Ludéal : ludique et idéal

(Ne dis rien. Je sais. C’est une bombe…)

En décembre, on me propose avec une gentillesse déconcertante d’assister au show-case de Ludéal au Studio 28.
J’y dis (à la personne qui propose) merci grandement, sauf que késako « Ludéal » ?
Elle me répond que c’est un chanteur trop de la balle que même les Inrocks l’encensent.
Je dis que dans ce cas j’y cours, j’y vole.

Donc, je propose à mon ami TF de m’accompagner. Il dit qu’il sera un tout petit peu en retard, mais bon.

Moi, j’ai été grandement emballée par le concert et par le charme magnétique du garçon même qu’en vrai il ressemble à Jonathan Rhys-Meyer, qu’on a envie de prendre la place de Scarlett Johansson pour aller se rouler dans les champs de blé avec lui, même si, à la fin du film, il la bute.

Alors tout le monde aime le comparer à Bashung. Moi je dis oui, mais pas que.
D’ailleurs, je sais pas trop ce que je dis, mais je vois aussi des influences des Chedid père et fils, voire même du Maxime Le Forestier sur la chanson « Les lycéennes ».

Et aussi qu’il cultive une certaine nervosité nonchalante, ce qui ne doit pas être chose aisée…

En sortant (seule) de la salle, à la fin, je vois TF qui me dit : « Pardon, mais j’ai quand même écouté la moitié de la dernière chanson et ça a l’air bien, si, si. Viens on va picoler au Sancerre !« 

J’te jure qu’il est con lui parfois, il fait aucun effort.

Alors, tu sais, je ne suis pas débile non plus. Toi, dès que y’a une touche « play » sur un blog, ça te gonfle.
Et vas-y que « j’ai pas le son » par-ci, « je suis en open space » par-là, mais dis-moi tu bosses à La Poste, ou quoi ?
Bon, donc, je sais bien que y’en a pas le quart de la moitié du cosinus de la tangente qui va écouter ce morceau et la vérité, ça me peine.

Pourquoi ? Je vais vous le dire.
Parce que hier, est sorti son premier album éponyme chez tous les bons disquaires (la FNAC quoi).
C’est un disque réellement intriguant, insolite et attachant. Dix chansons où se mêlent des images à l’emporte-pièce et une galerie de personnages que ne désavouerait pas Lewis Carroll. (je suis assez fière de cette phrase qu’on la dirait issue du dossier de presse)

Et que, aujourd’hui (lendemain d’hier, donc), je te propose de gagner son album !
Enfin, 4 albums. Pour 4 personnes. Qui m’enverront un chèque. Un gros chèque.
Bref, arrête de dire des conneries.

Je récapitule.

A gagner : Pas deux, pas trois, non Maryse, mais 4 albums de Ludéal !

Et pour le gagner, l’album, comment donc qu’il faut faire ?

Alors, comme le titre que je te propose à l’écoute est aussi mon préféré de l’album (tu vas me dire le hasard fait bien les choses) et qu’il se nomme « les lycéennes », ça va tourner autour de cette thématique, tu t’en doutes.
De toute façon, vu le niveau ici, j’allais pas te faire disserter sur les accords d’Evian, hein !

Donc, tu vas me faire une rédaction de 3 ou 4 lignes maximum, où tu décriras ton souvenir de lycée le plus fort.
Après je choisirai mes 4 préférés, arbitrairement.
Le plus touchant, le plus drôle, le plus loufoque, je laisserai mon coeur me guider. Et ce sera beau.
Vous avez jusqu’à minuit pour participer, dans les commentaires. Je donnerai les résultats dans la semaine.
Cordialement.

La semaine prochaine, j’interwierai Ludéal, nous tomberons follement amoureux, mais nous n’aurons pas d’enfants, ça va bien comme ça !

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157 commentaires

  1. Ho… Quand j’ai commencé à lire le billet… Film… Scarlett… J’ai pensé que tu parlerais des Vixens et de Russ Meyer… Même pas, je suis déçu…

    T’y seras à la boule noire ma chérie ? J’y vais le 12.

  2. Sinon, je peux pas participer au concours, j’ai arrêté les cours en 6e… C’était trop compliqué l’anglais, j’ai pas supporté, j’ai préféré fuir…

  3. J’aime pas les concours. J’ai jamais d’idées.
    On a le droit d’inventer ?
    De toute façon, moi j’étais à Saint Cyr… c’est obligé que je gagne.

  4. On m’a envoyé l’album…je pense que les mêmes personnes m’ont contacté. « Les lycéennes » est le meilleur morceau de l’album. Mais je ne suis pas convaincu, car je trouve tout ça d’un monotone trop marqué…donc j’hésite à dire du mal du produit, ce serait vache…**

    ** à cheval donné, on ne regarde pas les dents**

  5. Le truc le + dingue qui m’est arrivé au lycée, c’est le jour où j’ai eu, pour la 1ère fois, la moyenne à un devoir de philo.
    Nan, je plaisante ! J’ai jamais eu la moyenne en philo.
    (pas trop long, mon récit, j’espère)

  6. Déjà je suis touchée par les textes, j’avais déjà eu un aperçu de sa musique, et les mélodies et les textes sont très beaux… Tu veux que je disserte sur le lycée, c’est compliqué, je n’aime pas parler de ma vie, mais bon je vais jouer le jeu, 3, 4lignes tu dis, attention ils ont intérêt à respecter la longueur les gens hein! bon c’est parti avec en fond sonore la superbe chanson sur ton blog:
    A l’époque en 1ère j’étais très sensible, mais qui ne l’aurait pas été, j’ai été absente pendant une longue période de cours pour une raison grave, et j’ai eu la grande émotion à mon retour de voir à mon entrée dans la salle, tous mes profs réunis ainsi que ma classe avec pleins de jolis écrits et des attentions toutes plus belles les unes que les autres… une grande tendresse pour ce jour même s’il marque un certain moment douloureux d’une vie…
    Voilà j’ai parlé de ma life c’est chaud laisse moi te le dire mais en même temps sur cette chanson, ça me touche particulièrement de le faire ici. piouh ça m’a donné chaud cette affaire.

  7. Dans la mesure ou mes souvenir de lycée sont douloureux, je préfère t’envoi un gros cédé pour gagner 4 chèques… C’est possible?????

  8. Ouais mais comme je suis alcoolisée je sais même plus écrire en plus alors hein….
    Une rédaction de 4 lignes c’est au dessus de mes forces!

  9. Le lycée

    premiers joints, premieres clopes,
    Vive les petites syncopes!
    Les garçons, les hommes passent
    On est à ras la tasse.
    Et si les parent crient
    On s’en fou on en rit!
    Toujours des maladresses
    Téléphone à fond la caisse
    sur le jukebox du bar désert
    On se met à l’envers
    Pendant qu’on sèche
    On oublie qu’c’est la dèche
    Encore quelques mois
    Ca sera derrière soi.

  10. Olalala ça alors.
    Moi qui croyais que je ne pouvais plus être touchée par le beau.
    Pfiou.
    Tu veux que je te dise? Ben en d’autres circonstances j’aurais couru à la fnac demain acheter l’album. Mais je suis immobilisée pour une durée indeterminée, donc je vais le commander, parce qu’on est évolués ou on ne l’est pas, et que je ne pourrai décemment pas tenir plusieurs semaines sans écouter ta trouvaille.
    Merci ben chère Violette, me voilà qui vais me coucher (enfin je le suis déjà hein tu me diras) le coeur battant. Oui oui je suis lyrique.

  11. De lycée, j’en n’ai pas, à part prendre des cours de roulage de joints sous le préau des fumeurs (moi qui n’ai jamais touché un joint, dans tous les sens du terme, et encore moins essayé d’en fumer un…).

    Par contre, à l’école primaire, une fois, j’ai couru après un garçon, il est tombé par terre, et je l’ai embrassé sur la bouche. Juste comme ça, presque rien. Je devais avoir dans les 8 ou 9 ans. Ben j’ai pas recommencé avant 18.

  12. Mon plus beaux souvenir de lycée ? Le jour où le prof de francais nous a rendu les copies du bac blanc. La veille au soir de l’examen j’étais aller me « détendre » en boîte de nuit . Le jour j, étant de ce fait dans un état proche de l’Ohio -enfin bon pas vraiment geographiquement mais j’aime bien l’expression- j’ai écrit un essai de 8 pages sur le bonheur qu’on les vaches à regarder les trains… Résultat: 16/20 et les compliments du prof. Inoubliable!

  13. Bon ça j’en ai du dossier … mais je me demande si c’est bon pour ma réputation blogosphérique tout ça.

    Par contre j’ai écouté ton Ludwig là, et je dois dire que je suis pas fan. Mais bon tu connais mes goûts musicaux …

  14. mais personne n’a lu jusqu’au bout ou koi?!
    JUSQU’A MINUIT!! :)

    bon ok, ce n’est pas pour autant qu’il faut pas laisser de commentaire… mais quand meme, tous ces souvenirs d’ados, moi, ça me, ça me koi.

    bonne journée.

  15. ben moi, un grand souvenir de lycéenne, c’est quand mon prof de français, en première – un peu âgé et portée sur la question, on étudiait Sade en cours, c’est tout dire – m’a invitée, un froid matin que j’étais en avance et attendais toute seule dans la cours devant sa salle, à entrer dans sa chambre…. »euh…non mademoiselle, dans ma chambre, bien sûr »…
    curieusement, j’ai décliné….

