Vraiment n’importe quoi

Mardi soir, alors que je guettais le sommeil par la fenêtre de Firefox et que je ne voyais rien venir (je joue trop à Angry Birds, je croie que je frôle l’épilepsie), j’ai soudain interrogé mes pairs sur Twitter.

Je sais, je suis un peu dinguo, parfois.

N’empêche que beaucoup de gens connectés ne dorment toujours pas à 23h50, le lundi soir. Si ça se trouve, eux aussi ils jouent à Angry Birds, et on est tous là comme des cons à s’énerver à balancer des oiseaux dans un ciel virtuel, alors qu’on aurait tellement mieux à faire.
Comme genre se souhaiter une bonne nuit, ou balancer des photos de son pyjama. Je sais pas moi, les gens sont queudalle créatifs.

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Le mercredi soir

Les aminches, il faut que j’arrête d’écouter des chansons tristes quand je m’apprête à vous écrire sinon on ne va jamais s’en sortir. J’étais partie pour vous raconter mes soirées NS du mercredi soir, et voilà que je suis coupée dans mon élan par ce pan de chemisier qui tombe pile dans ma raie des fesses. C’est simple, ce pan me fascine.

Donc, depuis quelques années déjà, je passe mes mercredis soirs de diffusion de la Nouvelle Star avec mes copains pédés. C’est devenu une vraie tradition désormais. A croire que si la télé de merde n’existait pas, on ne verrait quasi jamais ses potos. Bien triste constat !
L’alibi hertzien ne nous fait jamais perdre notre humour, puisque ces soirées-là (ha hun) le niveau des blagues est inversement proportionnel à notre taux d’alcoolémie. Je vous fais pas le tableau. Surtout que depuis cette année, un nouvel ami (toujours pédé, ça c’est la règle de base) est arrivé dans la bande des amateurs débiles du télé-crochet. Et pas n’importe lequel, les copains, puisque ce dernier bosse pour une GROSSE marque de champagne !
Autant vous dire qu’on le laissera jamais partir, lui.

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Quoi « daltonisme » ?

Bonjour, c’est de nouveau Brian sur mon blogue.
J’étais pas très là récamment, mais c’est parce que j’ai conclu avec Karen. Enfin, on avance doucement dans notre relation, car c’est sérieux. Elle m’a embracé dans le cou car elle dit que sinon j’ai trop de bouton sur la figure.
Comme vous le voyé, on est déja intimes. Je suis heureux.

Hier, j’ai assorti mon vernis à ongle à mes groseilles (j’ai parfois des délires cripto-gay), mais Karen s’est mauquée de moi. Elle a dit que je souffrè de daltonisme.
J’ai fait comme si que j’avais compri, mais je vois pas le rapport avec les chiens blancs à pois noires.

Je crois que Karen est un peu bête. Heureusement elle a un beaux cul.
Je vous dis à bientot car je doit enfilé mon body.

Brian

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Make a wish

Ma mère elle m’a toujours dit « Violette, faut impérativement acheter ton brin de muguet chaque 1er mai, sinon la poisse s’abattra sur toi pour les 8 prochains mois de l’année ! »
« Ouais, ouais.« , je faisais.

Il n’empêche que, depuis que je suis grande, je suis revenue sur mon jugement de rebelle des traditions et que j’y pense une fois tous les trois ans à peu près. Ce qui est déjà pas si mal.
C’est Cyclamen, mon Filofax vivant, qui m’a rappelé hier matin de ne point oublier le porte-bonheur : « C’est quand qu’on va acheter le colza ?« , elle a demandé. (?!)
Certes, elle s’emmêle un peu les crayons au niveau de la terminologie florale, mais l’intention y était. C’est donc remplies d’émotion et le coeur battant la chamade que nous sommes parties sur les trottoirs parisiens envahis de vendeurs de clochettes.
Faut bien s’occuper les week-ends où on nous colle deux dimanches d’affilée.

Quand je vois la gueule de mon muguet ce matin, je me dis que 2010 va encore être une année assez compliquée.

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