Pain sec et cocktails

Chère confrérie connectée, voilà l’histoire dont il est question aujourd’hui, deux points, je n’ouvre pas les guillemets, on est entre nous, ça va bien comme ça les ronds de jambe !

Suite à une discussion animée sur msn, la semaine dernière, l’HDA et moi avions convenu de nous retrouver pour siroter du cocktail.
Oui, mais siroter d’accord. Mais pas n’importe comment !
Siroter à jeun, tel était notre défi.
Tu nous connais, on l’a relevé haut le chignon.

Place au choc de la photo, donc. Vous comprendrez ainsi ce qui a amené nos esprits torturés à se commettre dans l’innommable. Le bourrage de gueule, quoi.
Oui, mais attends, on a pas vomi.
Chics jusqu’au fond de gorge nous resterons à jamais !

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Mireille Mathieu se coiffe comme un Playmobil

Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver !

Précédemment, dans SBEP, on mettait des plombes à vous narrer une soirée au théâtre qu’on était pas encore rendues, tellement on avait vécu un tas d’aventures palpitantes.

Bon. Donc. Sur ces entrefaites, nous sommes arrivées au Palais des Glaces pour voir l’Empiafée.
Et là, une queue ! Mais une queue !
C’était pas possible.
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L’Empiafée avec Christelle Chollet

Logeant à deux pas du théâtre des Deux Ânes, l’HDA a pour habitude d’aller voir des pièces de boulevard de piètre qualité. Et encore, je suis bien affable en la matière.
Quelle ne fut pas sa surprise quand, la semaine dernière, je lui annonçais tout de go qu’elle m’accompagnerait au Palais des Glaces voir un One Woman Show Musical. L’Empiafée que ça s’appelait.

« Et pourquoi que moi j’ai pas été invitée alors que je parle tout le temps de théâtre ? » qu’elle commence à s’énerver.
« Fais pas chier« , j’ai répondu, « T’es pas assez influeuse, c’est tout ! »

Habituellement, quand l’HDA se rend au théâtre avec son collègue Miqueline, il se font un resto de merde avant la pièce. Là, j’ai dit qu’il n’en était pas question, on est pas des beaufs.
Enfin, eux si un peu, mais pas moi.
Ainsi, préalablement, elle me proposa : « Alors viens donc dans ma chaumière, voir si j’y suis. »
Elle y était, tu penses !
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Le dîner de l’ambassadeur (ou assimilé)

On va pas le répéter cinquante fois. Juste une encore pour la compréhension de l’histoire qui va suivre.
Bien.
Donc, le mercredi soir, c’est une ritournelle, y’a tournante pour le visionnage de la Nouvelle Star.
On a beau faire partie de l’intelligentsia, il est tout de même agréable de côtoyer la plèbe via les ondes télévisuelles.
On dit pas qu’on irait jusqu’à regarder du Jean-Luc Reichmann non plus, point trop n’en faut de la beauferie.

90% de mes amis sont snobs. J’entends ils font pas semblant. Ils sont odieux.
Mercredi en huit, donc, nous fûmes conviés pour la première fois chez A. qui entrait ainsi au sein de la tournante du radio-crochet.
Faut savoir qu’à la base, on va jamais chez A. rapport que c’est pas un mec qui invite vu qu’il est invité tout le temps et que donc, par conséquent, il est jamais chez lui. Donc, il peut pas inviter.
(Ca va Brian ?)
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YesForLov ? No, thank you (Margaret) !

Alors.
Les idées se bousculent.

Mardi soir, Sonia, l’HDA et moi on s’est encore une fois foutues dans un traquenard.
On était invitées pour découvrir une nouvelle marque. Telle la journaliste. Sauf que la journaliste, elle est ensevelie sous le cadeau. Et des fois la blogueuse, pas du tout ! Et ça, ça l’énerve la blogueuse.

Autant le dire, tout avait pourtant si mal commencé :

Oui.
Quelques jours plus tôt, nous avions reçu un échantillon à tester. Oui, le même que tu détaches de ton magazine féminin.
N’est-ce pas que ça sent le lourd niveau budget ?
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Plus près de toi, mon Dieu (etc…)

 

Y’a pas à dire, quand tu es invité chez Solenne, à Anvers, les petits plats sont mis dans les grands.
Ça sait recevoir les gens du pied du Sacré-Coeur, c’est pas comme à Barbès.
Donc, mardi soir, afin de débriefer sur le long week-end Pascal, la Solenne nous a invitées, l’HDA dépressive et moi-même (Violette), à apérotiser dans sa demeure.

Sauf que y’a eu un incident qui l’a mise dans une nervosité extrême, l’hôtesse de maison.
En effet, son Champion ayant subi un inventaire ou une crise de panique éphémère, point de rayon alcools Solenne ne trouva.
Fort dépourvue face à ce nouvel environnement proche de Beyrouth à ses heures sombres, nous frolâmes la nervous breakdown.
Enfin, c’est ce que la coutume raconte, on n’y a jamais foutu les pieds. A Beyrouth. Y’a pas de Club Med.
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