  16. hisaux : j’y vais le 13, à la Boule Noire !

    so long : je te rappelle que j’étais à Saint Cyr également, y’a compet’ ! (ha non, moi je l’ai déjà le CD, je suis con)

    Osmany : Pour moi aussi, comme je le dis, c’est le meilleur morceau

    Ninoute : ???? Mais d’où tu vas l’acheter ? Je te propose de la gagner, vous lisez pas jusqu’au bout ou bien ?

    méluzine : j’ai pas compris, tu veux m’envoyer 4 chèques, c’est ça ?

    alexiane : je connais et je confirme que le disque pourri qui tourne en boucle pendant 4 heures toute la soirée c’est une horeur, et aussi en matière de mecs… (je dis pas ça pour MOM qui est sosie officiel de qui tu sais, hein !)

    noisette : T’as toute la journée !

    Et tous ceux qui participent merci, je regarde ça et je vous dis dans la semaine

  17. C’est le plus beau du lycée, pas frimeur,bien branché
    Je suis dans le peloton de queue malgré mes beaux yeux
    Printemps 82 en rouge et blanc j’arrive à l’intéresser
    Après-midi ensoleillé par terre on s’assied
    Mon pantalon se relève et damned dévoile des mollets pas épilés
    Regards croisés et là, couperet:
    « On dirait un petit cactus! »
    Rien de méchant dans son regard ou dans le ton et pourtant…
    Pour moi l’anéantissement de mois d’acharnement afin de plaire à ce garçon…

  18. Moi j’ai rien à écrire sur le lycée, j’étais très, très introvertie, j’avais peur de tout. Un jour de 2000 je me suis faite offrir un voyage d’un mois aux states et je suis revenue folle dingo.

    Bonjour,
    Bean.

  19. Tu sais que je t’adore toi ?? Suis coincée at home aujourd’hui. Un truc inavouable sur le web mondial. Non pas la courante.
    Bref, j’ai click » sur rien du tout moi et la chanson passe en boucle. J’adore. T’es trop forte ma Fée.

    Souvenir de Lycée ou bien je commande à la Fnac direct ??

    Ma période Lycée c’est ma période Grunge, existencielle donc. J’étais tellement pas moi ou en recherche de moi que plus d’une fois j’ai eu super honte d’arriver en classe en tong de noich’ Oui M’dame !! Fin. Cut !!

    Oui tombe amoureuse de lui, ce serait cool !! Tu deviendras Kate Moss ??

  20. Cherie, darling, chou,

    Mon souvenir le plus émouvant du Lycée : quand je me suis tapé la meuf de mon meilleur ami parce que je ne pouvait pas me le faire. Ils ont rompu et je l’ai eu pour moi tout seul… Mais je n’ai quand même pas pu me le taper (c’est la morale de l’histoire : mal acquis ne profite jamais… C’est aussi 1 commandement à ne pas violer : tu ne coucheras point avec la copine de ton meilleur ami quand tu préféres les mecs parce que c’est ridicule).

    Une fois je me suis aussi coincé le … Enfin la.. Dans la braguette. Ça aussi ça provoque chez moi 1 souvenir ému.

  21. st cyr à versailles ?
    la classe, vous avez dû y être en même temps que mon petit frère…
    moi j’ai été prof à saint cyr, mais celui qui est en bretagne !!

  22. emmanuelle h : ça dépend, il y était quand ton petit frère ?

    bean : (bonjour), tu me déçois. Vraiment. Y’ura plus jamais de concours. A cause de toi. T’as vu la responsabilité ?

    Fran : Ha ben on tombe bien aujourd’hui ! T’es la Reine du clic !

    Nahimage : Il a un look d’enfer le Travis !

    Ben : Et il faut que j’apprenne de telles anecdotes sur mon blog ! C’est émouvant, tu sais ! (en même temps, l’album, t’aurais pu le copier chez moi, même si c’est pas beau)

  23. Ouais, Cerises, t’exagères bordel ! Je vais encore passer des plombes à lire tout ça ! T’es vilaine, tu sais !

  24. Mon souvenir le plus fort au lycée, c’était quand tous les jeudi matins, pendant au moins 5 mois, je venais au lycée sous champis avec ma copine Laureline. On avait cours de science nat, français, anglais… autant te dire qu’on était intenable et que c’était n’importe quoi.
    Mais que de bons souvenirs…

    (bon sinon y’en a d’autres, mais bon, c’est celui là le plus drôle pour moi)

  25. Ludéal, j’aurais dit un mix de Bashung et Le Forestier moi, tiens, pas forcément Gainsbourg. Bref, j’aime. Allez y, concourrez les amis.

  26. Oooh Suis la Reine de quelque chose aujourd’hui. Que de bontés !!!
    Je T’aime Toi tu sais …. Faute à la mélodie peut-etre …

  27. Comme je travaille à la Poste je peux pas l’écouter bien qu’après lecture des comm je me demande bien quel gout il a ce morceau. Autrement pour les souvenirs de lycée (internat pour moi) en 3 lignes je suis pas capable…

  28. Mon meilleur souvenir de lycée c’est quand je me suis présentée à l’oral de latin attifée comme un pot de fleurs, avec des cheveux orange rapport à la teinture blonde qu’avait viré (j’ai appris depuis que blonde jamais je ne serai à cause de ma matière capillaire et ça a ruiné ma vie, n’ayons pas peur des mots). J’étais sexy comme un camion, belle comme un flamboyant automnal (ça c’était à cause du tailleur pantalon blanc avec des grosses fleurs roses et vertes, que franchement c’était la classe, surtout que la veste était à basque, si, si, je te jure). Je portais à cette époque bénie de l’acné et des lunettes à montures noires rayées de blanc, un vrai bonheur. Mais j’ai quand même eu 19 à cet oral de latin. Le prof était vieux et miro et moi brillante (rapport au gel dans les cheveux, évidemment)… (‘tain, si avec ça je gagne pas un album, alors que ce souvenir est une torture, t’es vraiment sans coeur)

  29. Ce serait pas les lycéennes QUE je me remémore et non DONT je me remémore ?
    Gainsbourg l’aurait pas faite, celle-ci ?
    Et je reconnais trop la voix de Maxime Le Forestier derrière celle de Ludéal. Mais la mélodie est bien.
    Donc, tu l’as compris, je veux pas tellement son album, je suis trop comme Luz et j’ai trop de mal avec la chanson française. Et puis j’ai pas trop de souvenirs de lycée non plus.
    Mais à part ça, la bise, hein !

  30. Mon meilleur souvenir de lycée ? la Terminale… nous étions une bande de jeunes, près à refaire le monde… on ne s’appelait plus que par nos initiales… Rv au café… enfin digne de « la boum » ! la liberté !!

    Ma plus grande honte…. je vais avec le mono de l’auto école chercher LE MEC que tout le lycée convoite. L’homme n’est pas très fidèle à sa dulcinée que je vois dans le train tous les jours. Ca ne devrait pas être difficile…. je roucoule outrageseument… il me sourit… me carese du regard… je minaude « ah demain »… là c’est certains demain il est à moi…; toute la classe est au courant, me surveille, me couvre quand j’arrive en retard en classe parce que j’ai fait des détours pour passer devant SA classe…
    Mardi, j’arrive sous le hall, je m’avance vers lui et….
    UNE PETASSE DE 1 METRE 10 SUR TALONS ME POUSSE, ELLE PASSE DEVANT, REMONTE LA TETE EVIDEMMENT, IL l’A PENCHE ET L’EMBRASSE DEVANT TOUT LE MONDE !!

    LA HONNNNNNNNNNNNNNTE !!

  31. Spike : ça va être chaud de faire gagner une camée, c’est pas un exemple pour les jeunes !

    Angie : Moi aussi j’étais chez les Soeurs, et crois-moi que ça déconnait grave et qu’on priait jamais !

    gall : Je suis barrée, j’ai corrigé grâce à toi. Il faut lire Bashung et pas Gainsbourg !

    Mila : Non ??? C’est un disque sous hormones, donc ?

    domino : Oh et puis tu sais c’est tout con à installer, ça prend deux minutes…

    wasabi : Tu peux aller sur sa page myspace, écouter le titre, tu auras une réponse.

    fashion : je crois que t’es en bonne position, sans trop m’avancer (bravo)

  32. Joli découverte que ton coup du cœur auditif. Du coup tu me motives, je me lance dans le commentaire.
    En 1ère, traumatisée par un déménagement transatlantique en pleine année, en pleine crise d’ado (je pleurais tous les jours) un peu jeune (car en avance) et effrayée par l’atmosphère chargée véhiculée par mes libidineux et boutonneux comparses travaillés par leurs hormones, autant dire que j’étais hyper méga timide et plus que discrète. Bien qu’en filière science j’adorais le français (j’étais bien la seule à aimer rédiger mes disserts) et ma prof aimait bien lire 1 ou 2 dissert pour nous faire juger sur pièce des progrès à faire. Un jour après lecture d’un de mes « chefs d’œuvre », PP, le mec le plus populaire de 1ère , grand brun un peu cancre mais au charme et au bagout indéniables (d’accord j’avais grave le béguin) demande à la prof ma note qui lui dit et lui rétorque : « mais madame si vous lui mettez ça comment voulez-vous qu’on espère avoir la moyenne ». Il m’a fait monter ma note de 3 points.
    Bon ma vie, n’est pas une comédie romantique : je l’ai pas chopé. Mais super souvenir quand même…

  33. PS:
    Si si Violette je te jure Quand je l’ai écrit sur word (police 10, format paysage) ça faisait 3,5 lignes.

  34. Bon, moi j’étais chez les bonnes soeurs alors y a pas vraiment de trucs sympas à raconter. On se levait, on priait, on prenait notre petit déj, on priait, après y avait les cours et de temps en temps, on priait, après y avait le repas de midi, au dessert on priait, puis les cours reprenaient. Et de nouveau, on priait, et ainsi de suite, jusqu’au soir on ne cessait de prier.

    Bref, y avait de la prière dans l’air.

    Merci petit Jésus de me faire gagner un album de ce merveilleux sosie de Jonathan. Promis, si je gagne, j’en prendrais grand soin.

