Close, les soldes d’été

Hey ! Je vous propose aujourd’hui ma sélection soldée chez MSR (ex Monshowroom). J’ai pioché exclusivement dans la marque Close, créée par l’enseigne il y a quelques années, parce qu’on y trouve de plus en plus de fringues jolies au juste prix. Les réductions vont jusqu’à -60%, on est drôlement content !

✦ LES SAPES ✦

1. Débardeur fin vert rayé (-40%) | 2. Jupe ceinturée imprimé vichy noir/marine (-30%) | 3. Robe bleue rayée (-30%) | 4. Combi-pantalon brodée (-40%) | 5. Top broderie anglaise (-30%) | 6. Robe fluide madras (-30%) | 7. Robe longue noire broderie anglaise (-40%) | 8. Débardeur fluide (-50%)

1. Jupe midi imprimé plumes (-50%) | 2. Pantalon fluide imprimé vague (-50%) | 3. Top rose à volants (-40%) | 4. Robe rayée bleu/blanc détails broderie (-50%) | 5. Top ample Denim (-50%) | 6. Robe fluide en crépon (-40%) | 7. Débardeur rayé (-40%) | 8. Robe imprimé fleurs (-40%)

✦ LES SHOES ET ACCESSOIRES ✦

1. Sandales à talons en cuir nubuck kaki (-40%) | 2. Sac seau bordeaux en cuir (-60%) | 3. Escarpins en cuir nubuck rouge (-40%) | 4. Canotier en paille (-20%) | 5. Pochette en paille tressée (-30%) | 6. Sandales en nubuck bordeaux (-40%) | 7. Sac seau noir en cuir (-60%) | 8. Sac rond nude en cuir (-40%)

Collaboration avec MSR

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Wimbledon

« Comment faire semblant de jouer au tennis dans un champ de lin ? », vous demandez-vous souvent. Tâchons de trouver, aujourd’hui, quelques éléments de réponses.

1. Il faut, tout d’abord, avoir un champ de lin à proximité de chez vous. Vous n’allez tout de même pas faire 300 bornes en voiture – avec des gamins qui vomissent – pour en trouver un, juste pour faire semblant de jouer au tennis.

Ça n’aurait pas de sens, surtout si vous n’avez pas de blog. Et pas de raquette.

Le lin ayant besoin d’un climat tempéré et humide pour pousser de manière optimale, autant vous dire que nous, en Normandie, on est servi !

Idéalement, il faudrait attendre que ce dernier (le lin) soit bien mûr et ait revêtu sa jolie tenue bleu layette – LIN IS THE NEW LAVANDE – pour faire encore mieux semblant de jouer au tennis dedans. Mais comme on ne peut pas toujours contourner les caprices de la nature, on prend ce qu’on a. Et de toute façon, je vous rappelle que c’est pour faire semblant.
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Le Jean-Jacques Goldman (124)

✔ Salut les jeunes, voilà le nouveau JJG, tout en gaieté… Je commence avec de la cochonnaille surprenante et, pour être plus précise, avec des saucissons tricotés qui ne vous donneront jamais de cholestérol !

Pour fabriquer ses saucissons en tricot, Catherine Kerboull a choisi chaque laine avec soin,
étudié de près chaque spécialité et, aidée par sa sœur, a beaucoup tricoté… pour créer l’illusion incroyable de vrais saucissons. Et voilà Maison Cisson.

Suspendus à des crochets dans une cuisine, ils font non seulement joli mais ils font aussi beaucoup rire les copains. Combo réussi d’une déco pleine d’humour et de culture frenchy, on dit un grand oui !

Pour acheter son saucisson (de 18 à 30€) et même son crochet de boucher !
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Les Pouilles – Monopoli et Polignano a Mare

Me revoilà pour la deuxième partie de mon séjour dans les Pouilles ! Cette fois, on va poser nos valises à Monopoli, mon endroit coup de coeur de ces vacances F.O.R.E.V.E.R, où on a séjourné dans un fabuleux hôtel pendant 3 jours.

Située sur la côte adriatique des Pouilles, à 30 km au sud de Bari (où se trouve l’aéroport), Monopoli est une ville où on ne sait plus où donner de la tête tellement tout est joli oui, mais aussi authentique. Toutes les petites rues du centre historique sont dignes d’un décor d’opérette mais le linge au balcon est bien là, et c’est ce parfait mélange qui m’a séduite, je crois : la beauté + l’authenticité.

A Monopoli on prend le temps de flâner, on se baigne dans les eaux cristallines, on prend un verre sur le petit port en regardant les pêcheurs réparer leurs filets ou décharger la pêche du jour… et on peut même assister à un mariage un lundi matin…
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Au poil ! Comment se rasent les adolescentes.

Chez la femme, l’adolescence c’est un peu le chemin de croix sur lequel on croise plein de choses charmantes : les règles, le début de la pilosité, les boutons, les humeurs qui font les montagnes russes.

Depuis que Cyclamen est toute petite, je l’ai toujours mise à l’aise avec l’intimité. Je n’ai jamais esquivé une seule question sur ces sujets, souhaitant plus que tout qu’elle soit à l’aise avec sa féminité à venir, même et surtout concernant les problématiques citées plus haut.

Pour moi, c’est une des multiples clés de la confiance en soi. Elle n’aura sûrement pas le trousseau complet mais, au moins, elle aura débloqué la porte des tabous féminins (<= tu te crois dans Fort Boyard ?).

La première chose qui l’a intriguée, très tôt, ce sont les règles. A 5 ou 6 ans, elle me posait déjà plein de questions – est-ce que ça fait mal, ça dure combien de temps, etc…

Et allez, parce que c’est vous je vous raconte cette anecdote ultime, celle dont on parle encore toutes les deux en éclatant de rire (mais chut ne le dites à personne) : à cette époque, elle est entrée un jour dans les toilettes que j’étais en train d’occuper et m’a demandé, les yeux brillants d’excitation : « Moi aussi un jour, je pourrai mettre une ficelle dans mon cucul ?« 

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Le jean blanc

Caro a pris ces photos il y a une quinzaine de jours, deux heures avant que je ne me rende chez ma dentiste pour un truc complètement couillon. Mais il faut que je vous raconte comment je suis wonder tanche, parfois…

Figurez-vous qu’il y a à peu près un mois, alors que j’étais en train de raviver le feu en Normandie à l’aide de ce truc que j’appelle la sarbacane – je sais que ça n’est pas le nom homologué, ne faites pas les savantes -, et dans lequel on souffle pour que la flamme grandisse à nouveau, voilà que patatras, embrouille et cata.

Je commençais tout juste à souffler dans le bidule, quant tout à coup l’autre extrémité butta contre le rebord de la cheminée. J’ai alors senti une poussée contre ma bouche, entendu un petit « crrrric » et pensé « Non, mais je ne viens quand même pas de me casser une dent là ??? »

(…)
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