du côté de chez moi
Chers poireaux vinaigrette, il est temps de faire les comptes et de crier à l’imposture !
Vous qui croyiez tomber ici chez de la parisienne suffisante et du misanthrope en crinoline, de haut, vous allez choir de votre branche vermoulue.
En effet, je dois bien le confesser, j’ai un terrible penchant, que dis-je une addiction féroce pour un élément de décoration particulièrement beauf : le sticker mural.
« C’est la génération Damidot, ça !« , que vous avez tous envie d’analyser, en vous croyant intelligents (alors que vous êtes plutôt cons, dans la moyenne).
Pas du tout, je regarde jamais Valérie, et c’est là où que c’est encore plus grave : c’est inné, les copains !