    C’est assez larmoyant et touchant comme histoire ?

  35. Frieda : oui c’est fou hein ? Pour Maxime, j’entends ! La bise, la Fri !

    La truffe 2 : Admirative je suis que tu aies exposé ici ce moment de honte !

    la blonde : excellente anecdote !

    moije : ha mais moi, je kiffe les deux ! Bon Daniel est un poil trop gaulé, je suis plus attirée par les « maudits et torturés », mais je ne dis pas « fontaine, bla bla.. »

  36. Bon… trop lourde la responsabilité… Attention… Comédienne!

    Hum, hum…

    Moi quand j’étais au lycée, les gens me crachaient dessus, ils mettaient du chewing gum et des mentos machouillés dans mes cheveux, et le seul gars qui restait près de moi, c’était jean-michel.

    Jean-michel était particulier car il nouait consciensieusement son anorak autour de son cou, et se prenait pour superman. La morve au nez en plus…

    A 16 ans…

    Mieux?

  37. Lol, quand j’ai lu le titre, j’ai cru que tu allais nous parler de pillule, ben oui la mienne s’appelle Ludéal Gé… alors bon !

    Après j’ai lu l’article et j’ai bien compris que ce jeune homme avait pas mal de talent , et que ce n’etait pas une pillule mais plutot un artiste !

    Donc je décide de participer à ton pitit concours surtout, que j’ai plein d’histoire assez drole a te raconter…

    Bon déjà, il faut que tu saches que quand j’étais en 2nde, j’étais au sénégal, (oui, j’aime voyager et j’y suis restée deux ans).

    J’étais donc au sénégal, et j’étais aussi la déléguée d’une classe assez fofolle, un peu beaucoup casse couille pour les profs… Leur hantise : avoir cour avec les 2nde E. Surtout que nos profs etaient assez facile a faire fléchir…

    Je m’explique :

    – entre le prof de francais qui avait peur du noir, et ça on avait bien compris que dès qu’il rendait les devoirs si les notes ne nous plaisait pas, on baissait les rideaux et hop, les notes monter instantanément de 2 ou 3 points :D

    -le prof d’espagnol, qui etait tout jeune et avec pas grand chose d’experience et ca on l’avait bien compris aussi, on avait aussi vu que des qu’il s’enervait, il allait s’assoir à son bureau, il nous suffissait de cacher un copain sous le bureau pour lui faire peur a tous les coup et qu’ils sortent en pleurant.

    – le prof de physique qui pétait sa paillasse en faisant la célèbre expérience « combien de temps met un kilo à parcourir un mètre en tombant ? ». Ou qui essayait de résoudre les problèmes de fonce sceptique du lycée grace a ses formules qui empiraient les choses

    – la prof de géo qui tournait comme une girouette grace a une organisation de folie de notre part pour la faire tourner de plus en plus vite grace à une foire aux question de sa mère qui tue ! Notre record : 25 tours en 4minutes !

    Bref on etait des saletés et vu qu’il y avait une grande cohésion personne ne dénoncer, et face à cette insolence la CPE avait décidé de toujours punir les délégués… donc moi et un copain, d’ailleurs pendant ces longues heures de colle, c’etait devenu plus qu’un collègue délégué…

    Ah c’est beau la jeunesse, c’est beau l’impertinence, c’est beau l’amour de jeunesse !

  38. AU lycée, en seconde, j’ai eu la joie de pouvoir acceuillir chez moi un ou une correspondante espagnole en échange il ou elle m’acceuillerais à son tour dans son beau pays, au moment des inscription sur le formulaire à la question voulez-vous un correspondant : garçon, fille ou peu importe j’ai répondu gar4on, je voyais déjà le bel espagnole dormir sous mon toit!
    le jour de leur arrivé j’entend le prof appeler Mila voici ton correspond Jaimé, je suis parti en courant appeler ma mère et je lui est dit « je le veux pas il est trop moche! »

    sinon tu sais que ton Ludéal il a choisit le nom d’une pillule contraceptive?

  39. ‘tain mais j’avais pas dit « 2 ou 3 lignes maximum » ???
    Kro : t’es un malade !!!

    bean : ha mais c’est mieux ! C’est excellent ! C’est dommage que tu n’aimes pas l’artiste, tiens !

  40. fred : Finalement, le romantisme n’est pas décédé !

    emilie : keske té pakool !

    bogart : Je comprends pas pourquoi faut que j’apprenne des trucs de mes potes sur ce blog !
    Est-ce à dire que dans la vraie vie, on se lâche pas bordel !
    Oui, on DOIT se la péter sur ce blog !
    Cordialement.

  41. Bon. Spike me disant qu’il faut que je mette quelque chose (rien que pour ça, Violette, vous devriez lui offrir un des 4), je vais mettre quelque chose.

    Bref, étant donc un beau souffre douleur au lycée, j’ai passé plusieurs années de merde. Voilà, mon souvenir fort du lycée, c’est ça. Des années de merde et des gens sur lesquels je crache avec bonheur aujourd’hui quand je vois ce qu’ils sont devenus …

  42. j’ai une petite anecdote qui vaut plus le coup d’être vécue que d’être racontée, mais on s’en fout, j’me lance.

    Alors j’étais en seconde, en cours de physique. Faut savoir que dans mon lycée élitiste d’élèves coincés, les élèves étaient tous sages comme des images… sauf en physique.
    Donc moi, avec ma cop’ de physique, bin, j’ai trouvé un moyen ludique d’interrompre le cours.

    Comme dans toute salle de physique, y’avait une sorte de circuit électrique avec une ampoule.
    Pour ce cours, on bossait sur des ordinateurs, à côté donc sur circuit électrique.
    Et tu vois pas que j’avais trouvé la bonne idée de mettre une pièce de 5 centimes entre la douille et le culot de l’ampoule, et d’allumer!
    On a fait dijoncter le courant à peu près 5 fois, faisant sauter l’électicité de la classe et biensûr couper et planter les ordinateurs par la même occasion!

    Personne n’a jamais compris que c’était nous.
    Un bon souvenir

  43. Violette, moi je l’aime ce Ludéal c’est vraiment beau, alors je vais tenter ma chance pour l’album!
    Souvenir de Lycée pas évident, certainement la fois ou l’un de mes potes m’avait fait fumé un joint (je jure le seul et l’unique maman!) et que dans ma fougue droguesque j’ai décidé de me sauver de ma classe de chimie (j’ai jamais aimé ça, je suis une littéraire moi Madame!) donc comme il nous enfermait à clef, j’ai décidé de descendre par la goutière (la classe se trouvai au 2ème étage) bref sous le regard médusé du prof j’ai ouvert la fenêtre et je suis descendue le long de la gouttière de l’établissement, dis toi que j’étais la prems à la cantoche ce jour la, sauf que bon j’ai aussi été la prem à être collée des mois durant…
    Y’a aussi eu le jour ou on a sniffé des anxyolitique avant le cours de sport mais celle la je te la garde pour la prochaine fois, point trop n’en faut!

  44. Thanx, mais moije joue pas. Pas ma came du tout, le trip poète maudit, je préfère Daniel Craig à Rhys-Jones (j’y peux rien moi si j aime les brutasses, aaaaah Daniel renverse moi sur le lave-vaisseelllllle).

    donc cette anecdote est hors concours : j’étais dans le privé « sous contrat », dans le Marais, et le principal, le père Labignette (for real !) ressemblait franchement à Adolphe Hitler (mèche et petite moustache comprises). Son grand truc, c’était de chopper les nanas qui portaient des jupes au dessus du genou, et de les stigmatiser d’un cinglant « t’as fait une crise de croissance ?!!! ».

    Je suppose que c’est ma première expérience du fascisme. Et pourtant,moi, je ne portais que des pantalons… Quelle conscience citoyenne non ?
    ;-)

  45. Les lycéennes, ces jeunes filles en émoi constant. Ce qui m’a touché un jour est celle qui tout contre moi debout dans une cours d’école au milieu d’un groupe s’est évanouie alors que je venais de lui chuchoter un mot tendre à l’oreille.

    sinon, pour l’album, c’est gentil. mais pas ma came. il devrait faire un malheur auprès des fi-filles.

  46. Non Bean, j’étais pas Jean Michel non plus …

    Faut pas déconner.

    Mais un autre genre oui. T’as saisi le concept.

  47. Tiens pour une fois je tente ma chance, l’homme est beau (même si je ne peux pas écouter sa chanson, je suis dans un open space – mais j’ai démissionné afin de pouvoir enfin rester chez moi la journée et appuyer sur les touches play de ce blog.) Bref.
    Plus fort souvenir de lycée, en seconde (2e ou 3e jour dans la classe, les gens s’observent encore), je pars à l’intercours pour une pause-pipi, douée comme je suis, je casse la clé dans la serrure, je suis enfermée. j’ai poireauté une heure (sans rien à lire, école privée, bonnes soeurs, graffitis et textes sur les murs des chiottes effacés toutes les semaines). Au bout d’une heure, on m’a cherché, j’ai pu crier, les autres élèves ont défoncé la porte. Un moment émouvant.
    Et après, j’ai été collée pour avoir séché une heure de cours…

  48. Hum, Terminale L, « conférences » de philo organisées avec pas mal de Tles d’autres lycées alentours dans des méga salles/amphi avec estrade, bref la classe pour le trip la philo selon philippe (ou pas, d’ailleurs).
    En pleine conférence, la porte s’ouvre. Bam, c’est mon copain de l’époque, habillé dans un costume « oh so kitchy période Grease » marron cotellé et un bouquet dans les mains qui dit « je viens chercher celle que j’aime », et le prof qui demande « oh oh, et qui c’est l’heureuse élue », et moi pivoine qui lève une main, et le prof qui dit « bah alllez l’embrasser voyons! » et paf, la salle entière qui applaudit. HA HA, non, ce n’est même pas une blague.

