Les seins de Violette

Bonjour sur mon blogue, c’est de nouveau Brian.
Comme je voudré changer d’orientation scolère (j’ai plus trop envi de faire proffeseure de francais) et devenir paparazi j’ai prit une photo volée de Violette. Elle a rien vue la conne.

Je voulé savoir ce que vous pensez de mes talents de fotographe, parce que je n’ai que vous dans ma vie (Karen a cassé cet après midi et j’ai pas encore niquer Nadège). Mais surtout, je trouve que Violette a pas beaucoup de seins, vous trouvé pas ?
Je me dit qu’avec tout ses billets sponsorisatoires elle pourrait faire de la chirurgie esthétique où on pose des protèzes bizarres, mais en lisant l’internet j’ai vu que y’avais des polémiques à ce sujet chez des blogueuses.

Ou la la, je veux pas avoir un procès de la part de l’ordre des dentistes, moi. Je disait juste ça comme ça, mais quant meme, c’est pas bien gros tout ça. Remarquez, ça conpanse de son melon.

Je sais que je suis un peu méchan ce soir, mais c’est à cause de Nadège, elle excite mes hormones digitales.

Brian

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Brocante à Paris – avenue Trudaine

Salut c’est Violette. C’est à dire que je devais être à Cannes, là, tout de suite, à jouer les superficielles nocturnes. Et puis je suis finalement restée à Paris pour des raisons x et y. Enfin, surtout « y » en fait.
Je peux vous dire que je ne regrette pas du tout mon week-end forcé à la capitale, les amis, mais alors pas du tout ! A l’heure où les festivaliers rentrent à leurs hôtels, l’oeil de panda en bandoulière et l’haleine chargée des vapeurs de cocktails offerts par les marques qui rincent pendant la quinzaine, moi c’est bien simple, c’est le moment où je m’éveillais gaiement.

5h du mat’ le samedi + le dimanche, y’a pas, ça te classe ton week-end direct en forçant le respect des gens. Et puis de toute façon, Cannes c’est surfait. Ouais, non. Enfin, si. Bon, merde.
Oui oui, parce que figurez-vous qu’il y avait une brocante à Paris.

Même, c’était la brocante annuelle sur mon avenue, et les jolis bruits des mecs qui gueulent en installant leurs stands remplis d’objets les plus recherchés en brocante et autres vieilleries d’époque 1992 ça se fait à 5h, et pas à un autre moment.
Je veux dire c’est vrai que ça aurait été con de ne pas profiter du making-off de l’animation annuelle du quartier, j’ai pour habitude de faire les choses à fond. J’ai vachement assuré.

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Les leggings qu’étaient pas des leggings

Bouh, j’en ai rien marre moi ! Je trouve que les filles c’est tro compliqué.
Je voulè faire plaisir à Karen en lui offrant un leggingue que toutes les filles qui sont mode portes (enfin, les copines à Violette).
Et pour pas l’intimidé, j’en ai pris un pour moi aussi mais Karen elle a gueulé que c’étais pas des legingues mais des colants.

Je lui ai alors proposer qu’on monte sur des chaises vertes pour faire un jeu sexuel, histoire qu’elle oublie cette bourde des colants/leguingues, mais elle a dit que mes pieds étaient sales.
Je crois qu’elle va bientôt me largué, mais j’ai des vues sur Nadège qui a un cul encore plus beaux que celui à Karen, alors je le prendrait pas trop mal.

Et vous, vos amours c’est comant ? Merci de laissé des commentaire et de faire des échange de liens avec moi, sinon j’arriveré jamais à me faire sponsoriser par Amazon.com

Brian

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Dupont : la joie ?

Bon, les copains, j’ai un peu la tête à l’envers en ce moment, et comme je fais relâche ce week-end (comment ça, ça change pas ?), je passe en vitesse vous enlever le doute quant à l’invité mystère de la soirée Dupont.
C’est à dire que je dois prendre beaucoup de repos avant l’avalanche de billets sponsorisés qui vous attendent dans les semaines qui viennent. Certes, ce terrible mois de mai nous vide de toute bonne humeur. Croyez-bien que ce n’est pas le cas de mon porte-monnaie qui va gonfler jusqu’à en éclater la face de l’internet mondial grincheux .
Un peu comme la fable de La Fontaine avec la grenouille et le boeuf, mais comme j’ai la flemme de wikipédier la morale de l’histoire, je ne m’avance pas plus loin au pays de la métaphore.

Vous me direz si tu as le temps.

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Poil musical

Aujourd’hui, les copains, il s’agira de vous parler d’un objet quasiment non-identifié qui vient d’atterrir dans ma boite aux lettres. La vraie, celle que Josiane, la factrice aussi sexy que Mireille Mathieu, frôle de son avant-bras poilu chaque matin.
Je sais que souvent, quand vous vous faites la retouche maillot, vous déprimez rien qu’en voyant le triste objet métallique qui va occuper votre main droite pendant les 50 prochaines minutes (pour les plus malchanceuses de la pilosité).

Croyez bien que ces moments dépressionnaires sont désormais derrière vous, puisque voilà la pince à épiler mandoline.
Enfin, je dis « mandoline« , je ne suis pas si sûre, je n’ai pas pris l’option mélomanie au BEPC. Mais l’intention musicale y est, non ? Si, si, je t’assure elle y est !
Après, à vous de voir si la teuhon ne vous gagnera pas en dégainant ces drôles d’objets devant votre mec, puisque chacune sait que les garçons ont parfois du mal avec nos goûts un peu limites.

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Light my fire : le briquet Dupont vintage

Vous dire que S.T. Dupont n’évoque rien pour moi ferait carrément passer Pinocchio pour un mec bien.
Le briquet Dupont vintage légèrement ravagé par les ans que vous pouvez apercevoir ci-dessus est mien depuis que j’ai une vingtaine d’années (y’a pas si longtemps, en somme).

Ca faisait des années supersoniques que je ne l’avais pas touché quand je l’ai sorti de sa cachette hier pour le soumettre aux flashs du photographe, pourtant je sais exactement où il est rangé. Malgré mon bordélisme congénital.

Il appartenait à mon père, c’est vous dire son importance. En fait non, vous ne pouvez pas comprendre son importance, puisque vous ne passez ici que pour le fun. Et que vous avez bien raison puisque l’émotif n’est pas mon fort, malgré quelques interlignes personnelles qui viennent parfois envahir ma débilité affichée.

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