Madeleine Project

madeleine project

Jolie Histoire

Depuis le 2 novembre dernier, la journaliste Clara Beaudoux raconte l’histoire de Madeleine sur son compte Twitter, en utilisant le #Madeleineproject

Madeleine est née en mars 1915, a vécu vingt ans dans l’appartement qu’elle occupe aujourd’hui, et la cave qui lui appartenait n’a jamais été vidée après son décès. Avec l’autorisation de son seul descendant, un lointain filleul, Clara Beaudoux entreprend donc de vider la cave et, chaque jour, sur son compte twitter, nous fait part de ses découvertes : photographies, lettres, bibelots, dents de lait, cahiers d’écolier…

Elle retrace ainsi la vie de Madeleine pas à pas, grâce à tous ces éléments.

C’est souvent touchant, parfois intriguant, j’ai dévoré ça comme un feuilleton. Toute la « jolie histoire » est regroupée ici.
Joyeux jeudi !

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Catégories JE SAIS PAS

42 commentaires

  1. Oh génial! Merci pour la découverte Violette, je vais dévorer l’histoire de Madeleine avec délectation :).

  2. Violette, je suis en train de regarder plus attentivement le Madeleine project et je te remercie. J’ai envie de partager cela avec tous les gens que j’aime. Et de l’envoyer à mes profs d’ethnologie. Merci Violette! MERCI!

    1. Oui hein ? Moi aussi je me suis retenue de ne pas partager ça plus tôt sur les RS.

  3. Qu’est-ce c’est chouette comme histoire! Merci de nous la faire découvrir, c’est ce qui est j’aime ici, le côté complètement hétéroclite de tes posts… Ce n’est jamais la même chose, c’est personnel juste ce qu’il faut, et c’est la raison pour laquelle je te suis avec tant de plaisir depuis de si nombreuses années :-)

  4. Et PS, j’aime l’idée que les blogs aujourd’hui sont un peu nos caves de Madeleine… et laisseront peut-être à leur façon une jolie trace, comme celle qu’elle a laissée, sans même le savoir.
    Happy Thursday à toi depuis New York :-)

  5. Merci pour cette passionnante découverte. C’est peut-être la première fois que j’arrive à lire et suivre quelques chose sur Twitter :-)

  6. La théorie du complot n’est pas une chose qui m’intéresse, de manière générale…

    PS : Elle a découvert la cave à son arrivée en 2013 (elle le dit elle-même), mais a décidé de raconter l’histoire seulement deux ans plus tard.

  7. quel complot ? Inutile de convoquer de grands mots. Je n’apprécie pas qu’elle se substitue à Madeleine (« Madeleine aurait aimé ceci, cela »), qu’elle expose en public ses lettres à son fiancé, qu’elle s’empare ainsi de son intimité, oui, ça me gêne. Et plus le projet progressait, plus ça me gênait.

  8. J’avoue , je n’ai pas pu regarder jusqu’au bout , dès les 1ères photos , j’ai zappé ; ça me rappelle des souvenirs bien trop récents ( et douloureux ) de vidage d’appartement et de souvenirs familiaux …

  9. Ma fille s’appelle Madeleine… et est née le 7 Mars (2007). Alors j’avais commencé à suivre, amusée par le prénom, mais quand j’ai vu que « sa » Madeleine était née le 7 mars (1915)… ça a été un peu trop vertigineux pour moi. Mais je trouve l’histoire adorable !

    1. Ah oui dis donc, c’est un peu troublant cette histoire.
      J’avoue que, peut-être, j’ai été un peu plus touchée par le fait qu’elle s’appelait Madeleine. C’était le prénom de ma grand-mère adorée… et mon deuxième prénom aussi.

  10. merci Violette, je lis ça discretos au bureau et je suis bien contente de commencer aussi bien la journée avec cette découverte…
    quant aux critiques… je suis toujours assez fascinée par la capacité de certains à être des « pisse-froid » en toutes circonstances! les pauvres finalement!!!

