’il a joué à « un, deux, trois, soleil », et que personne ne s’est retourné depuis deux ans ? Je mènerai l’enquête, car il doit avoir de sacrées courbatures si c’est ça…
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Sous le ciel de l’Italie : la Toscane, entre Florence et Sienne

torre di ponzano 4

Hey, c’est Violette.

Je suis en Toscane, un des plus beaux endroits en Italie, depuis 4 jours déjà, et j’ai vraiment galéré pour vous poster ces quelques images – le wifi est parti en tournée mondiale avec Gigi L’Amoroso -, mais j’avais envie de vous faire un petit debrief de ces premiers jours placés sous le signe de la Dolce Vita.

Dans notre petit havre de paix dans la campagne du Chianti, écrasé par la chaleur et situé entre Florence et Sienne, entouré d’oliviers, de vignes et de lavandes, le temps passe trop vite !

A bord de notre Fiat (on est à fond dans le local), on sillonne plein de villages à travers les cyprès. Parfois, souvent, je n’ai même pas mon appareil-photo avec moi. J’ai trop peur de rater l’instant à force de vouloir le partager à tout prix. C’est pourquoi tout ne sera pas immortalisé ici.

Mais j’ai encore pu assister à un mariage dans notre petit village (Barberino Val d’Elsa) – ça m’arrive à chaque fois que je suis en Italie et j’adore ça -, où les invitées sont toujours sur-sapées, mais on a jamais le coeur de s’en moquer tellement elles sont LA femme italienne. Vous savez, ici, l’acrylique ne gratte pas, il devient joli. Et le rouge à lèvres qui déborde aussi.
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La maitresse en maillot de bain

maillot

Cher Internet mondial, comme vous le savez, l’année dernière j’ai dû subir une petite intervention chirurgicale destinée à m’enlever un mélanome pas gentil (<=très vilain, même). Comme je me suis retrouvée avec une cicatrice sous le nibard droit juste avant l’été, j’ai donc été obligée d’opter pour un maillot une pièce jusqu’à la rentrée.

J’avais gros la déprime en bandoulière de devoir balancer le bikini dans les oubliettes (je me rêve en grande châtelaine-archiduchesse de Normandie)(qu’ils mangent de la brioche), mais finalement j’ai bien apprivoisé le maillot eres une pièce, qui présente de nombreux avantages.

Et notamment celui de masquer ce petit bidon tout mignon – le ventre plat est un axiome complètement ringard -, hérité d’apéros un peu trop musclés…
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Claude(s)

sac claude sezane

Dans ma liste de trucs que je possède depuis des années et que je porte toujours avec délectation – comme tu y vas Violette ! -, il y a ces boots André, pourtant pas bien jobardes (qui écrit encore jobardes en 2016 ?!!)(<=moi).

Je les avais achetées en soldes, genre 25€, en 2010. Elles font le pied tout rond, petit, mignon et me vont comme des chaussons, mais je leur avais déjà dédié un article il y a 4 ans, alors sus au doublon !

A part ça, comme vous pouvez aisément le constater, je suis toujours aussi débraillée/décoiffée en campanule, même si parfois j’ose la jupe – wahou – quand je dois rencontrer le fermier du coin (on discute du marché bovin, je ne peux décemment pas faire ça en jogging si je veux être prise au sérieux dans mes nouvelles fonctions agricoles).
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Cache-misère

veste soft grey

Mais ?! Vous avez mangé beaucoup trop de chocolats, c’est ça ? Le blog tangue dangereusement vers l’arrière, aujourd’hui, à cause de vos boules (vous m’aurez TOUT fait).

Tiens, justement, pour cacher habilement des excès chocolatés, quoi de plus astucieux que de porter la salopette, combinée à cette sempiternelle veste de Lady Chatterlay afin de lui ôter tout côté plombier ?
C’est en tous cas mon pari. Joyeux mardi.
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Réflexions sur la sacoche

J’ai l’air déprimé sur ces photos ? Et bien c’est normal, les gars, je le suis.
J’avais pris cette petite sacoche en cuir pour Cyclamen, chez Boden – je la trouvais super A.P.C. de la dégaine -, et puis voilà que pim coup de foudre, je l’ai finalement gardée pour moi.

Je suis un peu triste de mon attitude primesautière, mais quand même, entre nous, je trouve aussi qu’elle n’a pas vraiment l’âge d’adopter une allure germanopratine (putain, que de mots savants au sein d’une même phrase, ça se voit qu’on est lundi).

Bref, je me sens un poil indigne, mais ne vous faites pas trop de soucis pour autant, cela ne saurait durer. En effet, comme je dis toujours : « Qui ne regrette pas sa sacoche, évitera l’anicroche ».

Ça a l’air tout bête comme adage, mais quand on se penche vraiment sur son analyse (vous avez 4 heures), on remarque assez facilement que les regrets provoquent toujours des emmerdes.

Bien sûr n’écrivez pas ça tel quel dans votre copie de Français (Nounours me confirme que, si ça peut certes entraîner le sourire, ça provoquera également un zéro pointé)(quelle sévérité !), mais vous aurez compris l’esprit.
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