    Evidemment, il avait un bouquet de lys. Et mes fleurs favorites, sont les iris. Tu penses bien qu’il a pas fait long feu.

    Lendemain, changement intégral de couleurs/coupe de cheveux. On m’a quand même reconnu, et pendant 6 mois on m’a appelé « la fille au bouquet ».
    Et Wai.

  49. donc t’es une ancienne ragnagna !!!

    mon frère…il a 31 ans, a redoublé au collège et y a fait sa 2nde, après quoi il a été prié d’aller voir ailleurs…
    on devait être en 92-93 ou 93-94….
    de toute façon, t’as le droit de me dire que tu t’en fiches…
    en revanche, comme plein de ces élèves finissent après militaires, officiers même et que moi j’en ai eu en cours ou que j’en connais, on doit avoir deux trois connaissances, pas forcément les plus reluisantes ni les plus enrichissantes, j’en conviens, en commun !!

  50. heu ben moi je dis le lycée, c’est un peu comme les années 1960, si tu te souviens de tout c’est que t’y étais pas vraiment…
    Donc pas d’anecdote et pis en plus le Ludéal, ça me fait penser à une phrase culte des Robins de Bois :
    « la chanson française est un point noir dans l’acné de la société ».
    Mais ceci dit, ça me dérange pas de le reluquer quand même, hein…

  51. En terminale j’ai eu l’appendicite. C’était moche, j’ai eu un tuyau qui sortait de mon ventre et qui finissait dans un bocal pour évacuer tout le pourri du dedans de moi.
    Toute la classe est venue me rendre visite et j’ai eu honte. Lunettes de myope + pyjama lapinou + bocal rempli de pourri relié à mon ventre = 0 chance de pécho qui que ce soit avant la fac.
    Depuis ça va beaucoup mieux merci.

  52. j’avais envie de participer mais quand j’ai lu bean je ne me suis dit que c’était mort et qu’elle allait gagner les 4 albums d’un coup avec son histoire de jean-michel !

    j’ai réveillé tout le monde au bureau en rigolant ;)

  53. et pis moi je veux aller à la boule noire !

    qui tu sais si tu me lis… oui je sais c’est pas beau de réclamer ;)

  54. Le lycée. Pendant 3 ans cette atmosphère électrique à chaque fois que nous approchions l’un de l’autre. Toujours cette incroyable et inexplicable attirance. La chair de poule à chaque frolement et à chaque sourire. 3 ans pour traverser cette jeunesse innocente et pleine de vie en vibrant en duo sans que jamais rien ne se passe.

  55. Ouais, ben 2 ou 3 lignes, je te la fais version texto, si tu veux.
    Pas sur que ca fasse plaisir à tes yeux dans leurs minis lits …

  56. « Mon meilleur souvenir de Lycée ou la journée parfaite » (Par Bogart, terminale B1, au fond du couloir à côté des branleurs de TD2),

    Le jour du Bac Philo : l’adrénaline de l’examen et la nette impression que c’était le début de la fin des conneries, la fête l’après-midi, la soirée alcoolique cathartique et (enfin) la première fois de le Body SEXE, entre mineurs, complètement outlaws à la limite…
    17 au bac philo le Bogart.
    La journée total scoring.
    Ca va j’ai bon? On peut se la péter sur ce blog oui?
    Si

    J’attends l’interview du Loréal avec impatience

    Bien à vous

  57. vinz : je vois pas pourquoi spike t’oblige à commenter si t’as pas envie, tu fais ce que tu veux mon chou, hein ? Sérieux, c’est pas toi jean-michel ?

    les autres : je commente pas vos histoires hein ? Mais je relis tous ça à tête reposée !

    bean : très drôle, jean-michel…

    mry : Elle était en manque de Magnésium, non ?

    youri : y’a moyen de voir la vidéo sur youtube ?

    solenne : pour la Boule Noire, j’ai transmis le message. Ne me remercie pas…

  58. Bon allez je vais pas faire ma sucrée, je vais participer!

    Alors un de mes souvenir de lycée c’est…. euh…. ben euh…. Ah oui!
    Le jour ou j’ai rencontré « Ben » (l’artiste hein! Pas un de mes ex!) (oui, chuis niçoise comme lui à l’origine).
    C’était en cours d’art pla. En même temps il serait pas venu nous faire un cours sur le rôle de l’endomètre dans le cylce menstruel en biologie, forcément. Bref.
    Ce jour là il nous a dit clairement que l’art c’était de la merde et que pour être artiste fallait pas avoir de talent mais une idée nouvelle.
    A bon entendeur….

  59. Mon souvenir de lycée le plus marquant remonte au jour où j’ai entendu ma « meilleure amie » dire à une autre fille, en parlant de moi : « Elle est pas belle, hein. » Le pire c’est que je l’ai crue et il m’a fallu attendre près de 10 ans et la rencontre avec celui qui est devenu mon mari pour qu’enfin j’admette que je n’étais pas si laide que ça. (sortez les mouchoirs)

  60. Tu sais quand même que 3/4 lignes c’est pas beaucoup ? ! Je te rappelle en plus que je suis une personne prolifique à tendance bavarde et adepte de la loghorrée verbale.
    Mais bon, j’ai fait Saint Cyr.
    Rien qu’en disant ça je suis sure de gagner.
    Mais plus tard, je te raconterai comment un incendie criminel s’est transformé en grosse blague.
    Mais il me faudra plus de 3 lignes.
    Y aura du sexe et de la violence.

    Tu aimes mon teaser ?

  61. Mon meilleur souvenir du lycée c’est le jour où j’ai eu mon bac, comme ça je n’avais plus à y retourner et en plus je quittais le domicile familial pour aller glander à la fac.
    C’était le plus beau jour de ma vie.

  62. Je me suis fait virer de mon Lycée parce qu’ avac des copains on avait utilisé la caméra du collége pour se filmer à poil en train de boire de l’alcool dans le bureau d’un surveillant. Et qu’on avait bien sur laissé la bande dans le caméscope (oui c’était pas numérique c’était en 91). Je résume mais ca me semble pas mal, comme souvenir.

  63. mon meilleur souvenir du lycée:

    Ma prof d’économie qui avait une jupe portefeuille et que l’agraphe de sa jupe s’est détachée mais qu’elle s’en ai pas rendu compte. Enfin si, mais 45 mn plus tard. Juste le temps de laissé monter un bon gros fou rire collectif à peine dissimulé dans toute la classe.

    ou

    Une gogole de ma classe qui a laissé son rat (soit disant apprivoisé) se ballader dans la classe, tjs pendant un fameux cours d’économie …

    ou

    Mon beau gosse e prof d’histoire géographie, boxeur à ces heures perdues, qui deboutonne sa chemise en satin noir pour se coller son patch (de nicotine) en plein bac blanc de géographie.

    Je crois que je préfère le souvenir numéro 3. Ledit prof avait vraiment un style extra et un ENORME charisme.

  64. moi, mon souvenir est…je te laisse juger:
    le jour de la rentrée en terminale, pris une grosse biture la veille (jusqu’à tôt le matin…bref), j’arrive à 8h nauséeuse dans la cour carrée, en passant devant le distributeur de bonbons je vois une poubelle sur laquelle c’était marqué en gros « j’ai faim » et là…j’ai vomi dedans… le mec qui était devant la machine prêt à mettre sa pièce m’a regardé, et a remis sa pièce dans sa poche.

  65. Comme tout le monde j’ai eu une prof tarré, de celles qui laissent une trace indélébile dans le cerveau.
    Elle avait un genre de tic : une utilisation très personnelle de la craie.
    A chaque phrase écrite au tableau, elle se léchait les doigts après coup (miam, c’est bon le calcaire).
    Quand elle posait une question aux élèves, elle portait son bout de craie au visage en attendant une réponse. Le résultat de ce geste était variable, soit elle finissait par en avoir plein la figure, soit elle sucotait son bout de craie passivement, quand vraiment la réponse se faisait longue à venir…
    Même à la fin de l’année je ne m’étais toujours p

  66. Tu m’engueules si j’te dis que j’aime pas…?! Mes souvenirs de Lycée, j’en ai pas j’étais au Kosovo, j’ai pas fait lycée. J’ai fait collège et bim j’suis passée en Ecole de com’, j’ai pas compris?!

  67. méluzine : Je dis qu’il a pas tort, quelque part, le Ben, rapport à l’idée nouvelle ! (et bon amusement, ce soir…)

    so long : on a tellement hâte de connaître la suite…

    threnoy : Sucer de la craie, je sais que c’est assez courant, en fait. C’est horrible, non ?

    la reine : moi je préfère la jupe portefeuille !

    dyns : Nan, je t’engueule pas, attends, c’est pas la dictature ici !

  68. eamimi : T’étais pas la moitié d’une salope, à l’époque, hein ?

    38ème marche : Tu es un amour, mais Léonard, ben pas trop, en fait. Je ne suis pas encore ménauposée.
    Par contre, quand je pense que mry avait chouravé les invits qui m’étaient dévolues, ça me rend encore folle de colère !

  69. Violette : tout à fait d’accord! Ce jour là d’ailleurs un mythe s’est écroulé…

    So long : moi aussi j’ai envie d’connaitre la suite!!!

  70. Il faut dire, chère Violette, que Spike a une influence très important sur moi depuis qu’elle m’a divinement invité et fait à manger !

    Du coup, j’ai du mal à lui refuser certaines choses.

