Euh. Putain. J’ai retrouvé cette photo en campanule, où je suis donc pour le week-end (avec mon faux mouton aux pieds, tu sais). J’ai demandé à ma mère « Mais, ça se faisait à l’époque de laisser sortir ses gamins avec une attitude un peu grassouillette sur les côtés ? »
« Si tu crois que j’avais le temps de lisser tes pulls sous tes salopettes, ma pauvre. T’étais (déjà) tellement chiante.« , elle a répondu, l’air détaché.
J’ai repris deux rochers Suchard.
C’est une jolie photo, juste au moment où je revois la scène du « nostalgia carousel » dans Mad Men.
Yeah buzzkill.
les deux ronds équilibrent les débordements de pull je trouve tactique!!
La vraie question est de savoir : » avais-tu la coupe à la Stone ? « . Personne ne le dit mais cela a été un véritable traumatisme pour toute une génération
Top classe. Ca c’ets du dossier :D
Cette époque (je dis pas laquelle pour protéger notre âge) était magique quand même niveau fringues et encore on n’a pas les couleurs ;-)
L’arnaque. Tes pieds, ils ont même pas la position requise pour passer ton permis blogueuse.
Ah ouais, c’est vrai. A l’époque, t’étais une blogueuse vintage qui collait pas des photos d’elle ou de son brunch dominical à base de rochers Suchard dans son journal intime.
Le bon (vieux) temps…
et pis t’as pas les 2 mêmes chaussures c’est normal ?
Ta mère est une sainte..
Mercotte, attends mais t’as raison !!! Mais une vraie romano j’étais, non ?
Mais où vous avez vu que c’est pas les mêmes chaussures?? C’est juste l’éclairage très romantico-foirico-halesque qui donne cette impression.
oh sympa !!
et oui, j’adore tes plis de bébé sharpei !!!
on se disait exactement la même chose hier avec une copine!
je savais pas qu’on avait la même mère … ça cogne quand même !
Ta salopette elle serait pas genre dans un peu un tissu éponge, comme mon nouveau bermuda qui déchire sa race?
mais les deux ronds, ça fait penser au logo de colette, la boutique chébran.
les mamans ont toujours des paroles réconfortantes ;-)
Moi aussi j’avais des bourrelets petite !
(ah non, pardon, moi je les ai gardé, uh uh)
et personne ne demande à qui sont les papattes à côté?
Tu vivais déja avec Mireille?
Pourquoi on l’a pas en couleur cette photo des 2 ronds ? dans les 70’s, tout était en couleur… surtour criardes… surtout jaune, orange, marron…
Alors ? quel couleur le pull à bourrelets-intégrés ? quel couleur les deux points très punky brewsteriens sur la combi ? quel race le toutou dont on aperçoit le train av
(suite) … (le train) avant ? (attention, si tu dis « Golden », Paulinette va devenir hystérique)
Ouais, comme dit Coco (coucou Coco!) si c’est du Golden, gaffe, mon Cambronne est un peu le roi. Mais si c’est une femelle, on pourrait les faire se rencontrer (le mien est un vrai tombeur de chiennes). Genre deux chiens de blogueurs qui nous feraient des chiots de blogueurs.
Par contre, si c’est pas des pattes Golden qu’on voit, même pas en rêve l’accouplement 2.0.
ça sent le pull qui gratte…
Je trouve quand même que ta salopette cool upgrade l’ensemble, donc ça va. Mais du coup, j’ai une question : tu chantais dans les Puppies?
Bisous, passe un bon week-end en campanule
To Pink City : si, j’y ai pensé… Mais sait-on jamais… J’veux dire, Violette peut pas être SI vieille. …
PS : désolée Violette, ton post est pas un forum pour un échange Nantes-Toulouse, mais tu vois bien qu’il y a des questionnements vitaux qui peuvent pas mourir ici, sans réponse. Et puis, depuis que Coco est morte virtuellement, semblerait que tu sois le seul lien qui puisse nous unir. Tout ça grâce à tes ronds. T’es bonne.
Les deux points, LE détail qui tue !
En plus chuis sûre qu’elle piquait à mort, ta salopette. T’as vraiment pas eu une enfance facile, je trouve !
hihihi j’ai eu la même dégaine dans une salopette à la coluche rayée bleu et blanche :) bizz
C’est dur de s »entendre dire çà par sa géntitrice !!!! En même temps, dans la vie rien n’est jamais hasard tu devais déjà chipotter pour mettre ce haut là avec cette salopette, ces chaussures pour respecter le tombé de la salopette, cette veste à épaulettes… chiante un jour, chiante toujours. Mais c’est grace à cette entêtement de tête claques qu’on devient une femme d’influence, voire une femme d’honneur Corinne !
La question est de savoir si on sera aussi cash que ça quand on sera vieilles. Peut-être que ça nous amusera aussi de dire tout ce qu’on pense au moment où on le pense.
Merci ! ça me fout de bonne pour la soirée, cette photo !
Ah oui, mais le petit pull en tricot, c’était plutôt down daté années 60.
Si en plus, c’est du tricoté maison, je frémis…
La trendy attitude, c’était le sous-pull en acrylique, et avec çà, pas de grassouillattittude, même pas du poignet, c’était manches longues et çà collait électriquement au corps.