De la complexité du piche

Je ne sais plus si je vous ai dit que j’avais deux gros trucs qui me fascinaient dans la vie : les gens médiocres et aussi les beaufs, en deuxième. Je veux dire, c’est même pas spécialement pour se moquer, j’ai quelques occasions de rigoler sans blesser autrui, non non, c’est que je ne me lasse jamais de les observer.
Certains adorent mater les accidents de la route, espérant secrètement croiser un bras arraché sur leur chemin. Moi pas du tout : au morbide je préfère cent fois les nazes. Peut-être que je m’identifie grave, si ça se trouve… Non, ça peut pas être ça.

Ouais, donc l’autre jour, je discutais avec quelqu’un qui vient du sud (personne n’est parfait) et pourtant on dissertait de trucs vachement intelligents quand je ne sais pourquoi, on a dévié sur les beaufs. Sûrement qu’une gonzesse en short en skaï et dégradé méché passait par là, mystère. L’inconscient nous fait parfois perdre le fil des conversations les plus excitantes. Fuck.

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On allait au bord de la mer

Crédit photo : lemarakk

Je sais c’est abusé, mais je vais devoir encore prendre le large, les copains. Oh, rassurez-vous pas plus de deux nuits par semaine cette fois ; juste le temps d’enfoncer mes pieds dans le sable (c’est un de mes nombreux TOC) et de me goinfrer en douce de crêpes au sarrasin.
Je pars demain matin pour de la Thalasso-Spa, trucs aquatiques et autres joyeusetés qui nettoient le corps et l’esprit, à Pornic.
Si j’ai le temps entre deux jets d’eau magique pulvérisant la cellulite (mais quelle cellulite ?) à tout jamais, je vous écrirais des mots d’amour de là-bas. J’emmène mon informatique.
Au pire, je ferai le mur, je vous dois bien ça.

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