  71. Moi je vote pour la Blonde, première à la cantoche et pour Emilie, la fille au bouquet.

    Mes meilleurs souvenirs de lycée ?
    Pff …. allez je me lance. En préambule, il faut savoir que mon papa était prof dans mon lycée.
    Voilà.
    Et ben mon papa et mon prof d’histoire avaient pour habitude de parier sur avec qui je sortais.
    Et du coup je faisais quoi ?
    A chaque cours d’histoire, je me mettais à côté d’un garçon différent.
    Alalala j’étais déjà très drôle à l’époque !

  72. En terminale, cours de philo, un jeune prof fraichement évalué et jugé apte à enseigner. Nous rentrons dans la salle. Tableau vide. Installés, il nous sort (royalement), aujourd’hui c’est devoir surprise. De la dissert concise en 2h. Il écrit le sujet avec sa craie qui grince, inexpérimenté qu’il est. Deux mots : « Qui pense ». Je lève la main, et sans ironie aucune (je le croyais) je sors : « N’avez-vous jamais pensé à un sujet ». Il m’a prié de sortir… je me suis exécuté !

  73. as you want..mais y a pas que des trucs de vieilles truies…Trust me…Pour Mry faut le comprendre tu sais, il n’assume toujours pas sa part de féminité.

    Bon te dis sinon pour ce qui arrive en VP, de mémoire y a Barbara Bui bientôt. Enfin j’crois.

  74. violette, j ai pas l’son !
    Au lycée je me suis ouvert le crane sur mon cahier à spirale, ceci étant provoqué par des spasmes dus à fou rire … ça a fait rire tout le monde … y’avait du sang partout … et finalement j ai eu l air con

  75. F. : C’est beau l’innoncence, moi je dis !

    38ème marche : ha, ya pas que de la « vieille truie » ? Mais genre y’a quoi de funky, si je puis me permettre d’utiliser cette expression pour Leonard ?!

    méluzine : Mais carrément !

    Vinz : ha mais je vois que les chouchoutes changent, au gré des invitations à dîner… Pour la peine, vous ne me verrez pas ce soir…

    Sylv : Tu crois que tu vas gagner avec ça, sincèrement ?

    Lénia : je savais que quelqu’un me le sortirait aujourd’hui, le « j’ai pas de son », heureusement que les spirales te sauvent !

  76. Chère fée, je ne compte pas venir ce soir de toute manière … trop fatigué.

    Par contre, je vous verrai peut être demain, qui sait.

    Et Spike a toujours été ma chouchoute. Je ne m’en suis jamais caché.

  77. Attends le disque pourri c’est Fela Kuti. Puis t’as eu du Goran Bregovic.

    Je t’assure c’est pas pourri, on est des milliers à le penser.

    Après physiquement je t’accorde que c’est une autre histoire.

  78. Souvenirs de Lycée ???
    La grosse boule sur Nova…avant de partir en cours…..ou mes soirée aux planches de blonville pendant ma prépa….
    Je te file mon adresse ???

  79. 1er jour de lycée, 1er cours de math, le monsieur-le-prof-de-math l’écrit sereinement sur le tableau: « être un homme une femme, ce n’est pas boire, fumer, se droguer… c’est beaucoup plus difficile que ça, c’est beaucoup plus beau! » Et là j’ai compris pourquoi j’y pipais que dalle au math!

  80. vinz : alors là, les bras m’en tombent !!! J’ai toujours pensé que c’était moi…
    Un mardi noir…

    38è marche : J’ai envie de dire que la culotte en soie ne sert pas à grand chose, c’est si vite envolé !!!

    alexiane : Aujourd’hui, tu kifferais mon look : j’ai une robe maje parce que je déjeunais avec une amie notaire ! Je suis ridicule à souhait !
    Attends, je prends une photo à tête coupée, je te l’envoie !

    sylvaine : (vilaine, vraiment ?), Tant qu’il a pas chanté du Sardou pour expliquer ce qu’est « être une femme », tout va bien !

  81. ho oui ho oui, une photo à tête coupée de la robe maje !!!!

    au fait, le 13 je vais écouter ludéal, et vous ?!

  82. Bah t’as des petites robes fluides pour l’été, t’as des maillots de bain, t’as des blouses, certes un peu tasse de thé cul serré, mais élégantes pour le soir…Fais un tour sur leur site juste pour voir, ou alors mieux, j’y vais et te dis si vraiment ça pue la maison de retraite.
    Pourquoi t’es overlooked à ce point?

  83. Ah oui et puis t’as de la super lingerie en soie. C’est pour ça en fait que ça vaut le coup. Désolée chuis un peu atteinte d’alzheimer; Tu crois que chuis vieille moi aussi à cause de mes culottes en soie???

  84. Hoooooo tu colle la photo « tete coupée » là maintenant sur ton billet ??
    Quoi ?? Je dois retourner à ma sieste ??

  85. Le premier jour de rentrée au lycée je n’ai vu que lui… du haut de ses 1.92m c’était plus facile faut dire.
    Il m’a fallut des mois et des mois pour lancer les joues cramoisie un « bonjzouurr » tremblant un jour dans l’escalier. Pas de réponse.
    Un jour, ses deux acolytes qui avaient remarqué mon état de pâmoison dans son sillage, ont décidé de nous faire nous rencontrer.
    14h en bas de l’escalier, ils m’ont dit qu’il avait dit.
    J’ai cru vomir mon coeur plusieurs fois. Mais je me lançais des « courages » pour tenir debout…
    Vers 14h20, les acolytes ont rappliqué.
    Pas lui.
    Il s’était enfermé dans les chiottes…. tellement il avait peur…. le con.

    Pour l’anecdote, je suis quand même sortie avec lui… en fac, lors d’une soirée.
    J’ai été très déçue quand il m’a embrassé.
    Pas la moindre étoile, pas le moindre feu d’artifice.
    Ce n’était qu’un phantasme de lycéenne.

  86. J’étais raide dingue du plus beau mec de l’école (un brun ténébreux of course), qui ignorait même que j’existais, of course. Pour garder un souvenir impérissable de lui, tandis que ma meilleure copine faisait le guet, je suis rentrée dans le bureau du proviseur (en Gelbique on appelle ça un préfet), et j’ai dérobé sa photo, collée sur un grand panneau reprenant les photos de tous les élèves, arrachant par la même occasion le plastique bien collant qui recouvrait le tout. Un véritable carnage. Pourtant, je le jure, j’étais une élève super sage, hyper docile, genre première de classe. D’ailleurs j’étais la première de classe, na. Mais être première de classe, c’est pas drôle, tandis que piquer une photo chez le proviseur, ça l’est, ça l’est vachement plus. Vous voulez la voir, cette photo du plus beau brun ténébreux de mon école ? Envoyez-moi un mail… (au fait y’a aussi l’histoire de l’inondation que j’ai provoquée à l’école, mais ça fera trop de lignes, je la raconterai une autre fois).

  87. Dans la cour, il faisait beau.
    Mes copines fumaient tranquillement, moi non, parce que ma tante qui fume comme un pompier en manque a les dents plus toute jeunes et assez jaunes, et les cheveux filasses en plus.
    Alors, je vais pas me coltiner 8 ans d’appareil dentaire et de gentilles et douces moqueries (il passe quand ton train…Sur tes rails hahahahah) pour que mes gatounettes tombent en miettes avant mes 40 ans.
    Je respirais pas la fumée, mais comme mes copines étaient cool, super et trop fun, ben je les accompagnais mollement. Elles parlaient du nouveau sac longchamp, du jeans levis, des boca chica, des ORB, des palladium, des Fila, des adidas, des survet lacoste…Enfin, des fringues que je pourrais pas me payer, même aprés menace de suicide auprés de mes parents.
    Moi, je récupérais les habits de ma grande soeur. J’étais pas spécialement moche à l’époque, mais j’appartenais au clan de la « fille sympa ».
    Oui, ça revient au même, je sais.
    Déléguée de ma classe, on venait toujours me demander des stylos, l’emploi du temps ou si on peut reporter le contrôle de maths.
    Youhou, une pseudo popularité.
    Mais une réelle virginité.
    Mes super copines avaient passé le troisième cap avec leur mec (bisous, doigt dans le minou et enfin le loup).
    Moi, j’avais jamais embrassé avec la langue.
    Enfin, si, une fois, avec mon cousin. Dégueu.
    Et je révais d’une histoire genre Di caprio/ Claire Danes (inspiré de Roméo et juliette qui ont tout copié sur eux, si si).
    J’en étais là, cette matinée du mois d’avril, écoutant mes copines distraitement.
    Et puis une fille que je ne connais pas viens vers moi.

    La fille « C’est toi laetitia? »

    Mes copines s’arrêtent de parler.
    Tout d’un coup, je me sens le centre du centre du centre.

    Moi « Heu…Oui »

    La fille « Tiens, c’est pour toi ».

    Elle me tend une lettre.

    Moi « Qu’est ce que c’est? »

    La fille « Je sais pas, on m’a juste dit de te la donner. Salut »

    Elle se barre.

    Mes copines lorgnent sur moi et sur cette lettre.
    Une me dit « Ben vas y, lit là »

    Je déplie la feuille. Ecrite à l’ordinateur, format A4, style new roman.

    ça commencait par :

    « Laetitia,
    Je sais que c’est ridicule d’écrire une lettre comme ça, et qu’on est plus en sixième, mais l’écriture est pour moi une délivrance. De plus, comme on dit, les écrits restent alors que les paroles s’envolent ».

    Merde. C’est quoi ça.

    « On dit que les coups de foudre n’existent pas.
    Aujourd’hui, je sais qu’il est possible de tomber amoureux au premier regard ».

    J’ai les mains qui tremblent.

    « Des que je t’ai vu, je n’avais plus le contrôle de mon esprit, ni de mon corps. Je ne savait pas qu’un fille qui soit aussi belle…

    Il a dit belle.

    …Aussi douce et intelligente, une fille tellement gentille et radieuse qu’elle pourrait redonner le sourire au pire des malades puissent réellement exister »

    Il parle pas de moi, c’est pas possible.