    1. Moi aussi ça me fascine cette capacité qu’ont certaines personnes à tout rendre « moche »…

  11. C’est là où je vois que je suis vraiment 1er degré… (lorsque je lis tes articles, je lis aussi tous les coms avant d’écrire un truc) car je ne vois jamais le mal lorsque quelque chose de ce genre est exposé.
    Même si c’est vrai qu’aujourd’hui tout est bon pour faire du fric, et que rien n’est gratuit.
    Le truc aussi c’est qu’empathie est mon deuxième prénom, alors lorsque j’ai lu tes mots, je me suis dit « ouh la la, super, mais pas pour moi, je vais encore pleurer des litre si je lis un truc pareil » !!
    Bref, quand bien même les motivations de cette nana ne sont peut-être pas si « jolies », l’idée l’est malgré tout.

    1. Perso, je ne pense pas que ses motivations soient « moches », mais peut-être que moi aussi, je ne suis qu’empathie.
      Et puis, surtout, elle n’a fait aucun fric avec cette histoire.

    2. Ah bah j’avais compris que c’était le contraire… toutes mes confuses.
      Donc moches ou jolies, peu importe ses motivations. L’idée reste jolie.

  12. Le récit est tellement respectueux pour Madeleine et ses proches que c’en est drôlement touchant. Merci Violette pour le partage.

  13. C’est magnifique, tellement touchant… Triste aussi, de savoir que plus personne ne se préoccupe d’elle alors qu’elle conservait la vie des autres dans des enveloppes.
    En parcourant son histoire, je me suis demandé ce qu’il resterait de nous, nous qui n’écrivons plus de lettres et conservons nos photos dans des disques durs…
    Merci pour la jolie découverte Violette, je me souviens qu’il y a des années tu nous avais fait découvrir un beau projet photo aussi, je crois que c’était celui des gens qui se photographiaient à des années d’intervalle dans la même situation, le procédé utilisé dans le clip de Grand Corps Malade dont je te parlais. J’aime tellement ces bonds dans le passé…

  14. Quelle merveilleuse découverte ! Je viens de tout lire et j’ai trouvé ça touchant, délicat et respectueux. On sent même une joyeuse connivence entre ces deux destins mêlés. Encore une fois, merci pour ce partage Violette et bonne journée !

  15. Merci Violette ! J’ai tout lu et j’ai fini en larmes… C’est vrai que les grand-mères ont un peu toutes la même écriture, le même visage, la même coiffure, les babioles pleines de tendresse et d’humour… Et des histoires d’amour que l’on imagine.. Pfuou, quelle émotion.
    Je suis archéologue, et la fouille de cette cave me parle beaucoup !

    1. Tu sais que quand j’ai été le plus émue, c’est quand elle écrit ça justement : « Est-ce que toutes les grand-mères n’ont pas la même écriture ? ». C’est tellement bien vu <3

  16. J’ai vu les critiques avant de voir le projet (il est dans une de mes to-do-list) et je me suis dit que si je mourrais sans enfant(s) j’aimerais que quelqu’un fasse cela… pas forcément sur les réseaux sociaux (encore que…) mais soit le conteur de mon histoire.

    Et, sinon c’est moi ou les gens sur les internets ont tous la « tête près du bonnet » là ?

  17. Je ne connaissais pas le projet jusqu’ici et ne suis pas du tout au courant ni des motivations de Clara Beaudoux, ni des crtiques à son encontre donc aucun jugement là-dessus. En revanche, je m’interroge un peu sur l’étalement de l’intimité d’une personne sans son consentement. Je comprends qu’on trouve ça touchant, joli ou émouvant mais n’empêche, la question du respect d’autrui me taraude. Je ne peux pas imaginer qu’on publie mes photos ou les lettres à mon amoureux sans mon accord, quand bien même ce serait fait après ma mort. Tout ça pour dire que ça me met un peu mal à l’aise parce que Madeleine aurait peut-être été ravie de tout ça, certes. Mais peut-être pas.

