C’est peu dire que je n’ai absolument pas regardé la première de Secret Story 3, vendredi soir dernier. Non, non, ce n’est pas mon genre la télévision niveau vide-ordures.
J’ai fait bien mieux : c’est le lendemain que j’ai découvert le programme tout pixellisé, enregistré précautionneusement sur ma boite libre (« Freebox« , in english).
Alors, c’est vrai qu’on entend ici et là que y’a que de la pute siliconée et du teubé musclé. T’es marrant, mais où résiderait l’intérêt d’une émission trashy si les participants étaient des gens comme nous ? Il ne résiderait nulle part. On ne mate pas TF1 pour croiser du 90B ou des individus qui ont eu le DEUG en trois ans, at least.
Autant vous dire que je suis entrée tout de suite dans l’histoire, malgré la complexité scénaristique, mais je regrette grave notre génération de l’Internet, puisque y’a plus de mystères qui tiennent au bout de 12 heures grâce à Google.
C’est comme si que, quand on était minots, on nous donnait la soluce au moment où on entamait la partie de Cluedo.