A défaut de chemise ouverte et de chaîne en or qui brille, je sais parfaitement danser – Mia ou pas – avec des ailes dorées aux pieds.
La preuve – enfin on ne voit pas bien sur ces photos que je viens d’enchaîner deux Macarenas endiablées sur les marches d’un escalier, mais croyez-moi sur parole – avec ces Tarasse, un des nouveaux modèles de ma fée-chaussures, Patricia Blanchet.
Du coup, je me sens comme un petit Pégase de la moderie (vous réviserez votre mythologie, ça ne vous fera pas de mal) avec mes nouveaux sabots glitter.
Mais attention, hein, pas un petit canasson de rien du tout, non, non, plutôt un Pégase chic à qui, néanmoins, on aurait oublié de peigner longuement sa crinière (hum).
Toute cette imagerie Grecque nous permet ainsi de constater le point suivant : « Qui ménage sa monture néglige sa coiffure ».
Elle déchire Tarasse, non ?
La suite … « Pégase »