  18. re,

    J’ai lu (plus que j’ai mangé) cette belle histoire pleine d’émotion et de sensibilité. Re merci pour la belle découverte.

    Et j’ai lu aussi les commentaires précédents (je n’aurai pas dû). Personnellement je préfère ce beau projet comme « vidage de cave » que celui qui consiste à tout mettre en brocante !!! Là c’est beau, c’est émouvant et respectueux de la dame.

    Tu avais raison j’ai passé une bien belle pause déjeuner ;-)

  19. J’ai un sentiment étrange. D’un coté je suis fascinée par cette découverte d’une vie gardée dans des cartons et d’un autre côté je me dis que si tout ceci a été gardé secret est-ce à une inconnue de dévoiler tout ça ?!
    Je ne sais pas, je m’interroge et n’ai pas la réponse.

    Cette façon de tutoyer cette dame et de s’approprier sa vie me gène un peu aussi.

  20. J’ai dévoré ce récit l’autre jour, émue par ces souvenirs, cette petite fenêtre sur l’Histoire, oui sans doute romancés par la journaliste. J’ai pensé que, contrairement à Madeleine, ma grand-mère a eu beaucoup de chance. Quand elle est partie ce sont ses filles qui ont accédé à des pans de sa vie en vidant la maison. S’il y a un là-haut, elle a du bien rigoler en les voyant glousser devant leurs découvertes. J’étais trop loin pour pouvoir participer mais j’aurais adoré. Et le Madeleine Project m’a donné une toute petite partie de ce que j’ai manqué.

  21. Wow, merci Violette pour cette découverte partagée!
    Comme c’est touchant et passionnant et touchant …et plein de respect, il me semble.

    J’ai parcouru les commentaires précédents avant de laisser le mien et j’ai bien compris qu’il y aurait un truc louche (ou pas) derrière tout ça …et bien, j’ai décidé de m’en ficher parce que quand même, des histoires authentique comme celle-là, ça n’arrive pas tous les jours, no? Et même si elle avait fait le « fric » avec (j’espère bien qu’elle n’a pas tout bonnement jeté tout ce trésor aux ordures!), elle l’a bien mérité car ça m’a fait une lecture vraiment passionnante et merci pour ce moment. Voilà.

  22. Quelle belle découverte.
    Merci pour ce partage un peu nostalgique.
    Et moi qui n’ait eu aucun lien avec mes grand parents (tant côté paternel que maternel) je me dis que si ça se trouve j’aurais pu faire de belles découvertes dans leur cave ou leur grenier.
    C’est vraiment touchant.
    Et qu’allons nous laisser à nos enfants ? moi qui range trie et met à la benne faute de place pour stocker beaucoup de choses, …
    bref, merci pour le partage.

