Manucure américaine

Toute femme normalement constituée (i.e. composée du minimum syndical de superficialité) revient des U.S.A. la valise remplie de vernis. Je n’ai jamais failli à la règle même si, de loin, se taper de 8 à 14h de vol pour économiser 40$ de coloriage à ongles, c’est quand même grandement pathétique. Heureusement, on y va pas que pour ça… Ah si ?

Le truc, c’est que si à NYC les Duane Reade et autres CVS/Pharmacy sont blindés des OPI et Essie à des prix qui nous font pousser plein de hiiii ridicules, ce n’est pas la même chose à Los Angeles.
A part chez Sephora, tu ne trouves du OPI nulle part. Quant au Essie, les monop’beauty locaux les boycottent, c’est pas possible autrement. Enfer !

Du coup, j’ai décidé d’innover et de laisser sa chance aux produits de marques plus que douteuses. En même temps, lancer des tendances sur du Chanel c’est tellement simple, que je préfère m’engager dans la voie plus difficile du vernis de supermarché. Fierté.
Jet lag aidant, j’ai donc fait n’importe quoi, me jetant sur de l’entrée de gamme (celle tout en bas des rayonnages), jetant un oeil injecté de fatigue derrière moi, histoire de vérifier que personne ne me regardait commettre ce crime de lèse-snobisme.
En fait, tout le monde s’en branlait. Mais Brian faisait le guet au rayon conditionner, pour plus de sécurité.

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Photos de Venice Beach, California Dreamin’

Bon, les copains, je reprends les avions dans l’autre sens dans une poignée d’heures. C’est vous dire comme je suis pas du tout d’humeur à discuter. J’ai accumulé autant de retard de sommeil que de hamburgers. Je ne vous fais donc pas un dessin par rapport au level de fatigue qui m’attend.

Enfin, « un burger a day keeps the cellulite au frais » m’a sorti Brian cet aprèm’ à la plage. Je crois qu’il voulait dire que j’étais devenue un peu boudin. Il est donc grand temps que je quitte le pays.
Ainsi, pour les dissertations, on se donne rendez-vous quand j’aurais dormi (fin juin), mais je vous laisse avec des photos de Venice Beach. Je crois que ça compense pas mal…

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Séjour à Los Angeles : Hollywood, Baby !

Coucou les copains, ça va toi ? Moi ça va mieux, j’arrive à me faire des grasses mat’ jusqu’à 6h30 désormais. Hourra, quoi.
Dimanche soir, on a été à la grande sauterie Microsoft organisée par Bill Gates (qui m’invite une semaine à Los Angeles ) pour le lancement de KINECT, un truc ultra secret jusqu’à maintenant (on disait « project Natal » chez les gamers) et qu’on nous a enfin dévoilé.

C’est un nouveau machin révolutionnaire de la XBox, mais je vous en parlerai une autre fois sinon, avec les vidéos, je risquerais de faire sauter tout le Wireless de la Californie.

Le show Microsoft était LE show américain par excellence. Dans l’assistance on portait tous des grandes capes blanches avec des épaulettes de 3 mètres de long comme si on allait tous s’envoler vers Vénus, un peu comme dans Star Strek. Je vis de ces trucs de barré moi, tu verrais ça !

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Highway to L.A. : 6 jours à Los Angeles

Salut la compagnie. C’est bien simple, je ne sais même plus quelle heure il est ici, à Los Angeles. Alors, imaginez pour faire la conversion pour vous autres, en France. De toute façon, vous n’êtes pas là pour du soutien scolaire en mathématiques (enfin j’espère, sinon sûr que vous allez redoubler).

Je ne vais pas trop m’attarder sur la journée de voyage pour aller aux Amériques, sinon je vais avoir envie de pleurer rien que d’y repenser, mais sachez que j’ai claqué la porte de mon appart derrière moi samedi matin à 10h15…et que j’ai ouvert celle de ma chambre d’hôtel à L.A. pile 24h plus tard (ah ah)(super lol).

Ah oui, et aussi sur le vol Boston-Los Angeles, j’ai voyagé coincée au milieu d’un couple sexagénaire américain, avec lui qui foutait son gros bras sur TOUT mon accoudoir, et elle qui avait emmené toute sa paperasserie en retard depuis 1982 et qui répondait au courrier des 3 Suisses locales (style une promo avec -3$ sur la paire de chaussons)… et remplissait accessoirement sa demande de cotisation annuelle au Parti Républicain.
Je leur ai gentiment proposé de voyager côte à côte et que moi je prenne le hublot. Ils ont rigolé et on continué leurs activités. 

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Try again

Cyclamen a tout fait pour me retenir loin des Amériques. Hier soir, auréolée de sa blondeur semi-californienne et des ses genouillères Décathlon, elle a enfourché ses rollers, pensant me démontrer qu’on peut aussi trouver de la rollergirl dans le 0.9
« On en recausera quand t’auras les nichons en silicone et le short Juicy Couture !« , j’ai balancé en m’assoyant (?)(je suis plus du tout sûre de mon orthographe depuis que je suis tombée amoureuse de Brian) sur ma valise.

Enfin. L’essentiel c’est que j’échappe, ce matin, à la fête de l’école et à la tenue du stand de maquillage ou autre truc complet assommant. Rien que pour ça, ça vaut le coup de glander 8 heures dans un aéroport du Massachusetts, plongée dans des lectures confondantes de professionnalisme

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Teuf in USA

Honteux, les copains, honteux !
Alors que je ne rêve que d’une seule chose, m’assoupir dans un convertible 3 places Conforama (nouvelle collection), voilà que je pars samedi une semaine à Los Angeles. Comme dit ma mère « Ah ça, ton passeport va pas sentir le renfermé cette année !« . Je crois qu’elle crève de jalousie. Garce.

Enfin, heureusement que je m’arrache en vacances en juillet pour déconnecter de tous ces voyages, parce que je suis limite à péter les plombs du tourisme. Et que j’ai même plus le temps de laver mes culottes, que je perds des soutifs en cours de route, que ma valise fait désormais partie intégrante de la déco de ma chambre et que j’en ai marre d’acheter des magazines pour débiles profondes pour m’occuper dans les trains/avions/bagnoles/que-sais-je.

Comment ça je pourrais aussi lire des « vrais » livres ? Ah mais non, j’attends avec impatience le dernier Danielle Steel cuvée summer 2010. Je ne ferai jamais d’infidélités à mon auteure préférée.

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