Max mon amour

Les copains, c’est pour vous faire part d’un profond désarroi que je vous écris aujourd’hui. Figure-toi que samedi dernier, je suis entrée chez Spree à Abbesses comme de par hasard. Comme si mes pieds marchaient à la place de mon cerveau et me dirigeaient malgré moi vers cet antre de la perdition du découvert non autorisé.
Ah non, tu ne connais pas Spree ? (T’es naze, je te jure)

Alors Spree, dans le texte, c’est une sorte de boutique galerie avec une sélection pointue de designers et de moderies chères. Dans les faits, c’est le magasin des bobos riches du quartier. Ouais, ceux qui se trimballent avec la poussette 3 roues de Quinny à 600 boules, avec les sacs Kooples/Sandro/EtVous négligemment accrochés à la poignée. Ils sont rigolos tous ces gens.

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Tutu et cuir : Confusion des genres

Tiens, ça fait bien longtemps qu’on ne s’est pas regardé le nombril blogosphérique par ici, les amis. Toutes mes confuses par avance aux (chanceuses) lectrices qui ne parcourent que deux ou trois blogs par jour, et qui grand bien leur fasse ne font pas partie du sérail de la nano-célébrité 2.0.
Mais c’est que des fois, avec Brian, on a des grandes réflexions sur les journaux Internet. On en cause au coin de la cheminée qui diffusent des fausses flammes colorées sur son manteau digital. On est des gens philosophes, tous les deux, c’est pas trop de notre faute.

Donc, depuis un moment, on lit ça et là sur des blogs féminins (souvent dans les commentaires de billets ou par-delà des forums de désoeuvrées qui font rien qu’à décortiquer chaque mot d’un post donné), que les temps ont bien changé, que la fraîcheur d’antan n’y est plus, que les blogueuses moderie sont achetées par les marques, couvertes de cadeaux, d’argent, de gloire et d’articles de presse, n’en jetez plus car pleine est la coupe…
En gros, certaines sont nostalgiques des fameuses « têtes coupées » des années d’insouciance 0.0

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Euh…

 

Au secours ?

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L’archivage et la numérisation des documents

Les copains, il y a un truc qui me stresse grave dans la vie (à part le fait d’être détenue par les FARC sans mon Dreyfuss), c’est la paperasserie administrative. C’est simple, tu me demandes d’appeler l’URSSAF et je fais un malaise vagal. Vous me priez d’envoyer sous 48h mon attestation de responsabilité civile et je vomis ma douleur sur l’autel de la panique.

Le pire, c’est que je suis pourtant assez rangée comme jeune fille. Je veux dire, l’organisation c’est mon dada : t’as qu’à voir que je possède encore mes relevés Bouygues Telecom de 1997. On sait jamais, des fois que Martin me demanderait des comptes…
Je sais que ce n’est pas très glamour comme attitude, et que c’est beaucoup plus trendy-négligé de clamer sa désorganisation et son jemenfoutisme du classement sur twitter, mais c’est ainsi.
Je suis un être humain après tout.

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R.I.P. Blake Carrington

Misère, malheur et malédiction ! Le week-end à Pascal est bien endeuillé puisque la terrible nouvelle est tombée hier soir : Blake Carrington n’est plus.

Depuis, je suis tourmentée. N’est-ce point là un ultime coup bas de son ex-femme Alexis ? Comment est-ce donc possible que cet homme au parfait brushing grisonnant et à l’insolente fortune ait pu nous quitter, nous autres, fans de la première heure ?
Faut dire que j’ai jamais été trop Dallas de l’attitude, vous le savez je ne suis guère portée sur les histoires des provinciaux. Par contre, les épaulettes, les diamants, le capitalisme exacerbé et les fils pédés, ça m’a toujours parlé.

C’est donc avec fascination (et accessoirement mon pyjama en éponge) que je regardais chaque semaine les aventures des bling-people sur le canapé familial. Ma mère recopiait à la perfection le brush’ de Linda Evans et on se mettait à danser sur Square rooms d’Al Corley comme des grandes chauve-souris, grâce à nos manches de l’époque. C’était chouette.

Afin de rendre hommage à Blake, j’ai donc décidé de passer tout le Pâques avec mon bustier pailleté de l’époque. Ah ça, c’est sûr, les cloches risquent pas de me louper…

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Drôle de vie

 

Les potos, je suis allée voir « Tout ce qui brille« , et c’est sympa. Pas le film du siècle, mais sympa. De toute façon, je suis super bon public des trucs de jeunes. Ascendant adulescente aurais-je dû ajouter au « nostalgique » de l’autre fois. Enfin bref, on va pas retricoter l’histoire de mes billets, sinon on finira complet Alzheimer comme la pauvre Annie Girardot.

Le truc, c’est que la B.O. du film c’est une reprise d’une chanson de Véronique Sanson. Et que je suis assez touchy-feely avec Véro (avant qu’elle fasse son mariage blanc avec Palmade, j’entends). Aussi surprenant que cela puisse paraître (oh oui, surprends-nous !), et bien la reprise est vachement bien, et donne la même pêche que l’original. C’est fou ça Monsieur Perrier ! (?)
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