    « Et puis je t’ai trouvé. Depuis ce mardi matin, tout à changé pour moi. Il n’y a pas un seul jour qui passe sans que je pense à toi. Toutes les nuits, je rêve d’être à tes côtés, d’avoir cette chance infini. Chaque fois que tu me regarde, je me sens comme la personne la plus chanceuse de la terre. Chaque fois que tu me dis bonjour, j’ai l’impression d’être caressé par des millions de flocons. »

    Putain, ça veut dire que je le connais.

    « Je n’attend rien de cette lettre. Je crois juste aux contes de fées, et je sais que tu ne resteras pour moi qu’une pensée enfouie au plus profond de mon coeur. »

    Pas signée. Mon coeur tambourine.
    Quelqu’un m’aime. Et me le dit de la plus jolie façon qui soit. Soudain, je me sens tellement plus chanceuse que la plus populaire de mes copines.

    J’ai reçu ma première et ma plus belle lettre d’amour au lycée.

    ça ne s’oublie pas

  88. solenne : j’en suis le 13 ! Tu vas foutre ton slim ?

    alexiane : la photo arrive dans 5 mn, ils ont rigolé au bureau !

    cline : Y’en a qui ne maîtrisent pas du tout la pelle, c’est affligeant !

  89. Bon alors toi, autant dire que je te hais, je m’étais fendu d’un commentaire recherché et particulièrement drôle hier, qui a été ignoré alors que j’en étais super fier.

    Du coup, je boude, je ne ferai plus de jeux de mots. Han !

    Ludeal, parce qu’il le vaut bien.

  90. Tu vois pas que j’ai cliqué je ne sais pas où et que ton blog il est écrit en super gros maintenant … c’est quoi ce bordel ! J’ai pas 80 ans quand meme !!

    Et pourquoi que quand je tappe Ludeal sous une mule, ça trouve rien ? Par contre quand je tappe « les lycéennes » ça j’en trouve des cochonneries ….

    La robe, c’est celle de la semaine dernière ? je peux voir aussi ?

  91. eamimi : t’as vu y’a du feuilleton palpitant ici, hein ? Félicitations pour le stage !!

    anaïs et laetitia : Je lirai ça plus tard, j’ai la tête qui éclate avec vos conneries !

    grenouille : Bordel, mais bien sûr que j’ai noté le bon mot d’hier !!! T’es le maître du calembour, ça se respecte !
    Seulement bordel de couille (comme dirait Alex), j’ai le droit de zapper un ou deux comm’ par jour, non ?
    On n’a plus le droit à l’erreur, c’est ça ?

    solenne : la photo c’est du private ! Tu la veux par mail ? (y’a du niveau, je te préviens)

  92. Moi aussi je veux la suite , c’est qui ce bel inconnu qui écrit une lettre d’amour? et si jeune en plus ! La vérité, il voulait serrer le gars …

  93. ah oui on veut savoir (et les trois étapes : bisou, minou, loup, j’adore j’adhère, tu as un copyright ou on peut piquer ?)

  94. Moi j’avais des profs qui aimaient nous faire faire des sorties pédago comme ils disaient. Bref, c’était surtout pour eux l’occasion de pas faire cours et de nous amener voir des trucs chiants.
    Un jour je me suis donc retrouvée devant M le maudit, et n’y tenant plus je commence à raler et à inventer des trucs dont le fameux et célèbre « tiens ce serait rigolo si la pellicule cramait comme dans recherche suzanne désespérement », faut dire si j’avais de la culture à l’époque!
    Et bien 20 secondes plus tard c’est ce qu’il arriva et je crois bien que depuis je n’ai jamais vu de regards aussi interloqués de la part de mon entourage!

    Casa

    PS : un jour je vous raconterai peut etre si vous etes sages, la fois où la prof a fait une expérience de chimie en demandant « et en mélangeant X et Y on a un précipité de couleur??? » et que la classe a hurlé en coeur BLEU et que moi j’ai gueulé ROUGE!
    Sauf que le précipité est devenu ROUGE et non BLEU! meme en recommencant plusieurs fois l’expérience! la prof n’a jamais rien compris, mais bon, je l’ai dit, je vous raconterai cela une prochaine fois!

  95. Dis donc Laetitia la blondasse ….. je veux savoir la suite moi !!!
    Tu as sû qui était l’auteur de la lettre ?
    Que s’est-il passé ensuite ?

    ??????????????????????????

  96. A la demande générale de Spike, mon anecdote.

    Comme chacun sait, moi j’ai fait Saint Cyr. Et à Saint Cyr ça rigole pas avec le niveau social des gens ni avec la discipline. Mais un jour, dans le journal, on apprend que notre lycée a été victime d’un incendie criminel pendant le week-end. 14 foyers d’incendie qu’il y avait. 14 ! Heureusement, deux élèves qui passaient par là un dimanche matin à l’occasion d’un jogging matinal ont prévenu les pompiers. Mais à Saint Cyr, on plaisante pas avec les études… deux jours plus tard on reprenait les cours.
    Faut dire que malgré les 14 foyers d’incendie, y a eu qu’une seule salle abîmée. On a fait un grand rassemblement pour remercier les deux filles qui ont sauvé notre lycée. On leur a offert une boîte de chocolat. C’était un peu nos héroïnes.
    Parce qu’à Saint Cyr on plaisante pas avec le courage.
    Et puis l’enquête a suivi son cours. Et les coupables ont été découverts.
    Faut dire que les coupables, ils avaient fait une bourde.
    Les coupables, ils ont utilisé les ordonnanciers de papa et maman pour mettre en route leurs 14 foyers d’incendie (qui ont ravagé une salle… une seule).
    Je vous l’ai dit qu’à Saint Cyr on plaisante pas avec le niveau social. Si t’es pas enfant de médecin, t’es mort.
    Donc on était tous drôlement rassurés d’apprendre que les coupables étaient sous les verrous. Mais un peu perplexe à l’idée qu’ils étaient comme nous.
    Parce qu’ils auraient pu s’enfuir, ils auraient pu recommencer, ils auraient pu nous faire du mal.
    Mais non. Parce que les coupables, ils étaient blondes. Parce que les coupables, elles (puisqu’il faut le dire) font du jogging le dimanche matin. Parce que les coupables elles avaient appelé les pompiers après avoir allumé leurs 14 foyers d’incendie.

    Qui a dit que le crime ne paie pas ? Elles ont eu une boîte de chocolat quand même.

  97. plusieurs choses :

    – je comprends pas que personne n’ait parlé des accords d’Evian !

    – la photo « Maje » c’est du off !

    – je sais plus

    – Si ! Je suis en train de regarder un épisode de Maya l’abeille de 1973 sur Piwi, suis-je néanmoins glamour ?

  98. Si les accords d’Evian ont permis à la France de se sortir du bourbier de la guerre d’Algérie, ils n’en restent pas moins la cause de la mise en oeuvre de l’article 16 de la Constitution de 1958. Article qui a tout de même permis la création d’une haute cours de justice militaire, laquelle cours non contente de ne pas respecter les droits de la défense et le principe du contradictoire, ne respectais pas non plus le principe de non-rétroactivité de la loi pénale.
    C’est ce que le Conseil d’Etat nous a bien démontré dans ses célèbres décisions Canal, Godot et Martin de 1962… mais aussi dans la décision Rubin de Servens de 1962.
    Cela a permis de comprendre l’importance de la qualification des actes de gouvernement, qui comme chacun sait n’ont que peu de rapport avec des mobiles politiques. De là on a pu apprendre que les décisions prises en vertu de l’article 16 étaient soumises à un dédoublement fonctionnel, lequel impose au juge de démeler les actes pris en application du champ législatif, et ceux pris en application du champ réglementaire.
    Et ça, c’est fondamental. Parce qu’un acte réglementaire reste susceptible d’un Recours pour Excès de Pouvoir. Alors que la responsabilité du fait des lois, à l’époque, n’était pas encore reconnu.

    Sinon à Evian, ils font de l’eau et des pschitt.

  99. ‘tain mais So Long, je savais qu’on se comprendrait ! On est pas ex St Cyriennes pour rien, j’ai envie de dire…

  100. Je vois que les gens sont supers inspirés , ben dis donc alors comme ça tu prends des photos la tête coupée, tant que t’as pas un renne sur tarobe Maje , ça va moi je dis, sinon je crois que je ne pourrais plus décemment venir lire ton blog, t’sais que moi aussi j’étais chez les curés, , c’est sans doute pour ça que je prends pas des photos la tête coupée, les curés m’ont pas habitué à ça!

  101. C’est qui le « Divin connard » dans tes liens ?
    Dommage qu’on ne puisse pas lui laisser de comms, il m’a l’air vachement intéressant ce garçon.

  102. Pfff c’est loin le lycée , mon souvenir le plus fort c’est l’obtention du bac parce que personne n’y croyait et encore moins moi. Question originalité on repassera..

  103. Bon comme j’aiiiime Ludéal et que tu m’engueules quand je veux aller l’acheter je vais te faire voir mon intimité.
    Alors, retrournons un peu en arrière, dans mon beau lycée de jadis, on nous proposait des spécialités vachement plus évoluées que le classique lv3, nous c’était théâtre coeff 6+2, de vrais faux artistes en devenir qui finiront maudits dans une chambre de bonne mais heureux d’être si purs, tu vois le genre, le théâtreux sans talent est un énergumène. mun jour en cours de théâtre, j’ai voltigée par la sortie. C’est pas mon plus beau souvenir, mais c’est celui qui me vient en premier vu que mon état actuel a ce goût de déjà vu. Je suis une boulette, Sonia avait raison

  104. Han, mince, j’ai posté. Et je voulais pas, mon texte s’est interverti.. oups… pis j’ai effacé la plupart de mon histoire ne reste plus que la chute. Pffff. Voilà j’ai tout gâché je vais sur fnac.com l’acheter, c’est la dernière solution.