  23. Je me sens obligée de revenir.
    En 1er lieu, mille excuses si j’ai été maladroite en écrivant « blogueuse mode » ce matin sur FB. C’est que pour moi, c’est un poney de bataille (je minimise parce que j’ai aussi des chevaux de bataille) de faire comprendre que la mode n’est pas que chiffons. Tu vois un peu comme Fiona Schmidt que j’apprécie particulièrement pour tout ce qui transpire de la mode vue par elle.
    Ce truc en plus que tu as. Toi. Précisément.
    Bref, je me sens aussi obligée de revenir parce que j’ai regardé le projet Madeleine. Je me suis questionnée sur la pudeur. A partir de quel moment peut-on commencer à proposer une analyse de vécu d’une personne décédée? Quand elle est morte depuis 10 ans? Quand sa descendance directe est morte aussi? Quand cette personne est célèbre? Quand commence l’Histoire et la petite histoire? On étudie bien, sans embarras, les lettres d’amoureux célèbres, les correspondances… Et quand on va faire du tourisme, on se pose moins de questions en prenant en photo les « autochtones ». Et on trouve esthétique la misère, la douleur, les photos de guerre.
    Moi ce qui m’a gênée, c’est que je ressentais le positionnement politique de la journaliste (sans doute parce que ce n’est pas le mien. Mais là aussi j’interprète).
    Mais je me suis focalisée sur cette cave, cette dame qui écrivait comme ma grand-mère dans son cahier de recettes. C’est fou ça. Ma grand-mère adorée! Je me suis dit « tu te fais avoir ma vieille, c’est gros comme ficelle. »
    Je n’ai pas vu de voyeurisme malsain dans cette histoire (peut-être un peu de sensiblerie trafiquée oui). Ce qui m’a semblé plus dur: le lointain filleul qui s’en fout. Comme tout le monde non? C’est normal, c’est notre mort que cela questionne.
    Et puis, je me suis dit « ne sois pas dans le jugement, regarde Madeleine, apprends d’elle ».
    La mémoire de nos anciens est un cadeau. Et honnêtement, si quand nous serons partis, quelqu’un peut répéter aux autres les mots d’amour que mon chéri et moi avons échangés, ce sera génial. Ma pudeur quoi? En quoi ce que je veux cacher aux autres aura encore de la valeur quand je serai devenue poussière? Vais-je faire tant de saloperies que j’en aurai honte, même morte?
    Merde à la fin, quand je mourrai, je ne laisserai aucune valise pleine de lettres. Rien. Un Instagram?
    Respecter ses morts comme ses vivants, c’est aussi ranger leurs affaires après leur départ. Ranger les affaires de ma grand-mère, ma mère l’a fait. Je rangerai celle de ma mère. Et j’aurai toute la tendresse possible. La journaliste l’a fait pour Madeleine (elle l’a fait différemment de ce que j’aurai fait, c’est sûr). Vous vouliez quoi? Qu’elle passe tout à la benne?!

    1. Je comprends ton point de vue que beaucoup partagent apparemment mais rien ne dit que Madeleine aurait souhaité tout ça et pas grand monde ne semble vraiment s’en soucier.
      Je me permets de rebondir parce que justement, hier, quand j’ai parlé du projet Madeleine à mon compte joint, il m’a répondu “c’est exactement pour ça que ma grand-mère m’a dit un jour qu’elle souhaitait brûler toutes ses lettres avant sa mort, pour que personne ne trahisse son intimité”. Alors voilà, encore une fois, je comprends qu’on puisse trouver le projet joli et émouvant mais je crois que c’est parce qu’on y projette ses propres sentiments vis à vis de ses grands-parents et la nostalgie qui va avec, et peut-être même sa propre peur de l’oubl. Madeleine elle, n’est plus là pour dire ce qu’elle aurait souhaité. Bien sûr, je n’en sais pas plus que n’importe qui d’autre quant à ses souhaits mais je me pose la question. (Et entre passer tout à la benne et publier sur internet, il y a de la marge :-)

    2. Je n’ai pas dû être parfaitement explicite. En fait, le projet Madeleine porte assez mal son nom puisqu’il ne s’agit pas à proprement parler d’un projet. Quand je dis « tout passer » à la benne, c’est ce qu’avait prévu le neveu lointain. Je me questionne surtout sur le temps à accorder avant de publier. On montre les lettres de poilus sans trop s’émouvoir de la pudeur à accorder à leur amour par exemple. A partir de quelle date ne s’est-on plus inquiété de ce qu’ils auraient pû en penser?
      Depuis combien de temps faut-il être parti pour que notre mémoire devienne publique? Et ensuite, que choisit-on de montrer? Cette découverte aurait été faite par un ethnologue, elle aurait probablement été exploitée de façon différente.
      Je n’ai pas de réponse en fait mais j’en ai parfois assez des gens qui, croyant moraliser (dans le sens positif) finissent par rendre tout moralisateur.

