Docteur Violette aide une lectrice à se débarrasser d’un petit suisse
Récemment, je reçois un courrier électronique désespéré de Marie-Mandoline, Paris XVIème.
Flamboyante et extraordinaire Violette,
Je suis dans une étagère au fond de laquelle vous ne trouveriez plus vos délicieux mi-bas en mousse, tellement que c’est le tintouin.
Et croyez bien que j’exagère à peine dans la métaphore de comptoir.
Voilà ce qu’il en est.
Le vide-ordures ne sonne toujours qu’une fois
Bonjour le Monde.
Aujourd’hui, je suis fâchée.
Que je t’explique la cause de l’agacement surdimensionné.
Tu sais que nous les blogueuses, on est des femmes-sandwichs.
Nulle connotation sexuelle dans la diatribe ci-dessus, on ne commence pas à rire sous cape, s’il vous plaît !
Ainsi, nous recevons régulièrement de l’email avec un vulgaire dossier de presse en PJ et vas-y que c’est tout, tu te débrouilles.
Genre, faut qu’on en parle sur le blog !
Et depuis quand qu’on devrait écrire gratos maintenant ?
Parfois, les gens, ils se fendent d’un petit topo de fayotage pour être bien sûr qu’on va assurer la promotion de leur produit.
Je t’arrête tout de suite, on est pas cons non plus, on voit bien qu’ils nous kiffent pas pour de vrai.
Et parfois, on est drôlement malheureux.