  105. Bon je vais te livrer une anecdote toute tendrounette… que t’auras meme pas le droit de te foutre de ma gueule parce que quand ça s’est passé, j’etais la plus heureuse !!

    Au collège, j’etais boulotte, appareil dentaire, genre Ugly Betty qu’on est pas loin je t’assure…
    Avant d’attaquer le lycée, j’ai maigri, j’ai dit adios aux dents de fer… mais dans ma petite tete, j’etais toujours la « grosse »…

    Bref… D’un romantisme à faire pâlir les Poetic Lover, je m’étais amourachée du plus beau garçon du lycée, mannequin de surcroit (oui, j’ai bon goût), qui, en grande veinarde que je suis, se trouvait etre dans ma classe…

    A force de papotage, (timide mais bavarde) nous sommes devenus amis… Rien de plus…
    Je n’avais pour lui qu’un sentiment d’admiration dûe à sa grande bôôôté, heureusement j’etais déjà lucide à l’époque…

    … Jusqu’au jour où… il est venu me voir… et m’a dit : « Tiens Pocket, ça te dirait de porter ma gourmette en argent gravée de mon prénom à ton poignée? »…

    Moi?… La petite grosse, moche en plus !!… J’allais porter la gourmette du garçon le plus beau de l’école à mon poignée !!!

    Je l’ai mise, bien sur… Et j’étais la plus heureuse !!!

  106. Quand j’étais au Collège, j’ai pas voulu me laisser ausculter par l’infirmière…
    Faut dire qu’à cette époque j’étais déjà un peu sauvage…

    Alors je l’ai mordue !

    Ouais.

    Même qu’elle a été obligée de porter une atelle au doigt pendant un moment…
    Bizarrement, elle a plus jamais essayé de me tripoter.
    Faut dire qu’elle m’a plus jamais parlé non plus.

    Ca compte comme témoignage ou bien ?

  107. Années collége, je sais on avait dit années lycée mais je dois parler. Me les brisez pas. Tout ça est trop lourd.
    On est beaux (enfin surtout moi). C’est la grève. Tout le monde s’est réuni devant la grande grille verte à la sortie du magnifique bâtiment en contreplaqué cimenté (?). Tout le monde sauf trois d’entre nous parce qu’on est des rebelz et qu’on séche les cours de latin. On est de l’autre côté de la grille avec le dirlo que nous nommeront Mr BERTHIER pour plus de commodité. Calvitie. Porte magnifiquement le col roulé et mais c’est qu’il nous empêche de sortir ce gros chacal ! Bon, on la tente au culot, on fait le mur en l’esquivant, feinte de corps, petit pont, passement d’jambe, y sait plus où il habite.
    Ca y est ! Les copains sont de l’autre côté. Je suis le dernier. J’enjambe la grille, un monde de regards posés sur moi. J’y suis presque. Stéphanie L. me dévore des yeux. Trop fort. Bon j’ai juste la pompe droite qui dérape sur le haut de la grille à un moment somme toute critique, à cause de la fraiiiiichheeee roooosée du matin et ses écharpes de brume. Mais c’est pas grave si on fait asbtraction du fait que ma jambe droite ne répond plus alors que je me propulse avec la souplesse d’un bouquetin des Alpes de l’autre côté de la grille.
    Passons aussi rapidement sur ce détail sans aucune importance que je m’écrase comme une sombre merde sur le gravier devant à peu près 150 personnes + Stéphanie L, oeuf course.
    Regardons la scène au ralenti :
    « vas y saute ! »
    « wé okay ! »
    *zzweeetchhh*

    *pok*
    Confirmation : le gravier, ça pique.

  108. Je vais pas me la jouer présent d’énonciation – nous sommes le 2 octobre 1810 et la ma vie bascule. J’ai 16 ans et c’est LUI.
    Bref moi je suis encore au lycée (ehh ouai ton lectorat s’élargit – je n’accepte aucune blague sur ma pseudo prépuberté and so on), et je vais te balancer en vrac comme on s’amuse au printemps de la vie (même si je suis dans le 16ème qui est soit dit en passant l’arrondissement le plus mort de Paris. – Heureusement qu’y a Roland Garros pour sauver l’honneur)
    Déclenché l’alarme incendie en 6ème, kéblo une fille dans l’ascenseur on purpose 21 h la meuf est libérée pdt que je mate MTV, grillé par le prof de techno alors que je me cachai derrière une porte ds les souterrains du lycée (qu’est ce que c’est que cette matière d’abord : la techno ?!), joué avec les cabines téléphoniques pendant le dej parce que la cantine, excuse moi mais c’est juste injouable pour en venir à appeler la mère d’une « camarade » et lui annoncer que sa fille est morte malheureusement (hahaha), crié ta gueule à la prof d’Anglais par exaspération et payé les 5 euros pour participer au Big Challenge (concours à la con où que tu gagne un pauvre diplôme que y en a qui l’accrochent à leur mur tellement la fierté les submerge) en pièces de 2 cents, me suis also fait découvrir dans les toilettes ,endormie, par une femme de ménage (jamais là quand il faut celles là y avait plus de PQ mais la meuf trouve le moyen de me dénoncer au proviseur parce que c quand même se rendre plus utile) parce que j’avais bédav après le cours de sport (à ne JAMAIS faire ça va direct dans le sang) , balancer du yaourt du sixième étage qui est obligé de tomber sur la proviseur adjointe et son unique cardigan bleu.. bleu quelque chose, voir son prof de maths dans la rue de rennes et l’insulter parce que comme on est plus dans une relation élève professeur hors du sein du lycée ça PASSE et pas comprendre le 0,5 au devoir commun (copies censées être anonymes le mec a dû passer 3 we à décoller et recoller les petits triangles pour cacher les noms pr pouvoir me saquer) et enfin lancer une règle maped en fer sur la tempe de sa prof d’Allemand qui est une victime et qui m’a dit : ok j’oublie pour cette fois ! putain mais de QUOI elle a peur ? J’ai aussi dit à ma prof d’Anglais qu’elle était lamentable et qu’a sa place je chialerai ma vie tous les jours si j’avais fini prof dans un bahut pourri avec des petits cons de bourges de droite (rive et parti politique) qui en foutent pas une et qui se foutent de sir Arthur Conan Doyle comme de la vie des végétaux marins de l’île d’Ouessant, mais je considère ça plus comme relevant de l’anecdote.
    Faites mieux
    ah oui pr les blocus de fillon j’étais en 4 eme mais j’ai quand même été celle qui a le plus gueulé sur les proviseurs (même le gardien je l’ai niqué chui obligée d’arriver à l’heure maintenant sinn il me laisse pas rentrer), colorié des bannières et fait du tam tam devant le bahut en fumant des trucs que je saurai jamais ce qui y avait dedans
    bien a vous

  109. Tiens, Yves Duteil a sorti un nouvel album sous pseudonyme avec même une doublure pour les affiches?
    En même temps pour la voix y s’est pas tellement cassé vu qu’on reconnait tout de suite que c’est lui. Il a pas changé le coquinou depuis le petit pont de bois. Sacré Yves!

  110. Bean > émotion parce que tu sais que j’ai ramassé ma jambe l’air de rien, décontract’, conservant la douleur à l’intérieur sans qu’elle n’altère en aucune manière l’impassibilité de mon visage à la face du monde alors que je me relevais.
    Et ma surpuissance t’émeut.
    Ou alors tu trouves que la jouer ultra cool après un tel plantage ça fait encore plus pitié. Mais cette hypothèse n’est PAS DU TOUT envisageable.

  111. Moi au lycée j’étais une beach girl… une pétasse complète qui adoooorait jouer les langues de pute avec mon amie San (une vraie HDA de American Airlines) … comme Spike je me droguais à mes heures perdues… et le WE on parasitait le karaoké ( combien de Johnny crevé dans l’oeuf à cause de nous, combien de Lara méconnues??? c’était retrospectivement une mission d’utilité publique)du casino de St Val (76)où on était les VIP du bazar et qu’on payait pas nos consos tellement les gens nous aimaient!
    Droguée… Alcoolique… Méchante…
    Amy Winehouse avant l’heure?
    M’enfin j’ai réussi ma réhab et moi je dis que ça mérite un CD… juste pour que je me fasse une idée sur le jeune homme, et puis chaton il kiffe grave la chanson française…
    Moreover Evian c’est chez w@m d’accord?