  24. C’est vrai que ma grand-mère avait la même écriture! Moi ça me touche beaucoup cette initiative. Et ça me fait regretter de ne pas avoir tenu une sorte de journal en images (pas forcément public) des découvertes que je fais dans la maison que j’habite. C’était la ferme de mes grands-parents et je vide quelques meubles de temps en temps. J’ai du mal à jeter car c’est les faire disparaître encore plus. J’ai par exemple donné leurs habits à un ami costumier, pour qu’ils reprennent vie sur scène encore un peu. Et donc maintenant ces vêtements je regrette de ne pas les avoir photographié! Je vais peut être m’y tenir si je découvre encore des trésors dans cette archéologie familiale.

  25. Merci Violette pour ce partage, je serai passée à côté sans toi. Tout cela me renvoie à un beau lieu de ma ville (Metz): La Conserverie: le conservatoire de l’album familial. Là où vont les albums délaissés, chinés, jetés, pour que ces humains sur les photos, qui ont aimé, qui ont mangé, qui ont fait des colos, pris des vacances, fait du manège… ne disparaissent pas tout fait, délavés et oubliés. C’est chouette, comme l’histoire de Madeleine. Humain, doux, attentif, curieux, ce docu-tweet, et j’ai aimé ça, que Clara dévoile cette humaine-là à l’heure où d’autres de nos frères humains débarquent harassés, terrifiés, sans rien, leurs photos, leurs journaux, leurs lettres, leurs passés disparus. Bon je suis un peu hors sujet là.

  26. Merci de ce partage , je vis en ce moment mon « madeleine project  » perso en vidant la maison de mes parents , mon père était né en 1918 , il m’a eue trés tard mais je ne suis pas une perdrix de l’année.

    J’ai trouvé de nombreuses choses dont il ne nous avait jamais révèlé l’existence , sa correspondance de prisonnier de guerre , ses lettres envoyées à sa mère et son frére et celles qu’il avait reçues comme un écho , de Mai 1940 à Mai 1945 , et on découvre ainsi le prodige du courrier des armées en ces temps chaotiques , des photos de sa jeunesse inconnue de moi ,bref je me suis posée la question de qu’en faire , un musée ?
    Finalement je connais un des auteurs , et j’ai découvert ma grand-mère et mon oncle à travers leurs écrits , je garde et je laisse donc à mon fils le choix d’en disposer plus tard .

    Ce qui est étonnant c’est que mon père a conservé toute la vie de sa logeuse allemande (residant de 1947 à 1954 ) qui a fait de lui son légataire et là je découvre 20 albums photos de sa vie de 1912 à 1960 ,organisés avec des commentaires, des photos de voyage en 1929 , 1936 , dans les balkans , en egypte , libye etc et des photos de l’allemagne nazi 1933 – 1935 , des photos de meeting aeriens en 1929 , des Zeppelins,,,

    Je pourrais vendre le tout un bon prix , j’ai peu de place ,suis locataire ,je ne connais pas cette dame , mais après réflexion j’aurais l’impression de vendre une personne , une vie , donc je garde tout et je ferais des soirées photos pour montrer le témoignage de cette femme , son regard porté par ses photos , j’ai aussi son Leica de 1927 :-) .
    Et dans ce sens je comprend ce que veux faire la journaliste en montrant la vie de Madeleine ( qui n’a pas de descendant et dont tout le monde se fout ) qui n’a pas tout gardé pour rien , elle se faisait sans doute une idée de la trace qu’elle laisserait .

    Bref tout ceci me parle , mais surtout c’est la preuve d ‘une autre vie , en slow motion , la patience .Les conventions et la technologie obligeaient à la lenteur et on gardait alors longtemps la trace de ce qui s’était accompli.

    Pour rebondir sur le dernier com ceux qui sont partis la valise à la main ne transmettent pas de la même manière , je l’ai vu pour ma copine « pied noir  » après le décès de ses parents .

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