  112. Bon comme j’aiiiime Ludéal et que tu m’engueules quand je veux aller l’acheter et que tu m’engueules quand je bâcle le travail, je fais un copié-collé remasterisé voilà.
    Alors, retrournons un peu en arrière, dans mon beau lycée de jadis, on nous proposait des spécialités vachement plus évoluées que le classique lv3, nous c’était théâtre coeff 6+2, de vrais faux artistes en devenir qui finiront maudits dans une chambre de bonne mais heureux de l’être (maudits), à se prendre pour Molière et bien contents que leurs voisins de palier (qui entendent tout du fait de la cloison en carton) profitent des répétitions du Mysanthrope tous les jours pendant 40 ans. Bref, je m’égare. tu vois le genre, le théâtreux sans talent est un énergumène. Mais un énérgumène qu’on regarde avec tendresse. Et puis ils m’en ont fait passer des bons moments, et les durs ils m’aidaient à mieux les vivre, parce que le théâtreux est sensible et le théâtreux soigne tous tes maux. donc voilà des anecdotes avec mes accolytes de ce bon vieux temps, j’en ai des tiroirs pleins (non je ne les ai pas découpés pour les garder avec moi, sauf que tu me diras aujourd’hui ils doivent être entassés dans un placard mais je me ré-égare) Alors aujourd’hui, je repense à mes théâtreux, et à moi en théâtreuse, un jour, dans notre belle salle de cours qui ressemblait à un tout petit théâtre avignonais sauf que c’était même pas à Avignon, y a de l’arnaque moi j’dis. Donc voilà, mes camarades sont passés, en surjouant et tout comme d’hab, mais c’était attendrissant à force, et je monte à mon tour et fais mon exercice, quand paf: je dérape et tombe dans les escaliers qui menaient aux coulisses. c’est ce qu’on appelle une sortie de scène ahahaha quel humour n’est-ce pas? tu te demandes même si je suis pas devenue comique après ma formation classique de lycée je suis sûre, et je te répondrai que même pas et c’est bien dommage je manque à tout un public. Bref. Voilà moi j’etais en bas des escaliers, cachée par le rideau, et j’ai entendu mes coupains de classe hurler « hannnn elle est pas smorte au moins?  » voilà, ce jour là, j’ai compris que ç’aurait été une grande perte et que personne ne s’en serait remis, limite leurs trémolos dans la voix m’auraient fait chialer hein. auf que non moi je me marrais comme une buse, même pas mal, juste le poignet qui partait sur le côté, ça donne un style. Et que j’ai fait peur à personne, mais laisse moi me dire que tout le monde il a eu la peur de sa vie. Merci, mon égo va mieux. Alors voilà j’ai récolté une fracture, mais c’est chouette je suis passée devant tout le monde à la cantoche pendant deux mois, et ça je peux te dire que c’est le bonheur de la lycéenne qui a la flemme. Donc le mien (de bonheur). C’est pas mon plus beau souvenir, mais si tu veux que je t’en raconte un nouveau chaque jour, je peux. Oui, je peux.

  113. Il était une fois une petite écervelée en robe à fleurs qui avait réussi à se faire dispenser de cours de natation. Perchée sur les bancs qui entoure la piscine, elle regardait les envieuses qui lui jetaient des coups d’yeux haineux. On ne pouvait tout de même pas prétendre avoir ses règles toutes les lundis! C’est alors qu’elle vit une de ses amies en danger. Une vile donzelle à l’humeur blagueuse s’approchait à pas de loup et les bras déjà tendus vers le dos de la copine, était prête à la pousser dans le grand bassin. Mue par l’amitié, l’écervelée descendit à toute vitesse les marches qui la séparait du bords de la piscine « Attention derriè… » PLOUF!!!
    Elle qui avait toujours rêvé de sortir de l’anonymat… Dans les semaines qui suivirent, on lui demanda quotidiennement: « Diiis, c’est toi qui est tombée dans la piscine tout habillée? »
    Elle aurait donné n’importe quoi pour redevenir invisible!

  114. Oué oué oué c’est ça oué…
    Plus jamais on me prendra à raconte ma vie dans les commentaires parce que une fois je l’ai fait et EVIDEMMENT j’ai gagné, et j’ai jamais reçu mon cadeau!!! Je ne balancerai la personne en question que sous la torture, ou par mail.

  115. Bon, je veux pas tout casser, mais j’en veux pas du cd… Je vais raconter mon histoire quand même, tiens.

    J’étais en terminale, donc l’année dernière, et, en cours de philosophie, je remarque un tag en haut à droite du mur (avec une armoire juste en dessous, bien en évidence). Moi, toute cruche que je suis, je demande à mon camarade johnny, le jeune drogué aux cheveux longs et tellement sales qu’une faune inconnue s’y est développée : « haan mais comment il a fait pour graffer ça aussi haut? »
    Et lui de me répondre : « tu sais le lycée a été construit il y a longtemps, et les fenêtre sont hautes, tu vois?
    -Oui? (absorbée)
    -Eh ben le gars avait fait le tag avant, et depuis ils ont rabaissé le niveau du sol!
    -Haan truc de ouf! »

    Julie me regarde et me dit « T’es conne… ». Et Johnny : « ah ben c’est sonia hein… » avec un sourire tendre mais plein de compassion, un peu comme celui qui me vient devant ma mamie qui me dit « oh du poulet » alors que je mange une part de cake, vous voyez.

    Ouais.

  116. Le désespoir d’une chambre dans laquelle on ne couche pas. Une alcôve ouatée où l’on entre qu’à trois. Une ampoule, l’obscurité, juste deux filles et moi. Derrière la salle d’art, une chambre-noire improvisée dans un débarras.

    Minuit passé !

  117. le prof de philo nous avait fait tout un cours sur le fait de savoir remettre en cause ce qu’on nous dit. je l’ai ressorti à la prof de physique qui n’a pas du tout apprécié: elle m’a fait rester à la fin et m’a carrément électrocuté avec un de ses appareils!

  118. sinon on jouait au poker dans la bibilothéque avec des potes à l’intercours et la bibliothécaire est arrivée : »la bibilothéque n’est pas un tripot! »

  119. moi, j’ai trouvé une autre anecdote (moins longue).

    Mon 1er cours de phylo, j’ai tenu tête a mon prof sur le sujet de la reflexion chez les animaux… Il m’a viré et apres il m’a presque plus laissé entré dans sa classe, je crois qu’en tout j’ai fait 7-9 cours dans l’année !

    En gros je me levais le mercredi matin pour aller a son cours a 8h… cours qui durait 3h ! Et parfois quand j’allai pour entrer dans la classe : « non pas aujourd’hui » et voila comment se prendre 3h de perm dans la gueule !

  120. c’est sympa comme musique, je ne connaissais pas!
    ma chérie aussi elle est dans la musique!
    mais bon, faut pas trop le dire que c’est ma chérie…il parait que y a des gens qui ne sont pas très ouverts avec ce genre de choses…donc une amie on va dire!
    elle sort son album très bientôt!
    y a même Dyns qui va en parler à un de ses potes qui a un blog rock !c’est sympa de sa part!
    je pense que Dyns a beaucoup aimé la chanson « love, love » qui parle de sexe…genre « je veux sentir tes doigts »… »rhabille toi et casse toi »! :-)
    http://www.myspace.com/codywebsite
    je vais organiser un private-show case à paris très bientôt pour la sortie de son album avec quelques blogueurs sympathiques qui aiment les fraises tagada et le champagne !!
    tu viendras Violette ?!
    faut que j’en parle à dyns aussi…alexiane aussi…sonia…

  121. Maurine : Mais avec PLAISIR !

    Tu peux bien sûr continuer à dire « ma chérie » ici, j’espère que « les gens » sont ouverts…
    Et même si non, ben si quand même, bordel !

  122. eamimi, web.4, la reine et anais,

    Suite et fin de l’épisode lettre d’amour, amour à trois, trois petits chats.

    Cet écrivain anonyme et fougueux était…
    Mon délégué suppléant.
    ça casse un peu le mythe, hein…
    Un garçon timide de ma classe, gentil et doux, mais qui avait une copine…
    Ouhlala, encore plus.
    Il m’a écrit une deuxième lettre pour s’excuser, parce qu’il ne voulait pas m’embarasser, ni sa copine, et que tout celà devait rester secret, et qu’en fait c’était son meilleur pote (qui a gagné le trophé du meilleur pote de l’année) qui avait sorti le texte de son ordinateur, pour lui faire une blague (à la pouét pouét la mouche qui pète).
    Il m’a dit que tout ce qui était dedans était vrai, que c’était ce qu’il ressentait, et qu’il ne m’oublierait jamais.
    Bon.
    ça a un peu atténué ce côté légèrement pathétique de l’histoire.
    J’ai quand même gardé la lettre hein, parce que c’est moult jolie, gai et primesautier.
    Et puis se sentir belle aux yeux d’un mec. Bon, ça fait toujours des petits guilis dans le ventre.
    Comme quand on prend l’ascenseur dés fois.

  123. Est ce que les perdants auront droit à des fraises tagada comme lot de consolation?
    Ou un trekking en Alaska, selon tes moyens financiers.
    ça serait sympa.
    Merci. :)

  124. bon ben je te passe le pet de fouf en plein cours de gym parce que de l’orgeuil jen ai à revendre dans mon tiroir à réglisse.
    Par contre la prof communiste qui lance un débat sur le communisme justemment. Je réponds par le plus grand argument d’une ado de 15 ans constructif intelligent mature tout ça tout ça, genre clouée les gens étaient: « oui mais l’homme par nature aime l’argent ». Clouée donc. La prof me regarde « mais mademoizelle X si vous aimez tant l’argent vous devriez faire une école de commerce ». Elle ouvre son carnet de note « Ah ben non vous pourrez jamais avec vos notes ». Clouée je l’étais aussi. Conditionnement de tout mon avenir professionnel. Obligée de croire en la promotion canapé. Usage de drogues. Emission de Delarue. Puis émission de Bataille et Fontaine. La déchéance quoi.

  125. il est chouette ton post (je dois être la seule qui lit ce blog à utiliser ce mot, mais je reste un peu nunuche dans mon âme de lycénne !) je commente mille ans trop tard mais ton texte m’a donné envie d’aller écouter (c’était le but ! ) donc ça marche ! et j’aime bien.
    so long

  126. gourmeline : Non, non, « chouette », c’est bien !
    Et c’est cool si je t’ai donné envie de découvrir Ludéal, parce que j’ai vraiment craqué.

  127. ben dis donc, ça c’est du blog !!! suis la soeur de meluzine, elle m’en avais parlé mais je ne m’attendais pas à ça !!!!!!!!!!

  128. moi je sui au lycée encore je pense que c la plus belle periode de la vie et en tou cas se que j’ai a dire c que l’amour est la plus belle chose au monde et pour vous dire la meilleur façon d’aimer une personne c de toujours se rapler qu’on peut la perdre a tous moment biz!

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